Je souhaite commencer ce nouvel article, en recommandant à tout lecteur d'écouter attentivement ce dialogue qui a été enregistré le 12 juillet 2021, entre un expert, le Dr David E. Martin, directeur de M-CAM, une société mondiale de contrôle des brevets d'innovation, et le Dr Reiner Fuellmich, le Dr Wolfgang Wodarg, le Dr Viviane Fischer et le Dr Martin Schwab du Comité Alemán de Investigación del Coronavirus [en espagnol et lien en bas de l'image pour la version originale en anglais].
Pour résumer le propos essentiel de cet entretien, je dirais qu'il est nécessaire de connaître l'origine de toute cette histoire autour du coronavirus, pour comprendre ce qui s'est passé et pour mesurer le sens réel de la tyrannie sanitaire actuelle.
Lorsqu'on sait ce qui se trouve en amont de cette « crise », on peut alors comprendre ce qui était incompréhensible et qui nous a fait dire bien des fois que le « Coronavirus » n'était vraiment pas le sujet de toute cette histoire.
En effet, comment pouvions-nous comprendre que les nombreux traitements efficaces contre la Covid-19 aient été carrément interdits de prescription, interdits de vente et misérablement dénigrés par des médecins ou naïfs ou minés par des conflits d'intérêts ? Comment pouvions-nous comprendre que les autopsies des malades déclarés décédés du coronavirus aient été rigoureusement interdites ? Comment pouvions-nous comprendre les différentes falsifications massives des chiffres concernant le coronavirus ? Comment pouvions-nous comprendre ce discours non scientifique sur les masques ? Comment pouvions-nous comprendre la propagande de la terreur et le contre-sens scientifique des confinements comme les règles qui allaient détruire brutalement les économies locales ainsi que les relations humaines jusque dans les familles elles-mêmes ? Tout cela a été tiré au clair depuis mars 2020 et publié régulièrement sur mondialisation.ca par les recherches sur plus d'un an et demi de mensonges des autorités et les abus invraisemblables imposés brutalement aux peuples principalement occidentaux.
Ceux qui réclament toujours des preuves et des sources complémentaires à toutes ces réflexions, peuvent me les demander en passant par mondialisation.ca. Je ne peux pas les publier ici car elles représentent, rien que pour mes recherches personnelles, 80 pages A4 : c'est à elles seules un livre entier ! Les sources d'informations ne manquent pas pour celui qui veut vraiment s'informer. Les études scientifiques sur les traitements contre la covid-19 sont parfaitement accessibles et sont pléthores. Tout récemment, des chercheurs de l'Institut Pasteur ont publié leurs travaux sur un nouveau traitement particulièrement efficace contre la Covid-19 ainsi que des résultats confirmés sur l'efficacité de l'ivermectine et plusieurs médicaments utilisés à d'autres fins, recensés dans la pharmacopée.
Quant au délire actuel sur les « vaccins », là nous avons atteint un sommet dans la psycho pathologie de ceux qui veulent coûte que coûte nous imposer leur certitude qui ne traduit à mes yeux qu'un trouble obsessionnel compulsif relevant d'un égarement mental majeur et dont nous avons déjà analysé les tenants et les aboutissants dans d'autres articles postés ici-même.
Examinons ensemble ce qui était en amont de toute cette histoire de coronavirus. Je vous propose des extraits de ce dialogue qui est long et qui a été entièrement traduit en espagnol. Je vous donne ici ma traduction française de quelques extraits.
L'expert américain, le Dr David E. Martin directeur du M-CAM, disait dans cet entretien avec le Comité Allemand d'investigation sur le Coronavirus :
« Nous avons passé en revue les plus de 4000 brevets qui ont été délivrés autour du coronavirus du SRAS. Et nous avons fait un examen très complet du financement de toutes les manipulations de coronavirus, celles qui ont abouti au SRAS en tant que sous-catégorie de la famille des coronavirus bêta... »« La supposée « nouveauté » du SARS CoV-2 n'est toujours pas avérée. Nous savons précisément qu'il y a 73 brevets accordés à diverses sociétés pharmaceutiques depuis plus d'une décennie pour exploiter commercialement cette « pandémie de coronavirus ». »
« Depuis au moins deux décennies, le monde pharmaceutique prépare minutieusement ce qui se passe depuis un an et demi.
Tout ce qui est dit « nouveau » dans cette version du virus - site de clivage polybasique, domaine de liaison au récepteur ACE2 et protéine de pointe - est connu et des brevets ont été délivrés pour l'exploiter de manière rentable pendant de nombreuses années.
Il n'y a donc ni virus naturel ni fuite en laboratoire : tout a été préparé, pensé, organisé ! »
« Le concept « New Normal » a été introduit en 2004 aux Etats-Unis. Des travaux ont été menés sur la conceptualisation et la réponse à un phénomène de dissémination délibérée du SRAS pendant des décennies.
