14/11/2018 3 articles reseauinternational.net  8 min #148280

Le Goy blanc n'est plus le bienvenu dans les grandes universités étasuniennes

Bien qu'étudiant très doué, si vous êtes goy de race blanche, vous avez peu de chances d'être admis à Harvard, Yale, Princeton, Columbia, Dartmouth, Cornell, Brown, Penn, Stanford, MIT, CalTech, Berkeley et à l'UCLA. [NdT : Goy, goyim au pluriel, veut certainement dire grand con bâtisseur de civilisation, et Gentil signifie quelque chose comme pigeon simplet.]

Les Blancs n'y sont plus admis parce que, dans toute l' Ivy League, par rapport à représentation des Juifs dans la population nationale, leur nombre dépasse de 381% ce qu'il devrait être dans la catégorie des étudiants à grandes capacités. Le nombre d'Asiatiques à fort potentiel est inférieur de 62%  à celui attendu, et celui des Blancs non juifs est de 35% inférieur à ce qu'il devrait être dans le groupe d'étudiants à fort potentiel. Les Asiatiques traînent Harvard en justice pour discrimination, mais, de la part des Blancs, cette démarche serait vue comme un acte de 'suprématie blanche'.

Au MIT et à Stanford, les Juifs sont aussi surreprésentés. À CalTech, ce sont les Asiatiques, et à Berkeley et à l'UCLA, c'est une combinaison de Juifs et d'Asiatiques. La surreprésentation concerne le groupe d'étudiants très compétents. Les Goyim blancs de qualification égale ou supérieure sont ignorés au profit des autres.

Ce sont  les conclusions de Ron Unz.

Ron Unz signale que dans les trois dernières décennies, à Harvard, « le pourcentage de Goyim blancs a baissé de près de 70%, malgré l'absence de déclin comparable dans la performance universitaire de cette population ; parallèlement, le pourcentage d'étudiants juifs a vraiment augmenté. Cette période a certes vu l'augmentation très rapide du nombre d'étudiants asiatiques, hispaniques et étrangers, ainsi que l'augmentation du nombre d'étudiants noirs. Mais il semble plutôt étrange que tous ces gains se soient produits aux dépens des Blancs d'origine chrétienne, et pas du tout aux dépens des Juifs. »

On ne peut pas dire plus clairement qu'aux États-Unis d'Amérique, les Blancs sont exclus des universités qui forment les apparatchiks [NdT : le mot élite employé en général par les auteurs pour désigner les dirigeants ou les très riches, est un contresens monstrueux. Une élite est une personne douée de qualités humaines supérieures, quelle que soit sa fortune et son pouvoir. Arnaud-Aaron Upinsky suggère donc de remplacer élite par apparatchik.]

Unz explore plus en détail les statistiques et conclut ceci :

« Sur la base de ces chiffres, les étudiants juifs étaient environ 1000% plus susceptibles d'être inscrits à Harvard et dans le reste de l'Ivy League que les Goyim blancs pourtant doués des mêmes capacités. Ce résultat est fort étonnant, étant donné que les tribunaux considèrent souvent que les sous-représentations de l'ordre de 20% à 30% sont une preuve suffisante de discrimination raciale. En outre, j'ai noté la possibilité que cette contradiction soit due à la domination écrasante des Juifs dans la haute administration de ces établissements.

« Il serait déraisonnable d'ignorer le fait essentiel que cette énorme préférence ostensible en faveur de candidats juifs beaucoup moins qualifiés, coïncide avec l'asymétrie ethnique tout aussi énorme dans les plus hautes sphères administratives des universités en question. Cette situation est de nouveau exactement identique à celle relevée par Karabel à partir des années 1920. Karabel fait d'ailleurs remarquer qu'en 1993, les présidents d'Harvard, Yale et Princeton étaient tous d'ascendance juive. Et il en est de même des présidents actuels de Yale, Penn, Cornell et peut-être de Columbia, ainsi que de Princeton tout au long des années 1990, et à nouveau de Yale, tandis que les trois derniers présidents de Harvard sont soit d'origine juive, soit ont un conjoint juif.

« Dans la plupart des universités, le second responsable est un doyen. Il s'occupe des opérations académiques quotidiennes. Bien que l'actuel président de Princeton ne soit pas juif, depuis 1977, les sept derniers doyens de Princeton étaient de cette filiation, tout comme dans plusieurs autres universités de l'Ivy League. Cette énorme surreprésentation se retrouve dans les autres échelons administratifs supérieurs du reste de l'Ivy League et dans les principaux établissements universitaires étasuniens en général, et ce sont ces établissements qui sélectionnent nos futurs apparatchiks nationaux.

