25/10/2025 reseauinternational.net  13min #294400

Les shabbat-goys

par Israël Shamir

Feue la sainte du calendrier communiste Rosa Luxemburg appelait souvent ses adversaires «Shabbat-goys» (1), ce qui signifie serviteurs des juifs. Un Shabbat-goy est un non-juif qui se plie à tous les souhaits et caprices des juifs, en particulier en politique, ou bien un non-juif qui soutient fortement Israël, dit le dictionnaire. Ils constituent une race à part.

On peut discuter de la façon dont les juifs dirigent avec succès les pays qu'ils dirigent. Il y a plus ou moins d'exemples réussis. Habituellement, la domination juive est bonne pour le roi et sa coterie, et mauvaise pour Jean, Pierre et Paul, les gens ordinaires. La politique d'une élite cosmopolite étrangère peut être mise en échec par la majorité de la population de n'importe quel pays, mais une fois qu'une classe de Shabbat-goys s'est développée, personne n'est en mesure d'échapper à la domination juive, ruinant inévitablement le pays. C'est ce qui s'est passé avec la Pologne ; c'était un royaume puissant qui avait combattu avec succès la Russie et la Turquie. Mais les Polonais ont autorisé les juifs à gérer leur pays, et en un rien de temps, la Pologne s'est effondrée et elle a été morcelée. C'est ce qui s'est passé avec la Russie ; une forte influence juive l'avait amenée au bord de l'effondrement en 1991, et ce n'est qu'avec beaucoup de difficulté que Poutine a pu stabiliser le pays. Depuis le coup d'État américain de 2014, l'Ukraine est dirigée par des juifs, et maintenant elle est en train d'être détruite.

Les États-Unis sont un pays gouverné par les Shabbat-goys, depuis l'époque de Lyndon B Johnson, avant Nixon. Donald Trump, apparemment un homme imposant d'âge, de taille et de poids respectables, s'est également avéré être un Shabbat-goy. Il l'a lui-même admis lors d'un discours à la Knesset. Il s'avère qu'il fréquentait surtout un couple de juifs américains, propriétaires de casinos, et qu'ils avaient financé son chemin vers la Maison-Blanche. Même le jeune Kushner, son gendre, et le vieux Kushner, son beau-père, un fraudeur bien connu et condamné (comme la plupart des hommes d'affaires juifs), et maintenant ambassadeur des États-Unis à Paris, sont ceux qui déterminent les actions de Trump. Leur plan est de détruire Gaza, de construire un country club pour les juifs sur ses ruines, et d'en tirer profit.

Les Américains n'ont pratiquement pas le choix - tous les politiciens en compétition sont des Shabbat-goys. Sur 535, il n'y a qu'un seul membre du Congrès américain, Thomas Massie, qui n'accepte pas de pots-de-vin juifs, mais qu'est-ce qu'il peut faire seul ? Finalement, les États-Unis s'effondreront, parce qu'un pays dirigé par des Shabbat-goys ne peut que s'effondrer - et ils devraient s'effondrer, parce que leur gouvernement ne représente pas le peuple américain. Le pouvoir de l'AIPAC sur le Congrès américain prouve que les États-Unis sont gouvernés par des donateurs juifs. Entre les oligarques juifs et leurs Shabbat-goys, ils ont mis pratiquement tous les médias dans leur poche. Une grande partie de ces largesses juives a été prélevée directement sur le Trésor américain.

«Le soutien inconditionnel à Israël est un test décisif pour se faire accepter dans les principaux médias aux États-Unis. Les experts potentiels «gagnent leurs galons» en manifestant leur dévotion à Israël (et, vraisemblablement, leur adhésion à d'autres enjeux juifs). Il semble difficile d'expliquer le penchant massif en faveur d'Israël en l'absence d'un énorme facteur sélectif résultant d'attitudes individuelles. Et cela suggère, évidemment, que si les juifs sur cette liste doivent être considérés comme des acteurs ethniques, les non-juifs font certainement un excellent choix de carrière en prenant les positions qu'ils occupent», a écrit Kevin Macdonald.

