par Nora Merlín
« Pleurez ce qui, ayant pris fin, renaît…
Pleurez tout ce qui change, même pour s'améliorer. »
(Les Cendres de Gramsci)
Alors qu'une grande partie du système politique s'amuse à compter les votes comme on compte les haricots, quelque chose de plus profond – et de plus inquiétant – se produit : une faille structurelle dans la représentation démocratique coexiste avec la montée en puissance de droites de plus en plus radicalisées, certaines affichant désormais sans vergogne leurs sympathies néofascistes.