par Sérénité Patrimoniale
Introduction
Notre quotidien se déroule, avec ses hauts et ses bas. Notre monde s'écroule, beaucoup ne le voient pas. Prenons du recul et une fois tout cela compris, s'ouvre pour chacun de nous, une nouvelle vie. Retrouvons l'Être que nous sommes vraiment. Ici et maintenant, vivons-le pleinement. Rayonnons notre puissance d'amour, elle est inépuisable.
«Ce que tu donnes est à toi pour toujours. Ce que tu gardes est perdu à jamais» (Proverbe Soufi)
Pfizer n'a pas fini de nous réserver des surprises
C'est assez peu connu du grand public, mais le produit qui a été injecté à des millions de personnes par le monde et que l'on nomme le «vaccin Pfizer»... n'est pas de Pfizer !!! C'est Pub Canada dry de Canada dry : «son nom sonne comme un nom d'alcool, mais ce n'est pas de l'alcool !».
Comme nous l'apprend le journaliste d'investigation Robert Kogon, Pfizer n'est pas en réalité le fabricant du produit en question. Il est responsable à des degrés divers, du processus physique de fabrication pour de nombreux marchés.
Pfizer le fabrique pour le compte d'une autre entreprise, qui est juridiquement le véritable propriétaire et fabricant : l'entreprise allemande BioNTech.
Selon les pays où est vendu ce produit, l'étiquette mentionne : «fabriqué par Pfizer, pour BioNTech» ou bien, comme fabricant, seulement BioNTech, tout en apposant le logo de Pfizer !
Pour ce qui est de l'Europe, les documents réglementaires identifient les deux sociétés comme des fabricants, mais soulignent toujours le statut de BioNTech en tant que titulaire de l'autorisation de mise sur le marché. Les étiquettes précisent : soit que le médicament est : «fabriqué par Pfizer pour BioNTech», ou indique simplement BioNTech comme fabricant.
Les investigations de «l'ami Robert» montrent que si les deux sociétés se partagent théoriquement les bénéfices par moitié... le principal bénéficiaire financier des ventes du produit Pfizer est en fait BioNTech.
En plus de sa part de 50% des bénéfices sur les ventes de la marque Pfizer, selon les termes de son accord de collaboration avec Pfizer, BioNTech réalise également des ventes directes dans deux territoires réservés (Allemagne et Turquie). Il dispose, en outre, d'un accord avec Fosun Pharma lui assurant 30 à 39% des bénéfices, sur les ventes en Chine.
Ils sont malins, ces Allemands. Vous allez voir qu'ils sont encore plus forts... Publicité Vichy St-Yorre “ça va fort” avec Thierry Lhermitte - 1988 ! Si BioNTech réalise 50% des bénéfices sur les ventes de la marque Pfizer, elle ne partage pas les coûts de fabrication et de commercialisation associés. Les 50% sont des redevances. Cela explique la Kolôôôsale marge bénéficiaire avant impôts de la société allemande (79% en 2021).
Mais... les vaccinodromes ne font plus courir les foules, qui préfèrent, espérons-le, se passionner pour les Jeux olympiques de Paris, qui promettent des sensations plus fortes et moins dommageables !
Le résultat est que, justement, le résultat du premier trimestre de 2024 de BioNTech est... une perte de 300 millions d'euros ! Après des résultats bénéficiaires pour 2021, de 15 000 milliards d'euros et pour 2022, de près de 13 000 milliards d'euros !!! ( page 240 de la déclaration).
C'est là que le journal allemand Tagesspiegel nous apprend que, Jens Holstein, le directeur financier de BioNTech est particulièrement optimiste. En effet, il déclare :
«Nous prévoyons de réaliser environ 90% de nos ventes annuelles totales au cours des derniers mois de 2024, principalement au quatrième trimestre 2024».
Le journaliste relève que ces projections sont «ambitieuses», puisque le chiffre d'affaires escompté pour le seul quatrième trimestre 2024... serait d'environ 15 fois supérieur à celui de l'ensemble de 2024 !
Se pourrait-il que «l'ami Jens», directeur financier de son état, soit «devin» ses jours de congés ? Ou bien, sait-il des choses qui nous sont encore cachées ? J'arrête là la rédaction de ce billet, car je sens monter en moi... une poussée de complotisme.
«Le vrai génie réside dans l'aptitude à évaluer l'incertain, le hasardeux, les informations conflictuelles». - Winston Churchill
source : Sérénité Patrimoniale