(Crédit photo. MEE/Mohammed al-Hajjar)
Écoles, hôpitaux, entreprises et habitations ont été dévastés au-delà de l'imagination après 100 jours de bombardements incessants.
La ville de Gaza porte les stigmates de 100 jours de guerre, avec des dégâts considérables causés par les frappes aériennes israéliennes, rendant de nombreuses rues méconnaissables (MEE/Mohammed al-Hajjar).
À court de bois de chauffage, les Palestiniens ont été contraints de brûler leurs biens et leurs déchets solides pour rester au chaud (MEE/Mohammed al-Hajjar).
Avec la chute des températures hivernales, les Palestiniens font la chasse au bois de chauffage pour survivre (MEE/Mohammed al-Hajjar)
Des centaines de milliers de Palestiniens ont été déplacés à plusieurs reprises. Sur cette photo, une famille utilise sa charrette tirée par un âne pour se rendre ailleurs dans le territoire ravagé par la guerre (MEE/Mohammed al-Hajjar).
Près de 70 % des 439 000 habitations de Gaza et environ la moitié des bâtiments ont été endommagés ou détruits par les frappes aériennes et les bombardements israéliens.
Sur cette photo, une famille palestinienne se rend d'une zone de Gaza où elle a trouvé refuge à celle où ils vivaient pour inspecter sa maison endommagée (MEE/Mohammed al-Hajjar).
De larges pans de la ville de Gaza et de ses environs sont détruits par les bombardements israéliens et l'avancée des forces terrestres.
Des hommes remplissent des bidons d'eau. Selon l'ONU, plus de 96 % des réserves d'eau de Gaza sont "impropres à la consommation humaine" (MEE/Mohammed al-Hajjar).
Plus de 23 000 Palestiniens ont été tués, dont plus des deux tiers sont des femmes et des enfants. Sur cette photo, des familles palestiniennes dans un cimetière surpeuplé de la ville de Gaza pour trouver le lieu de repos de leurs proches (MEE/Mohammed al-Hajjar).
Au cours des 100 derniers jours, les bombardements incessants d'Israël sur la bande de Gaza - l'une des zones les plus densément peuplées au monde - ont provoqué carnages et dévastations d'une ampleur historique.
Mohammed al-Hajjar
Source: MEE, 14 janvier 2024
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