Chers Membres, Chers Lecteurs
Le monde occidental qui représente à peine 18% de la population mondiale et qui se gargarise de contradictions et de dénis glisse, à nouveau, vers une polarisation des opinions publiques dans un camp comme dans l'autre.
C'est ainsi qu'à Davos, lors du WEF qui s'est tenu du 22 au 26 mai derniers, le site qui abritait usuellement la Maison de Russie est devenu celui des prétendument « Crimes de Guerre russes », tandis qu'à l'intérieur du spacieux Pavillon ukrainien on évoquait déjà le chemin menant l'agresseur face aux juges du Tribunal Pénal International.
Après s'être intronisé maître du monde, le président et fondateur du World Economic Forum Klaus Schwab rêve-t-il d'être aussi super magistrat ?
Dans tous les cas, l'attitude constatée lors de cette édition 2022 a été salement teintée de discrimination à l'encontre des ressortissants russes qui ont été non seulement exclus mais aussi tous mis dans le même panier. Celui d'une bande de criminels de guerre.
Non pas pour ce qu'ils font mais pour ce qu'ils sont ! C'est-à-dire pour le simple fait d'être russe.
Vu ce qui précède, l'Association suisse Anticrim dénonce pénalement auprès du ministère public de la Confédération (MPC) ce qu'elle estime être constitutif d'une infraction aux normes antiracistes de l'article 261 bis du Code pénal suisse (CPS).
La plainte qui a été adressée ce jour 4 juin 2022 en courrier chargé est annexée au présent message.
Ajoutons, que toutes les formes de discrimination relatives à l'origine ; à la religion ; à la nationalité ou à l'ethnie de l'individu se poursuivent normalement d'office en Suisse.
Précisons... « normalement » !
À présent, nous ne pouvons exclure une justice à deux vitesses ni même l'existence de passe-droits au bénéfice de certains individus qui s'estiment supérieurs à la masse et qui estiment avoir le droit de décider comment celle-ci doit penser et comment elle a droit d'exister.
Les récentes postures lâches et peu responsables prises par les ministres helvétiques tant sur le dossier ukrainien qu'en matière de religion vaccinale expérimentale n'augurent rien de bon.
À suivre.
Avec nos cordiaux messages
Le Comité d'Anticrim
envoyé par François Meylan