Bill&Melinda Gates Foundation sponsorisent très généreusement toutes sortes d'institutions, universités, médias de premier plan, etc.
Dans Coup d'Etat planétaire nous faisions référence à l'atomisation, à l'agencification, et à la privatisation de l'administration publique. Actuellement en France par exemple, la stratégie de la France dans le dépistage du coronavirus, le ministère de la Santé a missionné un cabinet privé, la filiale française de l'Américain Bain & Company. Cela signifie-t-il que cela inclut la traçabilité des citoyens par exemple? En tous les cas, l'option est sur la table: Une société française propose au gouvernement le port d'un bracelet connecté plutôt qu'une application mobile pour suivre les malades après le déconfinement.
marianne.net lepoint.fr lesechos.fr
En Suisse, comme en France, au Canada, aux Etats-Unis ou en Belgique, la désagrégation de l'administration fait éclater ses services, dont les unités sont transformées en entités autonomes, voire souveraines. Ce processus, appelé agencification est la clé de voûte du système destructeur de la chose publique, voire de l'Etat lui-même.
« Le terme d'agencification désigne la création intensive d'organismes autonomes auxquels sont confiées des fonctions d'exécution et de gestion des politiques en réponse à la volonté de dissocier responsabilités stratégiques, conservées par l'administration centrale, et fonctions opérationnelles, confiées à ces structures. Affranchies des lourdeurs hiérarchiques, ces structures autonomes spécialisées sont réputées, en théorie, conjuguer expertise, souplesse d'organisation interne et flexibilité de gestion, au bénéfice non seulement de l'usager, qui reçoit un service de meilleure qualité, mais aussi, grâce aux gains d'efficience, de la collectivité tout entière. »
Les services de l'Etat sont ainsi éclatés en une myriade de petites structures que l'on inscrit au Registre du Commerce.
Nos élus ont détaché des pans entiers de prestations du giron des gouvernants pour les redéployer autrement, y compris pour certains sous forme d'unités d'affaires. Autrement dit de business units, comme dans les entreprises privées. Normal pour des pays en cours de privatisation (très avancée).
En Suisse, l'Article 1 de la Loi sur l'organisation du gouvernement et de l'administration (LOGA 172.010) du 21 mars 1997 explicite la chose. Elle est flanquée de OLOGA qui est l'ordonnance fédérale correspondante.
L'administration fédérale, subordonnée au Conseil fédéral comprend des unités administratives décentralisées (Art 2 de la LOGA). Et figurez-vous que la législation fédérale a d'ores et déjà prévu de confier des tâches administratives à des organisations et à des personnes de droit public ou privé qui sont extérieures à l'administration fédérale.
Prenons un exemple très simple. Si Par le plus grand des hasards, le Conseil fédéral décidait de surveiller tout citoyen par les smartphones ou par des bracelets électroniques en cas de refus de transporter le téléphone pucé, les informations peuvent être récupérées par Apple ou Google par exemple.
Maintenant si par un autre hasard vous deviez faire un frottis COVID ou une analyse sérologique, la gestion des données pourraient être traitée par des entités privées en Suisse ou à l'étranger. Remarquez que l'étranger peut venir sur votre territoire pour faire croire à une pseudo souveraineté nationale.
Ainsi nous avons découvert une entreprise de Big data que les Gates ont participé à développer. Exaptive s'associe à la Fondation Bill & Melinda Gates pour lancer la ville cognitive COVID-19. L'information date d'il y a quelques semaines à peine
Prenez le temps de lire ce texte. Il est important. On nous dit que « La lutte contre une pandémie mondiale nécessite une collaboration mondiale. La COVID-19 Cognitive City utilise la science des données pour faciliter la résolution de problèmes basés sur l'adaptation liés aux coronavirus. »
Il s'agit ni plus ni moins de collecter, sous le prétexte du COVID-19, les données de la planète dans un but cognitif. Je vous mets pour bien comprendre ce dont il s'agit la définition de ce mot prise dans le Wikipédia:
Le mot cognitif est un adjectif qualifiant les processus par lesquels un être humain acquiert des connaissances sur son environnement.
La cognition est l'ensemble des grandes fonctions de l'esprit liées à la connaissance (perception, langage, mémoire, raisonnement, décision, mouvement...). On parle ainsi des fonctions cognitives supérieures pour désigner les facultés que l'on retrouve chez l'être humain comme le raisonnement logique, le jugement moral ou esthétique... (voir éthologie)
Les sciences cognitives étudient la cognition de divers points de vue (psychologique, neurologique, linguistique, epistémologique,).
Or, nous avons déjà publié des éléments sur cette dimension cognitive en traitant du transhumanisme. Voici pour se rafraîchir les idées:
Et qu'est-ce que le NBIC? Il est le lieu de rencontre :
• des sciences cognitives liées au cerveau et ses cellules que sont les neurones • la biotechnologie centrée sur les gênes et bien évidemment ce qui va avec : l'appareil germinal (sperme, ovule), les chromosomes et le fœtus. • de l'informatique (Bits) qui appliquée au champ de la biologie devient la bio-informatique • La nanotechnologie (Atomes) qui est une science qui relève de l'électronique ou de la chimie ramenée à l'infiniment petit, soit de l'ordre de l'atome. Selon des spécialistes, la nanotechnologie serait elle-même dépassée et nous devrions parler de « technologie quantique »...
