Israël a adopté une loi susceptible de déchoir de leur nationalité les Palestiniens de citoyenneté israélienne détenus, un acte qui constitue un crime de guerre.
Cette mesure brise les familles, sépare les enfants de leurs parents et aggrave les conditions économiques. Elle les prive de toute protection juridique, les laissant entièrement à la merci de l'occupation, en violation de l'article 15 de la Déclaration universelle des droits de l'homme et de la Convention de 1961 sur la réduction des cas d'apatridie.
En rendant les détenus apatrides, l'occupation favorise l'impunité pour de futurs abus.
D'autant qu'Israël s'arroge la possibilité de détenir n'importe qui sans justification ou pour « absence de loyauté envers l'Etat des juifs