« Depuis la publication de mon article de 2012, de nouveaux présidents ont été affectés à Harvard et Princeton. Tous deux ont été choisis juifs, tandis que le président juif de Yale est resté en poste.

« Le mécanisme exact engendrant ce favoritisme, de toute évidence énorme, en faveur des candidats juifs dans les universités les plus élitistes, n'est pas très clair, et je doute fort que c'est la haute administration qui dicte aux agents qui s'occupent de l'admission, d'inscrire les candidats juifs sous-qualifiés. Je pense plutôt que l'un des principaux facteurs est la 'pression négative' exercée par la très grande majorité des médias et les groupes d'activistes juifs étasuniens, qui sont capables de réagir fortement à toute baisse significative du nombre de Juifs.

« En attendant, tout indice antisémite dans les admissions est considéré comme un péché mortel, et toute réduction significative du nombre d'inscriptions juives peut souvent être dénoncée en tant que telle par les médias à la gâchette sensible. Ainsi, en 1999, Princeton a découvert que son taux d'inscription de Juifs était tombé à seulement 500%, contre plus de 700% au milieu des années 80, et loin en dessous des chiffres comparables enregistrés à Harvard ou à Yale. Cela a rapidement suscité quatre articles en première page du Daily Princetonian, un article important dans le New York Observer, et une vaste couverture nationale à la fois dans le New York Times et dans le Chronicle of Higher Education. Incluant des dénonciations du long héritage d'antisémitisme traditionnel de Princeton, ces articles ont rapidement suscité des excuses officielles, suivies d'un rebond immédiat de 30% du nombre de Juifs. Au cours de ces mêmes années, le nombre d'inscriptions de Blancs non juifs dans l'ensemble de l'Ivy League avait chuté d'environ 50%, ce qui les ramenait à un pourcentage très inférieur à la parité. Mais, restés silencieux, les médias se sont même fendu de félicitations occasionnelles pour le nouveau progrès 'multiculturel' du système de formation des apparatchiks étasuniens.

« Les décennies passant, j'ai remarqué que l'augmentation considérable et continue du nombre d'étudiants étrangers et non-blancs dans nos universités les plus prestigieuses, avait progressivement provoqué l'effondrement complet du nombre d'inscriptions de Goyim blancs, mais curieusement, aucune réduction similaire dans le nombre de Juifs. Il était notoire que les militants juifs avaient été la principale force à l'origine de la mise en place de l' Action positive et des politiques connexes d'admissions dans les universités, et j'ai commencé à m'interroger sur leur véritable motivation, qu'elle soit volontaire ou inconsciente.

« Et si le but avait été de donner la chance d'être formés à des groupes précédemment exclus ? Ou était simplement le prétexte servant à promouvoir la politique d'élimination de la majorité des Gentils blancs, leurs principaux concurrents ethniques ? La population juive ne représentant que 2%, le nombre de places qu'elle pouvait occuper dans les universités pour apparatchiks était manifestement limité. Mais en y amenant aussi suffisamment d'autres groupes, le nombre de Gentils pouvait facilement être ramené à une faible proportion, malgré le fait qu'ils constituent la majeure partie de la population nationale. »

Ron Unz explique comment s'est produite la discrimination envers les Blancs. Lisez son long essai, avec ses réserves, et vous comprendrez comment les Gentils blancs ont été exclus des rangs des apparatchiks. Il en résulte la disparition de la civilisation blanche non juive.

À présent dépossédés de leur propre pays, les Blancs non juifs, que la politique identitaire fait passer pour des agresseurs cruels et inhumains de femmes, de Noirs, d'Hispaniques et d'homosexuels, sont attaqués. Les antifas, les troupes d'assaut du Parti démocrate, exigent la mort les Blancs irrécupérables.

Et les Russes pensent pouvoir trouver ici une civilisation à rejoindre !

 Paul Craig Roberts

Original :  paulcraigroberts.org
Traduction  Petrus Lombard

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Pourquoi les personnes appartenant au gentilé blanc ne peuvent-elles pas être admises dans les universités de l'Ivy League ?

Par Paul Craig Roberts - 12 novembre 2018 - Source Paul Craig Roberts

Si vous êtes un étudiant très doué mais que vous êtes un homme de race blanche, vous avez peu de chances d'être admis à Harvard, à Yale, à Princeton, à Columbia, à Dartmouth, à Cornell, à Brown, à Penn, à Stanford, au MIT, à CalTech, à Berkeley ou à UCLA.

La raison pour laquelle les Blancs ne peuvent pas être admis est que, dans l'ensemble de l'Ivy League, les Juifs sont surreprésentés, par rapport à l'ensemble des étudiants à fort potentiel, dans une proportion de 381%.

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