Sciences cognitives et intelligence artificielle sont indissociables. Et pour développer l'Intelligence artificielle, vous avez besoin d'observer le comportement humain et de collecter des masses de données, puis de traiter celles-ci pour en faire quelque chose. Je vous invite à lire ce texte pour vous faire une meilleure idée des enjeux:
« IA et sciences cognitives : les bienfaits de l'interdisciplinarité.La recherche en intelligence artificielle gagnerait à travailler en étroite collaboration avec les sciences cognitives explique Martial Mermillod, chercheur au Laboratoire de Psychologie et NeuroCognition, Université Grenoble Alpes.«
acteursdeleconomie.latribune.fr/debats/expertise/2018-11-29/ia-et-sciences-cognitives-les-bienfaits-de-l-interdisciplinarite-799319.html
En ce moment, des débats secouent (très discrètement) ce qui reste d'espace public. Il y est question de DP-3T, l'application qui retrace la chaîne d'infection au Covid-19.
« Le Conseil des Etats (Sénat suisse) exige par 32 voix contre 10 dans une motion que l'application de traçage de contact Covid-19 ne doit pas être introduite sans base légale. Pour le Conseil fédéral, cette demande est déjà remplie.
Les sénateurs sont préoccupés des conséquences qu'une application de ce type pourrait avoir sur la sphère privée. Ils ont donc insisté afin que cette application se fonde sur une base légale solide. Par ailleurs, l'utilisation doit se faire sur une base volontaire. Seules les solutions techniques qui ne stockent pas les données personnelles de manière centralisée doivent être utilisées. »
Avec un immense humour, le ministre de l'intérieur - qui a fait voter la loi à fort potentiel coercitif sur les épidémies humaines- chapeautant le département de la santé s'est opposé à ladite motion.
Regardez ce qu'écrit l'ATS relayant les explications du ministre: » Le système de traçage de proximité dans son ensemble se base sur des méthodes cryptographiques et un traitement des données fortement décentralisé.
Dans la mesure du possible, il ne contient aucune donnée permettant d'identifier les personnes. Les données de localisation ne sont pas du tout enregistrées, assure le gouvernement.
Seuls le médecin traitant ainsi que le centre cantonal retraçant les contacts, qui existe déjà, connaissent l'identité de la personne infectée. Eux seuls peuvent habiliter une personne infectée à signaler l'infection au système de manière anonyme en lui transmettant un code d'autorisation. »
Selon lui, Swisscom, et tous les prestataires de service en tous genres (Apple, Google, Samsung, Huaweï, Microsoft,) n'ont pas les noms des personnes suivies, et n'ont mis aucune porte dérobée Ensuite, on va remonter jusqu'aux personnes approchées sans savoir qui elles sont. Je vais m'autocensurer et arrêter l'analyse des propos là.
Ecoutez l'appel de ce médecin français. (Ajout)
Bref, nous ne disons pas que le COVID-19 n'existe pas et qu'il n'est pas dangereux. Nous disons sur ce site qu'il était largement présent dès fin 2019 (les Français l'ont confirmés ces derniers jours, les Italiens ont écrit leurs interrogations. A quand le même exercice en Suisse? Nous disons aussi que ceux qui veulent nous tracer aujourd'hui et permettre à Bill Gates et ses associés, peu importe qui ils sont, de faire de nous des cobayes aussi transparents que des poissons dans un bocal, dans le but de collecter nos données pour satisfaire l'ambition de créer une Intelligence artificielle fiable.
Eh bien, non! Il va falloir s'opposer de toutes nos forces pour mettre un stop à ces personnes qui nous gouvernent par la peur!
Accessoirement la 2ème vague est un scénario élaboré par la John Hopkins University. Et devinez qui en est un grand sponsor? Bill & Melinda Gates Foundation.
Je vous mets quelques chiffres en annexe qui feraient tourner la tête de n'importe quel directeur de centre de recherche. A relever toutefois que bien d'autres universités sont généreusement subventionnées par le couple Gates.
Nous relèverons entre autres dans la liste la présence de l'Imperial Collège où travaille Neil Ferguson, le développeur des modèles qui influencent les gouvernants européens. Ils ont reçu en mars près de 80 millions de dollars pour la Malaria
L'Ecole polytechnique (ETH) de Zurich figure au nombre des dotations avec environ 1,5 millions d e $ en 2019.
Avec le tracking permanent, des limites inacceptables sont en train d'être franchies pour aller en direction d'un asservissement qui ne dit pas son nom, avec dans le viseur du transhumanisme.