L'OMS elle-même a présenté son « manuel » sur la façon de gérer la situation de crise en septembre 2019, rassemblant l'expérience accumulée sur quinze ans. »
« Ceci, mes amis, est la définition de l'association de malfaiteurs, du chantage et de la collusion. Ce n'est pas une théorie. J'ai ici toutes les preuves objectives indiscutables. Vous ne pouvez pas avoir d'informations qui sont encore dans le futur pour informer et préparer le traitement de quelque chose qui n'existait pas encore. »
« Il n'y a pas eu d'« épidémie » de SRAS », car les hommes en avaient eux-mêmes conçu tous les éléments. Et en 2016, le document qui a été financé lors du moratoire sur le gain de fonction, qui disait que le coronavirus du SRAS, était préparé pour l'urgence humaine, rédigé par Ralph Baric n'a pas seulement été préparé pour l'urgence humaine, mais avait été breveté pour une exploitation commerciale ! Soixante-treize fois. »
« Il n'y a eu aucune fuite de laboratoire. Cela transformait intentionnellement la protéine de pointe en une arme biologique, pour injecter des gens et les rendre accros à un vaccin universel contre le coronavirus. Cela n'a rien à voir avec un agent pathogène qui a été libéré. Et chacune des études qui ont été lancées pour essayer de vérifier une fuite de laboratoire est quelque chose qui n'était destiné qu'à détourner l'attention. »
« Dans les dépôts de brevets modifiés de Moderna, nous voyons qu'il y a une épiphanie, lorsqu'ils disent : « Et s'il y avait une libération accidentelle ou intentionnelle d'un agent pathogène respiratoire ? » Ce qui rend cette phrase particulière inquiétante, c'est qu'elle est récitée exactement de la même manière dans le livre « Un monde à risque », qui est le scénario mis en place par l'Organisation Mondiale de la Santé en septembre 2019. C'est-à-dire des mois avant qu'il y ait un agent pathogène suspecté. Ils écrivent donc déjà que nous devons avoir une expérience mondiale coordonnée d'une libération d'agents pathogènes respiratoires, qui d'ici septembre 2020 devrait mettre en place une capacité universelle de gestion des relations publiques, de contrôle des foules et d'acceptation d'un mandat universel de vaccin. »
« Peter Daszak lui-même affirmait que nous devions « créer une agitation publique pour amener les gens à accepter la contre-mesure médicale d'un vaccin universel contre le coronavirus. »
«... Avons-nous un vaccin contre un virus ? Le fait est que non. Nous injectons une séquence d'ARNm de protéine de pointe secrète, qui provient d'une simulation informatique, et qui n'est pas dérivée de la nature. Il s'agit d'une simulation informatique d'une séquence connue et brevetée depuis des années. Et ce que nous savons, c'est que cette séquence, telle que rapportée, a été connue par le biais d'une conversation téléphonique qui a eu lieu entre Moderna et le Vaccine Research Center, par auto-déclaration. »
« La nature ridicule de l'histoire selon laquelle ce vaccin est en quelque sorte prophylactique ou préventif se moque à 100% des preuves scientifiques, car les preuves montrent très clairement qu'aucune entreprise pharmaceutique n'a fait d'efforts pour lutter contre le virus. Pour elles, il s'agit exclusivement d'amener les gens à s'injecter des protéines de pointe, connues pour leur nature nocive. Donc, la première histoire est que si vous obtenez une expression d'une protéine de pointe, vous allez avoir une sorte de soulagement général des symptômes. Mais le fait est qu'il n'y a jamais eu l'intention de vacciner une population, si l'on utilise la définition consacrée au sein de l'univers professionnel de la vaccination. »
«... La tragédie c'est que nous sommes maintenant passés dans un monde où des centaines de millions de personnes se font injecter une séquence informatique qui est un agent pathogène stimulant, vendu sous ce que le bureau des brevets, ce que la profession médicale et ce que la FDA et ses propres directives cliniques ne nomment jamais comme vaccin. Mais en utilisant ce terme, nous soumettons maintenant des centaines de millions de personnes à ce que l'on savait être, dès 2005, une arme biologique. »
Dr Martin SCHWAB :
« Quiconque ose déclarer la menace de la covid-19 moins dangereuse que ne le déclare le gouvernement, sera dénoncé comme un « théoricien du complot », voire un délirant etc. Les médias sont donc exactement ce que vous avez souligné dans la phrase que vous avez répétée deux fois auparavant. En fait, ils nous racontent l'histoire du variant Delta, qui serait beaucoup plus contagieux qu'autre chose. Les experts avec qui j'ai parlé m'ont dit que les bases de données contiennent jusqu'à 40 000 variants de virus environ. Alors, ce variant delta pourrait-il être une sorte de propagande créée par les médias ?
