par Éric Fery
Ah l'Élysée, avec dans ses sous-sols un bunker où se prennent les décisions stratégiques. Et surtout, c'est de là que pourrait être décidé l'envoi de missiles nucléaires (ASMPA) sur décision d'un être immature, sociopathe qui est notre président actuel. On ne sait pas s'ils sont encore opérationnels, mais la menace est réelle d'avoir un retour de bâton multiplié par 1000. Nous étant fait arnaquer, enfant, avec l'histoire du Père Noël, devenu adulte, nous sommes devenus un peu suspicieux.
Juste sous la place de la Concorde. Là où l'on guillotinait en 1792, en public, les pauvres insouciants profiteurs du système, nés «noble» à l'insu de leur plein gré. Un peu comme les juifs d'aujourd'hui, en moins dramatique, qui chouinent à chaque chiquenaude, s'ils ne les inventent pas eux-mêmes.
«On nous veut du mal, nous sommes des victimes uniquement parce que nous sommes juifs. On n'a rien fait !»
Vraiment ?
On peut déblatérer pendant des heures sur les conséquences de «l'antisémitisme» (Quoi, les Palestiniens, les Irakiens, les Syriens, les Houthis, ne seraient pas sémites ?), sans jamais aborder les causes historiques et sociologiques. Les mêmes juifs qui affirment qu'il n'y a pas de nourrissons innocents à Gaza ou ailleurs. On dira ça à l'oreille des cadavres d'enfants assassinés dans le plus grand mépris des médias occidentaux et des partis présidentiels du monde dit «libre».
Palestine... Renversement de perspective. Inversion de la moindre humanité. Ah, désolé. Nous avions oublié, pauvre de nous, que vous, les juifs israéliens, faisiez partie du peuple élu par le Dieu que vous avez intelligemment inventé, à votre seul profit. Mea culpa, mea culpa. Mea maxima culpa. On va se flageller, faire Achoura (عَاشُورَا) aussi ? Non mais. Vous pourriez lire de temps en temps les évangiles synoptiques, et leurs messages d'amour et de compassion, puisque vous voulez nous persuader que Jésus était juif ! Il y a aussi dans le Coran, quelques belles sourates.
L'Élysée est le lieu le plus emblématique pour tous les Français. Plus que le tour Eiffel ou les «Champs Elysées».
Alors que s'y passe-t-il dans ce putain de château ? Avec ses 825 personnels (!). C'est là où l'on reçoit les invités de marque, là où se passe le conseil des ministres, là où se décide le destin du peuple de France, de certains pays africains et en ces jours, du pauvre peuple ukrainien. Peuples à qui l'on ne demande jamais leur avis. Un pays, la France, qui n'a plus aucune opposition politique intérieure digne de ce nom face à la tyrannie qui se met en place, tout doucement, insidieusement.
Et tout ça, sous le regard fuyant des politiciens «contestataires» qui votent ou s'abstiennent hypocritement de toutes ces lois liberticides peaufinées par des cabinets de conseils privés de toute morale. La morale jouant bien évidement sur le moral du peuple dont nous faisons tous partie. Ne sommes-nous pas, nous Français, au regard du monde, comme des mangeurs de grenouilles auxquelles nous nous identifions ? Pauvres batraciens qui attendent leur heure funeste dans la marmite d'eau tiède et qui monte sournoisement en température sous le feu nourri des impositions.
Nous étions prévenus depuis le discours d'Emanuel Macron devant la pyramide du Louvre, symbolique des Francs-maçons en 2017, et cette monstrueuse menorah sur le Champ-de-Mars. De mémoire, il ne semble pas qu'une croix, un croissant étoilé ou un symbole taoïste n'y ai jamais été installé.
Alors, le 22 juin 2018, lors de la fête de la musique à l'Élysée, nous avons vu effaré, comme le reste de la planète, des folles, des trans, des sodomites (ça les regarde) dont le MC arborait un T-shirt sur lequel on pouvait lire : «Fils d'immigré, noir et pédé». La totale. Et comment fait-on (fêtons ?) lorsque l'on est «de souche» blanc/rose, un peu bronzé sous le soleil d'été, et hétéro ? Se poser la question ferait de nous des racistes homophobes ? Ce que nous ne sommes pas, bien sûr. On s'en fout, chacun vit sa vie. Mais de là à imposer cette déviance aux enfants dans les écoles... Un homme, une femme qui font un enfant par amour, c'est pas bien ? Merde alors.
Par contre, nous attendons avec impatience, qu'un intervenant ose poser la question à tous les binationaux qui squattent les plateau TV ou les colonnes des journaux sans parler des radios et qui font la promo du wokisme : Que feriez-vous si la France était en guerre (ce que nous ne souhaitons pas), avec votre deuxième nationalité ? quelle que soit celle-ci. Quel serait votre choix ? On risquerai d'avoir quelques surprises.
Nous regardons aussi, hallucinés tous ces politiques convoqués par le CRIF à son raout annuel. Le CRIF ? «Conseil Représentatif des Institutions Juives de France». Où est le «J» ? Ben, il est peut-être parti en goguette à Tel-Aviv. Alors, sans peur de nous tromper nous traduisons le réel de l'acronyme : Conseil Représentatif des Institutions de France. Et tout s'éclaire, surtout comment arrivent toutes ces lois qui tentent de réprimer la liberté d'expression et surtout celle de la conscience, du bon sens.
Eh bien en ce jour du 18 mars 2024, des gens peu respectables aux yeux du monde, qui soutiennent le massacre de femmes et d'enfants, vont fêter en cet instant précis, le 60ème anniversaire de la naissance de leur boite à ramollir les cerveaux au «château» qui est censé représenter le sommet des institutions au regard de l'État français : l'Élysée.
On rêve ou quoi ? Non, nous sommes bien en France, au pays de «Droits de l'Homme», avec un Macron qui accueille en grandes pompes des souteneurs d'assassins, tueurs de femmes et d'enfants par milliers, à déporter pour les survivants dans des camps de la mort lente et cela sans aucun scrupule et si peu de condamnations des médias de grand chemin... Jusqu'à présent.
Qu'il soit juif ou pas, ne change rien à l'affaire, un criminel reste un criminel.