29/05/2021 telex.ovh  5min #190232

 Covid-19 : «L'obligation vaccinale doit maintenant être envisagée», estime l'Académie de médecine

Blacknight

Je reviens de la nuit noire particulière fomentée par ces aliènes qui nous occupent.

Comme on dit, quand on accepte un cadeau, on accepte plus.

À partir du moment où on accepte la vaccination obligatoire, on accepte le principe qu'il véhicule, celui de la médication obligatoire.

C'est ainsi que dans un laboratoire a été conçu une sorte de caddie qui contient une très vaste panoplie de calmants et de sédatifs, qui sont automatiquement injectés à distance sur les passants sélectionnés.

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Quand cet objet est conçu, il est drôlement mal fichu. Les colons ne sont pas très imaginatifs ou pratiques. À eux seuls, s'ils devaient penser à tout, rien ne marcherait comme prévu.

Par contre ils peuvent compter sur le soutien sans faille des startupers, entrepreneurs combatifs, pour trouver les solutions les plus adéquates pour faire accepter l'idée générale.

Si vous voulez faire fortune et vous étonnez que ceux qui y parviennent ont des idées vraiment stupides et contre-intuitives, il suffit de placer dans votre projet un élément d'habituation à la dictature mentale planifiée, pour qu'il déclenche automatiquement une pluie de dollars.

Vous aurez toujours des supérieurs qui ne vous avoueront jamais quel est leur vrai intérêt, mais tenteront de deviner discrètement jusqu'où vous êtes prêt à aller.

Vous serez riche, célèbre, adulé, complimenté, et un jour dans un hammam après le golf, au détour d'une conversation informelle, on vous demandera quel sera votre prochain projet, et c'est là qu'il faudra bien répondre. Si vous persistez dans le vice, on vous répondra d'une tape sur l'épaule "Tu sais quoi ? Passe demain matin à mon bureau". En général il faut venir avant les employés, en laissant une heure de marge avant qu'ils n'arrivent. Les gens qui font le mal aiment bien le faire avant le petit déj. Le reste de la journée, c'est les vacances, et les gens du peuple n'ont plus qu'à subir les effets.

Par contre si vous vous montrez sensible à ce que vous estimez avoir été une erreur, on vous complimentera et on se désolera pour le triste sort que le destin aura réservé à votre si beau projet.

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Les jeunes les plus prometteurs en termes cognitifs et psychoaffectifs seront isolés pour leur bien dès le plus jeune âge afin suivre des formations où une attention particulière sera portée à la démolition de leur humanité. Les résistants seront rejetés à la rue, tandis que les convertis seront les plus fervents et intouchables caporaux du mal.

Ils attendront leurs cibles avec patience et insistance, dans le but de leur administrer la correction qu'il leur semble mériter, munis d'armes de pointes et d'outillages sophistiqués, qu'ils considéreront comme leur propre intelligence. Ils s'attaqueront en particulier à ceux qui sont désignés comme déviants et qui refusent la paix promise par la soumission et l'oubli de leur liberté.

La liberté sera associée au terrorisme, car on ne sait jamais quels sont ses effets et qu'elle participe au chaos. C'est étonnant puisque les commanditaires eux-mêmes considèrent que l'univers n'est qu'un chaos qui n'a aucun intérêt. Seront considérés comme ayant une grande noblesse d'âme ceux dont les actes et les paroles sont entièrement guidés par des automatismes acquis. Il y aura des moyens d'en mesurer la pression subconsciente et ces personnes, qui agissent sans conscience et avec application en suivant les règles établies, seront les mieux classés dans la société. Elles auront un sentiment de supériorité guidé par l'évidence et le rejet de toute forme de contrariété.

Pour le reste de la masse impossible à éduquer car il est trop tard pour eux, il y aura des habitations souterraines en béton brut sans porte ni fenêtre, rendus inutiles par la conservation de la moiteur ambiante. Chaque groupe de dix personnes a un abris numéroté qui lui est assigné, il n'y a aucune circulation d'air ni aucune propreté, et l'odeur des cadavres qui pourrissent est suffocante. Les gens dorment à-même les meubles en béton, et se dérouillent pour avoir un minimum confort avec de vieux linges puants.

Les ouvertures béantes ne laissent aucune sécurité la nuit et les crimes sont monnaie courante, afin de pousser les résidents à la soumission pacifique. Lorsque ce n'est pas le cas, des déviants sont poussés à les éliminer, avant de l'être eux-mêmes, alors pourtant qu'ils auraient largement pu être empêchés, si effectivement la surveillance constante était bienveillante. Mais au contraire, les esclaves sont amenés à faire perdurer eux-mêmes leur propre esclavage.

C'est triste quand on voit des gens bien se faire rattraper par des caporaux pour participer à des missions auxquelles ils sont conditionnés. Ils deviennent des bêtes sauvages malgré eux, et sont poussées à le faire. C'est plus triste encore que ces cantines où les gens se battent pour une nourriture de pâte visqueuse blanche dans une odeur insoutenable. Ceux qui veulent s'évader en s'accrochant au train de marchandises souterrain meurent gelés, mais libérés de cet enfer.

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S'il n'y avait qu'un seul souhait que cette humanité perdue aimerait voir se réaliser, ce serait de revenir en arrière quand il était encore temps de mettre fin à cette folie, et de chasser les commanditaires en clamant "Liberté !", un concept si effrayant pour eux qu'il suffit à les faire partir. Le pire à craindre dans une vie, c'est l'irréparable.

 telex.ovh