Quelles sont les qualités immanentes d'une société gouvernée par les Shabbat-goys ? La première concerne le fossé entre les riches et les citoyens ordinaires. Les riches sont récompensés et deviennent plus riches, tandis que le citoyen moyen devient de plus en plus pauvre. Dans n'importe quel pays, il y aura des disparités de richesse, mais pas d'une telle ampleur. C'est parce que les juifs élèvent leurs amis et étranglent leurs ennemis. Ils sont très cohérents à ce sujet. Lorsqu'ils prennent le dessus, ils s'emparent du trésor et partagent librement les richesses du pays avec leurs compatriotes Shabbat-goys. Si vous êtes pro-juif, vous et votre famille serez adulés dans les médias et les contrats lucratifs pleuvront. Il suffit que vous traîniez un peu des pieds, et vous vous retrouverez cloué au pilori et appauvri. C'est la leçon qu'ils enseignent, et ils n'ont pas peur de le faire savoir.

La seconde qualité immanente d'une société gouvernée par les shabbat-goys, concerne leurs guerres. Les juifs aiment les guerres, tout comme leurs Shabbat-goys. Ils n'aiment pas assez les guerres pour y participer, juste assez pour les provoquer et apprécier les résultats. Leur oiseau national, c'est l'épervier, parce qu'il a le comportement typiquement juif envers les guerres. Les juifs étaient en première ligne pour déclencher la Première Guerre mondiale, la Seconde Guerre mondiale, les guerres d'Irak et d'Iran, et toutes les petites guerres régionales, mais ils se retirent et laissent leurs Shabbat-goys diriger depuis l'arrière, une fois que le conflit est enclenché. Si la guerre devient impopulaire, c'est le Shabbat-goy qui en endosse la responsabilité. Les Shabbat-goys les plus célèbres aux États-Unis, comme Lindsey Graham, ne sont jamais allés à la guerre, mais ont toujours voté pour la guerre. Récemment, notre Shabbat- goy en chef, le président Trump, a promis de renforcer la campagne électorale de Graham, en le soutenant parce que c'est un néoconservateur (et nous savons tous ce que cela signifie). Même les juifs les plus belliqueux, les Israéliens, préfèrent tuer des fermiers palestiniens désarmés, ou déverser leurs missiles sur leurs ennemis de loin. Aujourd'hui, les juifs américains poussent leur administration de Shabbat-goys à combattre la Russie en soutenant les Shabbat -goys ukrainiens dans leur guerre. Ils savent parfaitement que les Russes et les Ukrainiens ont vécu pendant des centaines d'années en parfaite union, en fait jusqu'à l'arrivée de Mme Nuland, équipée de milliards de dollars pour fomenter son coup d'État juif et sa guerre juive.

Les Shabbat-goys, qui gouvernent la terre au nom de leurs maîtres juifs, n'ont aucune empathie pour leurs sujets. Juste zéro empathie. Cela relève en fait d'un dogme religieux juif : il est interdit à un juif d'avoir de la compassion pour un goy. Et en même temps, tous les juifs sont tenus d'aider tous les autres juifs. Ainsi, ils complotent contre les goys. Il n'y a pas moyen d'y échapper. Dans le film de Stanley Kubrick «2001 L'Odyssée de l'espace», le robot HAL 9000 intervient selon son logiciel qui lui enjoint la méfiance envers l'équipage, ce qui entraîne au final la destruction de l'équipage et la destruction de la mission. De même, on enseigne aux juifs à se méfier des goys, même de leurs propres Shabbat-goys. Lorsque la méfiance juive débouche sur une révolution juive, même les collaborateurs paient le prix fort. Les juifs religieux haïssent les goys «à cause du Talmud». Les juifs non religieux haïssent les goys «à cause de leur race». Il n'y a tout simplement pas de raisonnement possible avec genre de personnages.

Mais le marqueur le plus important d'une société gouvernée par les Shabbat-goys, c'est la politique publique de rejet du Christ. C'est la norme sur laquelle tout l'édifice juif est construit. Et en effet, l'Église et le Christ ont été repoussés par les politiques gouvernementales aux États-Unis et chez tous leurs alliés. Ils interdisent toute référence à Noël, préférant les «vacances d'hiver». Au lieu des Béatitudes du Christ, les écoles et les bureaux américains affichent le Décalogue, les Dix Commandements de l'Ancien Testament. Dans l'interprétation juive, «Tu ne tueras pas» signifie seulement «Tu n'assassineras pas un juif». Selon la loi juive, le meurtre d'un goy est un délit mineur, voire même pas. La plupart des chrétiens ne comprennent pas que les lois noahides sont destinées à remplacer le christianisme. «Les sept lois noahides sont un ensemble de principes moraux et éthiques de la tradition juive qui sont considérés comme contraignants pour toute l'humanité, et pas seulement pour le peuple juif». Les adhérents laïcs qui promeuvent les lois noahides comme œcuméniques et se moquent des principes du christianisme comme étant source de division pourraient tout aussi bien être appelés juifs. Ils haïssent tellement le Christ qu'ils préfèrent vivre dans un «État laïc» sous domination juive. Comme l'expression «le Christ est roi», les États chrétiens et musulmans sont interdits par définition, simplement parce qu'ils ne peuvent pas s'approprier ce genre de réalités.

