par Sérénité Patrimoniale
Introduction
Notre monde occidental se meurt et nous ne le voyons pas. Face aux manipulations et à la censure institutionnelles, une information fiable et une juste analyse sont des sources de résilience. L'objectif de ce blog, qui traite de «l'écume des choses», est de vous aider à comprendre les véritables règles du jeu de nos «démocraties». Celles qui nous sont si soigneusement cachées.
«L'individu est handicapé de se retrouver face à une conspiration
si monstrueuse qu'il ne peut croire qu'elle existe» ~ (John Edgar Hoover)
Ce ne sont plus des faits isolés, mais une tendance
Cette Europe, espérée par les peuples, mais faite de toutes pièces contre les Européens, afin d'empêcher l'union entre l'Europe de l'Est (essentiellement, la Russie), avec l'Europe de l'Ouest (France, Allemagne, Espagne, Italie...), se meurt et c'est tant mieux.
Lorsque j'écris «c'est tant mieux», il faut comprendre que cet état de mort imminente est une bonne nouvelle, sur le plan politique, mais... c'est là que tout commence.
Soit, nous prenons notre destin en main et rebâtissons, entre Européens, une Europe conforme à l'intérêt des peuples, ou bien nous laissons le reste du monde (États-Unis d'Amérique, BRICS et Sud global) se développer à notre détriment. Dans cette «l'Otaneurope». La crise est grave :
• Ce sont les patrons allemands qui défilent dans la rue, en guise de «journée d'avertissement économique».
Cela s'inclut dans la perspective des prochaines élections, où la montée du parti politique «Alternative pour l'Allemagne» ( AfD), est qualifiée par la bien-pensance européiste, d'extrême droite ou de droite populiste. Ce parti lutte contre l'immigration de masse et la bureaucratie européenne.
• Chez nous, c'est le patron des patrons ( MEDEF), Patrick Martin, qui, après la surtaxe exceptionnelle des entreprises, prévue par le nouveau gouvernement, déclare sur RTL : «Je sens la colère monter (...) L'incompréhension tourne à la colère. Les conséquences, ceux qui peuvent partir partent et ils ont raison».
Cette véritable destruction des états de l'Europe est voulue par sa direction politique : la commission et sa présidente Davosienne, Ursula Von der Leyen.
Pour assoir son pouvoir, la commission n'hésite pas à intervenir dans les élections «démocratiques» se déroulant dans des pays d'Europe... quand les résultats ne sont pas de son goût. Toute élection remportée par une personne anti-OTAN est qualifiée «d'ingérence russe» :
• Ici, c'est notre ex-commissaire, Thierry Breton qui reconnait, sur BFMTV, que c'est Bruxelles qui a fait annuler les élections en Roumanie, car les résultats ne lui convenaient pas !
• Là, c'est une élection présidentielle en Géorgie, dont le résultat déplait à «l'Otaneurope». L'ancienne présidente, Franco-Géorgienne et pro-Europe, est nettement battue (53,93% contre 37,79%) par le représentant du parti «Rêve géorgien», ouvertement contre l'OTAN. Elle conteste la régularité du résultat, du fait d'une pseudo « ingérence russe». Même le mari de Brigitte se permet de contester le résultat, ce qui lui vaut un tacle bien mérité.
Pire, «notre Europe» nous entraine dans une guerre contre la Fédération de Russie, alors que le conflit russo-ukrainien n'est pas le nôtre et que nous avons tout à perdre, à y participer.
Les sanctions européennes contre la Fédération de Russie sont la L'ÉCONOMIE RUSSE NE S'EST PAS EFFONDRÉE...MAIS LA NÔTRE VA MAL ! - Jacques Sapir de la perte des ressources énergétiques bon marché, qui faisaient tourner l'industrie européenne, principalement allemande.
Comme si cela ne suffisait pas, cette «Europe démocratique» se prépare à contourner ses propres règles, pour adopter un prochain paquet de sanctions contre la Russie. La présidence tournante de l'Europe est actuellement assurée par la Pologne.
Son ministre des Affaires étrangères, Radosław Sikorski, 𝕏 s'est vanté sur sa page X, que son objectif est d'empêcher des pays, comme la Hongrie et la Slovaquie, d'exercer leurs droits de veto légitimes, s'ils estiment que certains éléments des prochaines sanctions anti russes seraient contre-productifs ou nuiraient davantage à l'économie de l'Europe qu'à celle de la Russie.
Cette manœuvre de contournement des traités est aussi grossière qu'efficace. Il faut que la décision des sanctions ne soit pas prise à l'unanimité (comme prévu par les traités)... mais à la majorité qualifiée. Pour ce faire, il suffit de les faire passer pour des mesures commerciales et non de politique étrangère !
En effet, les mesures commerciales ne peuvent faire l'objet de veto, contrairement aux mesures de politique étrangère ! Astucieux, non ? Scandaleux, antidémocratique et totalitaire, oui ! Comment ne pas comprendre que l'Europe actuelle ne survivra pas longtemps à ce genre de pratique.
En effet, ce précédent sera facile à invoquer pour justifier d'autres décisions, ce qui entrainera la disparition du droit de veto des pays «hostiles», au profit d'une «gouvernance européenne» véritablement efficace. C'est clairement ce que souhaite «l'amie Ursula».
Comme tout lanceur d'alerte et, par définition, je préviens longtemps avant que les faits apparaissent au grand jour. Crise financière grave, ruine de beaucoup d'épargnants, guerre civile, recomposition géopolitique du monde, que j'ai annoncé depuis de nombreuses années... tout cela commence à être ouvertement évoqué par les médias «Z'officiels».
L'immense avantage d'être informé avant les autres, est d'avoir le temps de se préparer à affronter, voire éviter les conséquences de ce profond changement de société.
Quoi faire, face au début d'effondrement, à bas bruit, de la bourse ?
Comment se prémunir du risque de réquisition de nos biens, voire de nos personnes, par le gouvernement ?
Pourquoi il faut abandonner certaines de nos certitudes patrimoniales ?
Quelles sont les questions à se poser, impérativement et maintenant, face aux «mesures de relance gouvernementales» ?
Les informations présentes dans chaque numéro des « Rendez-vous d'Hubert», vous donnent des réponses pratiques à ces questions (et à bien d'autres). Mieux, elles vous expliquent comment les mettre en œuvre, pratiquement, sereinement et efficacement, loin du tumulte et de la peur ambiante.
Beaucoup de choses sont encore possibles. Cependant, comprenez que le temps travaille contre ceux qui, victimes de la propagande et des mensonges officiels, n'ont pas encore pris la mesure de l'ampleur des changements civilisationnels à l'échelle planétaire.
Cette profonde restructuration du monde s'accélère. La première étape a commencé le 24 février 2022, avec le déclenchement de l'opération militaire spéciale en Ukraine, par la Fédération de Russie.
La seconde démarre le 20 janvier 2025, avec l'investiture de Donald Trump, comme quarante-septième président des États-Unis d'Amérique.
Il est grand temps d'avoir le courage d'oser regarder la vérité en face, mieux s'informer... et agir. L'heure n'est plus à incriminer telle ou telle entité économique ou politique, mais à se sortir de ce maelstrom qui va emporter tant de personnes, encore incrédules.
«L'individu est handicapé de se retrouver face à une conspiration si monstrueuse qu'il ne peut croire qu'elle existe» ~ ( John Edgar Hoover)
source : Sérénité Patrimoniale