17/10/2019 reseauinternational.net  3 min #163094

La fin annoncée du monde imaginaire créé par le New York Times, archétype du « Fake News »

Toute personne sensée ou se croyant un peu sensée tentant de lire le New York Times s'aperçoit très vite que les gens qui gèrent ou interviennent dans ce que l'on ne peut qualifier que de torchon, ont besoin en urgence d'une évaluation et d'une aide psychiatriques.

Le New York Times est l'archétype d'un organe de propagande sclérosé vivant dans l'autofiction et l'auto-illusion d'une Amérique et d'un monde imaginaires où la narration bloquée à l'ère de la guerre froide est marquée par une sorte d'exceptionnalisme moral et un complexe de supériorité sur le reste de la planète.

Le New York Times s'est inventé un monde imaginaire qui n'existe pas dans la réalité. Son Amérique imaginaire n'existe pas non plus en dehors de leurs esprits malades de psychopathes névrosés lécheurs de bottes (pour demeurer poli car en réalité ils excellent dans la lèche d'orifices d'évacuation de déchets biologiques d'une pseudo-élite autoproclamée élue).

Les aliénés du New York Times ne peuvent pas se réveiller de leur coma. Cela les tuerait à coup sûr. Et dire que ces zombies ont exercé une influence sur les principales décisions de la politique étrangères US durant les trente dernières années, focalisés principalement sur la justification des interventions militaires et des coups tordues.

Il n'est pas étonnant dès lors de voir un éditorialiste de ce torchon qui n'écrivait que des banalités quasiment illisibles après le second paragraphe devenir membre du Gotha neoconservateur. Plus par prestige que par conviction.

En 2019, le New York Times est classé parmi les propagateurs des fausses nouvelles ou fake news. Un titre amplement mérité. Cela ne l'empêche pas de continuer sa masturbation mentale et idéologique en boucle sur une Amérique exceptionnaliste imaginaire et un monde de fiction hollywoodienne où le Chintok en est encore à pousser son buffle dans les rizières, où le Russky est le méchant communiste soviétique, et l'Arabe, le méchant terroriste courant après une chèvre...avec un rictus emprunté.

Dur est le réveil !

L'Empire rêvé par les idéologues néoconservateurs ou nouveaux cons, est en train de s'écrouler sous une dette titanesque. Ses armes glorifiées par la super propagande hollywoodienne n'arrivent même pas à effrayer des baiseurs de caprins montagnards courant en sandales avec de vieilles Kalashnikov datant des années 60 et une grande partie des États-Unis ressemble de plus en plus à une quelconque république bananiére du Tiers-Monde.

La pauvreté fait des ravages au sein même de l'Empire alors qu'en Chine, l'ennemi désigné par les nouveaux cons, on a amassé près de 20 000 tonnes d'or en prévision des grandes catastrophes à venir, notamment la Grande guerre de la prochaine décennie.

Le principe de réalité. C'est dur de reconnaître que le réel n'a rien à voir avec la lubie que l'on a construit mentalement pour créer sa propre réalité.

Le New York Times est terminé. Bon débarras !

source :  strategika51.org

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