MARTIN : Il n'y a rien de tel qu'un variant Alpha, Beta, Gamma ou Delta. C'est le moyen par lequel ce que vous recherchez désespérément peut être obtenu ; c'est le degré de chantage idéal pour lequel les individus seraient contraints d'accepter quelque chose qu'ils n'accepteraient pas autrement. »
« Si j'ai quelqu'un qui dit que nous devons utiliser les médias pour faire du battage publicitaire une contre-mesure médicale, qui est, en fait, l'injection d'une protéine synthétique chimérique recombinante, développée à partir d'une simulation informatique, si je veux vraiment écouter la motivation pour laquelle cela peut être fait, j'écouterais la personne qui fait la manipulation, celui qui dit que « les investisseurs continueront, partout où ils voient des bénéfices ». Je n'ai pas besoin de plus d'explications... »
A l'origine, c'est donc un plan minutieusement mis en place pour s'assurer une rentabilité commerciale pharmaceutique gigantesque et pour longtemps.
Puis, à cette occasion, le Forum Economique Mondial de Davos allait, à son tour, estimer qu'il y avait là une « fenêtre d'opportunités » pour réaliser le « Great Reset ». Le Dr Klaus Schwab envoyait un livret d'instructions à tous les Gouvernements du monde pour leur indiquer la façon dont il serait possible et providentiel de changer radicalement la situation de crise dans laquelle le capitalisme sous sa forme ultra libérale avait conduit le monde...
Tout cela devenait une aubaine pour cacher avantageusement la débâcle d'une chute vertigineuse du capitalisme refusant de reconnaître son échec flagrant tout en passant « au tout numérique » !
C'est la brillante analyse du journaliste d'investigation, Jean-Loup Izambert, qui nous a éclairés sur cette question (Cf., L'effondrement du capitalisme et le rideau de fumée de la COVID-19 | www.mondialisation.ca - 29/03/2021)
Les puissances d'argent, heureuses de tourner à leur avantage cette aubaine, allaient en profiter pour se débarrasser d'une partie de l'humanité, celle des « inutiles », celle des « substituables », celle qui proteste, celle qui ne se laisse pas faire, celle qui empêche le petit nombre des nantis et des « élites » stato-financières au pouvoir, de déguster sans partage le gâteau de la vie !
Quelle aubaine que cette « protéine de pointe élaborée pour les injections anti-covid, fut en même temps une arme biologique ! » La solution à tous les problèmes des capitalistes était enfin trouvée ! Le gros morceau serait d'arriver à contraindre les masses de se faire piquer... Et là, Macron aura été le champion du monde dans la perversion et le génie de « rendre la vie impossible » à tous ceux qui résisteraient à ce programme génocidaire en allant jusqu'à imaginer cette injection mortelle obligatoire même pour les enfants en bas âge !
Bien entendu, pour parvenir à cette fin des banquiers et de leur monde totalitaire, il avait besoin d'une population politique à côté de ses pompes pour ne pas dire demeurée, une bande d'ignares ne comprenant rien à ce qui était en cause, manipulés, désinformés, abusés, ou au contraire de parfaits salauds collabos qui lui faciliteraient la tâche de haute trahison, toutes personnes utiles qu'il trouverait sans mal dans le monde sectaire du médical et de l'industrie pharmaceutique grâce à une pratique décomplexée du « conflit d'intérêts », la corruption traditionnelle des « élites » achetées pour les trente deniers de Judas ou une légion d'honneur pour tous les mensonges défendus comme une vertueuse vérité !
Actuellement la propagande sur la nouvelle vague du variant Delta n'hésite pas à falsifier les chiffres réels pour maintenir le peuple dans la peur. Elle dénonce les milliers de cas qui menacent déjà de saturer les services hospitaliers vidés de plus de 2000 lits pendant cette crise même. Personne n'entend jamais dans nos rues le bal ininterrompu des sirènes d'ambulances convoyant les milliers de cas vers nos hôpitaux surchargés ! Le personnel infirmier lui-même nous dit qu'il ne voit toujours pas la couleur de ces milliers de cas de « non-vaccinés » contaminés par le variant Delta ! Le mensonge continue et le discours manipulateur de ce Gouvernement nous donne la nausée. La protestation devient énorme, elle s'est déjà multipliée par deux depuis le 17 juillet dernier.
Désormais, en sachant ce qui était en amont de toute cette histoire, nous comprenons désormais pourquoi le bluff demeurait nécessaire pour Macron ; pourquoi cet acharnement ne pouvait que déboucher sur une implacable confrontation. La maltraitance va encore durer un temps pour les non « vaccinés », mais ce temps est déjà compté, car l'abus ne peut jamais franchir les limites de ce qui est naturel et ce qui est naturel, en l'occurrence, c'est le résultat collectif inévitable qui va se manifester dès que l'horloge biologique des effets des ARNm de protéine de pointe aura sonné son heure...
Jean-Yves Jézéquel
La source originale de cet article est Mondialisation.ca
Copyright © Jean-Yves Jézéquel, Mondialisation.ca, 2021