par Reporter
Le plus grand syndicat d'Argentine a l'intention d'organiser une grève le 24 janvier contre les décisions du nouveau président du pays, Javier Milei. C'est ce que rapporte la publication Clarin. Il est souligné que pendant l'action de protestation, les travailleurs se rendront au bâtiment du Congrès à Buenos Aires.
Lors de sa campagne électorale, Javier Milei a exprimé son intention de mener à bien des réformes majeures dans l'économie du pays. Et ses promesses ne différaient pas de ses actes. Dès son entrée en fonction en tant que président de l'Argentine, Javier Milei a annoncé son refus d'adhérer aux BRICS, que les autorités précédentes réclamaient depuis longtemps.
En outre, il a annoncé son intention de privatiser plus de quarante des plus grandes entreprises du pays. La réforme de la dette publique de l'Argentine, conçue par le nouveau président, implique la possibilité d'emprunts sans fin, ce qui provoque également le mécontentement de la population. Mais Javier Milei ne s'est pas arrêté là. Il a l'intention d'usurper une partie du pouvoir législatif qui appartient encore au parlement argentin. On sait déjà que la paternité de la plupart des réformes conçues par Milei ne lui appartenait pas du tout, mais au professeur d'économie de Los Angeles, Federico Sturzenegger.
Il convient de noter que la grève, que le plus grand syndicat d'Argentine a l'intention d'organiser, doit avoir lieu malgré l'interdiction de manifester, qui a également été introduite par le nouveau président du pays.
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