Des vaccins trafiqués avec des hormones de grossesse stérilisent les femmes à leur insu
Nous vous proposons ce documentaire en complément de l'émission "Immortalité et dépopulation: la santé au coeur de l'agenda totalitaire" qui sera diffusée prochainement. Les éléments de preuves quant à une nuisance intentionnelle menée sous couvert de programmes d'aide ou de lutte contre des urgences sanitaires s'accumulent. Dans le cas présent, c'est indéniable. On ne retrouve pas des hormones de grossesse dans des vaccins 'par hasard'.
Coproduit et diffusé en 2022 par l'association Children's Health Defense, le documentaire « Infertilité: un agenda diabolique » expose un programme de l'OMS qui a stérilisé des femmes africaines, à leur insu et sans leur consentement.
Il a été porté à l'écran par le Dr Andrew Wakefield, avec le soutien de Robert Kennedy Jr. qui est particulièrement sensible aux crimes commis dans les pays en voie de développement par les organisations internationales et l'industrie pharmaceutique.
« Infertilité: un agenda diabolique » révèle comment l'OMS a administré un vaccin expérimental contre le tétanos, qui contenait l'hormone de grossesse βhCG (gonadotrophine chorionique humaine), à des millions de femmes africaines en âge de procréer, sans qu'elles en aient été informées. En conséquence, beaucoup de femmes ont connu de graves troubles de la fertilité, y compris des fausses couches ou l'impossibilité de tomber enceinte.
Comme le souligne son réalisateur, le Dr Wakefield:
« Ce scandale où l'OMS révèle son vrai visage tombe à point nommé, au moment où l'organisation tente désespérément de prendre le contrôle de la santé mondiale. Cette histoire pointe directement vers la responsabilité de l'OMS ».
Robert Kennedy Jr. s'en prend lui aussi à l'organisation:
« Nous dénonçons la violation flagrante de ce principe par l'OMS dans le cadre de sa campagne sournoise visant à prévenir et à interrompre des grossesses chez des millions de femmes africaines qui ne se doutaient de rien. L'OMS a fait croire à ces femmes qu'elles participaient à un programme de santé publique visant à protéger leurs nouveau-nés. Ce message tombe à pic: l'OMS n'est pas en mesure, à quelque niveau que ce soit, de dicter la politique mondiale en matière de santé. » Robert F. Kennedy Jr.
Le scandale exposé dans ce film porte à réfléchir de manière plus large sur les symptômes d'infertilité qui se manifestent dans le monde entier, en lien avec d'autres vaccinations, en particulier le vaccin Gardasil et les injections COVID-19«.
Car, comme nous alertait le Dr Stephen Karanja, un des principaux protagonistes de cette affaire, disparu peu après le tournage: « Quand ils en auront fini avec l'Afrique, ils viendront pour vous ».
La présentation par Naomi Wolf au Parlement européen des « Pfizer Papers » vient d'en apporter la confirmation: les vaccins Covid ont provoqué une baisse de la fertilité dans les pays qui ont le plus vacciné, les risques étaient connus dès le départ et l'on est forcé de conclure qu'il y avait bien une intention de nuire...
Voir le film en anglais, sous-titré en français (cliquer sur FR sous « Available in these languages » puis cc en bas à droite de la vidéo): infertilitymovie.org
Voir également:
Emission spéciale sur CHD.TV où d'éminents experts ont discuté de leurs préoccupations concernant l'augmentation des taux d'infertilité et de la manière dont d'autres vaccins, y compris le COVID-19, sont liés à l'infertilité.
Traduction du dernier entretien du Dr Karanja, avant sa disparition