En Angleterre, le pays qui mène les autres dans la marche vers un univers ordonné selon les normes juives, il est même interdit de faire référence au saint patron de l'Angleterre, Saint-Georges, et beaucoup de Britanniques ont été arrêtés pour avoir brandi la bannière de saint Georges. Voici la ruse employée par les Shabbat-goys en Angleterre : ils ont prétendu qu'ils l'avaient fait pour le bien des immigrants musulmans, pas pour les juifs. C'est un mensonge - les musulmans adorent le Christ, sa mère et saint Georges (ils l'appellent «Al Hadr», et il y a plusieurs sanctuaires portant son nom glorieux). Ce mensonge a pour effet utile de monter les musulmans et les chrétiens les uns contre les autres. Voici le résumé historique jusqu'à présent : premièrement, les Shabbat-goys sont poussés à bombarder des pays musulmans jusqu'à les ramener à l'âge de pierre ; deuxièmement, la cléricature juive prêche qu'il est du devoir moral des chrétiens d'accepter les réfugiés musulmans ; troisièmement, les chrétiens et les musulmans sont entraînés pour s'affronter dans leurs prisons urbaines, pour les beaux yeux des juifs et de leurs Shabbat-goys, qui se régalent du spectacle.

Y a-t-il une méthode spéciale que les juifs et les Shabbat-goys utilisent pour gérer les pays qui tombent sous leur domination ? C'est infaillible. Premièrement, finissez-en avec l'indépendance de vos sujets, afin qu'ils doivent compter sur l'aide gouvernementale. Deuxièmement, établissez des contrôles stricts afin que personne ne puisse s'échapper. L'origine de ce système est attribuée dans la Bible à Joseph, qui (1) avait appauvri les paysans égyptiens et (2) les avait rendus dépendants de la bienfaisance du dirigeant. En bref, la méthode juive habituelle de gouvernement est le contrôle des populations par le démantèlement de l'économie (c'est le capitalisme vautour) et l'injection dite «ruissellement» de l'argent du gouvernement, mais seulement dans les coopératives de Shabbat-goys et les districts qu'ils gouvernent.

La Palestine est une terre confortable, où les paysans pourraient vivre de la terre et de la mer, modestement, mais suffisamment. La toute première chose que les juifs ont faite à Gaza a été de détruire tous les moyens possibles pour les autochtones de subvenir à leurs besoins, que ce soit la pêche ou l'agriculture, puis de mettre l'enclave sous un siège médiéval. Ils ont également déraciné leurs anciennes oliveraies parce que les oliviers donnent de l'huile d'olive à leurs propriétaires, ce qui leur permettrait de vivre indépendamment de l'économie juive, ce qui n'est point autorisé sous la domination juive.

Le massacre de Gaza allait ouvrir les yeux de tous ceux qui n'étaient pas encore pleinement conscients de la nature génocidaire du paradigme juif. Ce n'est pas le premier massacre de masse en Palestine : je me souviens du génocide déclenché lors de la Seconde Intifada, de 2000 à 2005, qui a été tout aussi terrible que le génocide de Gaza. La méthode est toujours la même : enfermer les péons dans la pauvreté, puis mettre les leviers du pouvoir entre les mains des juifs.

Hochez la tête avec un sage assentiment, mais devinez quoi : les États-Unis suivent le même chemin. La classe moyenne s'évapore sous de lourds impôts, les riches shabbat-goys s'enrichissent et paient peu ou pas d'impôts. Pendant ce temps, les pauvres font la queue pour une soupe gratuite. Bientôt, la République américaine s'effondrera, ainsi que tous les États gouvernés par des juifs. L'État juif d'Israël se serait effondré il y a longtemps, n'était le grand frère états-unien, qui le soutient sans relâche. Au cours des deux derniers mois, les États-Unis ont accordé à Israël 40 milliards de dollars.

Ce n'est pas la première fois que les juifs et leurs Shabbat-goys prennent le contrôle d'un État qui fonctionne. Je n'ai aucun doute là-dessus : le résultat sera le même que d'habitude. Mais ne désespérez pas ! Notre ami Gilad Atzmon a récemment posté ce commentaire encourageant :

«La Nouvelle Droite américaine se réveille, libre de toute attache politique de parti ou de toute forme de politiquement correct. Il n'a pas fallu longtemps aux principaux agitateurs de MAGA pour se retourner contre leur leader une fois qu'ils ont réalisé qu'il n'avait en fait aucun programme dans sa manche. Il ne leur a pas fallu longtemps pour identifier que l'éléphant dans la pièce était nettement casher et ce depuis un temps certain. Si le «pouvoir juif» est un sujet tabou dans les cercles de gauche et les groupes de solidarité avec les Palestiniens occidentaux (ils pousseront l'audace jusqu'à discuter du «pouvoir sioniste»), dans la droite américaine, personne ne semble avoir peur de manier le mot en «J» et de s'en prendre à la domination de la tribu dans la vie américaine.

Le virage que nous voyons actuellement dans la droite américaine est peut-être bien plus significatif que des décennies de solidarité palestinienne de gauche occidentale pour la raison évidente que la droite américaine et la droite chrétienne se sont éveillées à la véritable nature morbide de l'État juif et à la théologie qui en a fait ce qu'il est. Qu'on parle en termes de théologie juive ou de religion en général, cela dépasse la comprenette de la gauche».

Comme le dit E. Michael Jones, nous devons briser le tabou juif. En nous censurant, nous rendons impossible tout débat sur l'éléphant qui est au milieu de la pièce. Sun Tzu dit : «Sans la connaissance de vos propres forces et faiblesses (se connaître soi-même) et une compréhension des capacités et des intentions de votre ennemi (connaître son ennemi), vous ne pouvez pas remporter la victoire et vous êtes destiné à perdre». En étant volontairement aveugles à une élite antichrétienne étrangère parmi nous, nous assurons sa victoire. Nous ne sommes prêts à mener la guerre culturelle qu'après avoir délibérément enfilé nos œillères, de peur d'offenser. Notre ennemi (que nous devons tolérer en vertu de la charité) n'a pas un tel scrupule ; il est comme Abimélech [roi d'Israël et fils de Gédéon] qui pousse son attaque contre la ville jusqu'à en prendre le contrôle, massacrer ses habitants, raser la ville et finalement répandre du sel sur son emplacement.

C'est l'avenir de toute ville américaine qui refuse d'ouvrir les yeux sur la réalité. Les cartes sont déjà distribuées : les sources d'énergie traditionnelles de chaque ville américaine ont été démantelées et exportées vers la Chine. Pendant ce temps, les seules villes américaines prospères sont celles qui signent des contrats fédéraux lucratifs pour soutenir les campagnes de réélection des Shabbat-goys coopératifs. La méthode de la carotte et du bâton est un moyen efficace pour cornaquer des populations captives, mais jusqu'à présent, les États-Unis assez vastes pour résister au pire de leurs déprédations. Lorsque l'Est se retrouve coincé, la population s'enfuit vers l'Ouest. Lorsque la côte ouest est sous contrôle, la population s'enfuit vers l'Idaho. Comme un boa constrictor, chaque fois que nous trouvons de l'espace, l'ennemi resserre son étreinte.

La plupart des gens pensent que les villes sont déjà perdues. Ce qu'ils ne comprennent pas, c'est que la ville la plus pauvre est plus libre que la plus riche, parce que la richesse des villes riches est celle que dispensent les Shabbat-goys pour plaire à leurs maîtres. C'est finalement autodestructeur, et je suppose qu'ils obtiennent ce qu'ils méritent. Ce qui est triste, c'est de voir les villes pauvres des États-Unis se battre pour attirer la faveur de la communauté juive internationale. Elles se prostituent au lieu de s'engager dans un travail honnête. Le joyau au cœur du MAGA, c'est l'industrie américaine. Sans activité manufacturière, le MAGA ce n'est qu'une bouffée d'air chaud juif et d'aides gouvernementales. Si Trump reconstruit la base manufacturière américaine, il rendra les électeurs de MAGA heureux, mais il rendra la communauté juive internationale malheureuse. Si Trump évite les «embrouilles à l'étranger», il rendra les électeurs de MAGA heureux, mais il rendra la communauté juive internationale malheureuse. Et moi je me demande bien ce qu'il va faire.

 Israël Shamir

source :  The Unz Review

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