EntrerSource: Switzerland COVID-19 Scenario Report, EPFL et John Hopkins University
Liliane Held-Khawam
Le lien qui m'a servi à sortir les données de la fondation Gates a été publié par les Moutons enragés. gatesfoundation.org
Exemples d'universités SPONSORISES PAR BILL & MELINDA GATES FOUNDATION Imperial College London
Date: March 2020
Purpose: to develop a new tool for malaria control and elimination in sub-Saharan Africa
Amount: $79,006,570
Term: 60
Topic: Malaria
Program: Global Health
Grantee Location: London
Grantee Website: http://www.imperial.ac.uk
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Grantee | Year | Issue | Program | Amount |
Johns Hopkins University | 2020 | K-12 Education | US Program | $250,000 |
Johns Hopkins University Bloomberg School of Public Health | 2020 | Family Planning | Global Development | $99,993 |
Johns Hopkins University Bloomberg School of Public Health | 2020 | Family Planning | Global Development | $10,000 |
Johns Hopkins Center for Communication Programs | 2020 | Family Planning | Global Development | $300,000 |
Johns Hopkins University | 2019 | MNCH Discovery & Tools | Global Health | $500,237 |
Johns Hopkins University | 2019 | Delivery of Solutions to Improve Global Health | Global Development | $687,904 |
Johns Hopkins University Bloomberg School of Public Health | 2019 | Discovery and Translational Sciences | Global Health | $3,432,546 |
Johns Hopkins University Bloomberg School of Public Health | 2019 | Delivery of Solutions to Improve Global Health | Global Development | $2,876,472 |
Johns Hopkins University Bloomberg School of Public Health | 2019 | Enteric and Diarrheal Diseases | Global Health | $899,312 |
Johns Hopkins University Bloomberg School of Public Health | 2019 | Malaria | Global Health | $1,451,075 |
Johns Hopkins University Bloomberg School of Public Health | 2019 | Discovery and Translational Sciences | Global Health | $100,000 |
Johns Hopkins University Bloomberg School of Public Health | 2019 | Enteric and Diarrheal Diseases | Global Health |
Johns Hopkins University Bloomberg School of Public Health Date: November 2019
Purpose: to identify novel antigens that could serve as the basis of third-generation Shigella vaccines
Amount: $3,432,546
Term: 24
Topic: Discovery and Translational Sciences, Enteric and Diarrheal Diseases
Program: Global Health
Grantee Location: Baltimore, Maryland
Grantee Website: jhsph.edu Johns Hopkins University Bloomberg School of Public Health Date: November 2019
Purpose: to work with Gavi transitioning or transitioned countries on generating robust, country-specific evidence on economic benefits of vaccines and to be used for mobilizing additional financing for immunization programs
Amount: $2,876,472
Term: 38
Topic: Delivery of Solutions to Improve Global Health
Program: Global Development
Grantee Location: Baltimore, Maryland
Grantee Website: jhsph.edu Johns Hopkins University Date: December 2018
Purpose: To support the Government of Ethiopia request for timely population- and facility-based survey estimates of key maternal and newborn health indicators building on the successful PMA-MNH/SNNP model of longitudinal data collection.
Amount: $11,210,342
Term: 60
Topic: Family Planning, Global Health and Development Public Awareness and Analysis
Regions Served: GLOBAL|AFRICA
Program: Global Development
Grantee Location: Baltimore, Maryland
Grantee Website: jhu.edu Johns Hopkins University Date: April 2013
Purpose: to promote accountability
Amount: $40,099,124
Term: 71
Topic: Family Planning
Regions Served: GLOBAL|AFRICA|ASIA
Program: Global Development
Grantee Location: Baltimore, Maryland
Grantee Website: jhu.edu Johns Hopkins University Date: November 2012
Purpose: to sustain resources for quality family planning programs, contribute to universal access to reproductive health services, Millennium Development Goal 5b, and the vision of the London Summit on Family Planning
Amount: $78,267,344
Term: 120
Topic: Family Planning
Regions Served: GLOBAL|AFRICA|ASIA
Program: Global Development
Grantee Location: Baltimore, Maryland
Grantee Website: jhu.edu
Annexe sur la corporatisation et l'agencification du secteur public
Corporatisation et l'agencification selon le New Public Management appliqué à la Suisse depuis de très nombreuses années. L'Administration fédérale décentralisée est composée de quatre catégories d'unités (art.7a,1 de la OLOGA):
- les commissions extraparlementaires (visées à l'art. 57a LOGA);
- les unités administratives sans personnalité juridique devenues autonomes sur le plan organisationnel après avoir été détachées de l'administration par la loi;
- les corporations, fondations et établissements de droit public institués par la loi qui sont devenus juridiquement autonomes, pour autant que leurs prestations ne consistent pas essentiellement en prestations fournies sur le marché;
- les sociétés anonymes dans lesquelles la Confédération détient la majorité du capital ou des voix, pour autant que leurs prestations ne consistent pas essentiellement en prestations fournies sur le marché.
- En Suisse, le Conseil fédéral a pu donc sous-traiter des sujets sensibles à des structures privées étrangères en toute liberté, à l'image de la sous-traitance de l'exposé des motifs du projet de loi d'orientation des mobilités à un cabinet transnational par le gouvernement français d'Edouard Philippe. C'est dans un contexte idéologique de corporatisation des administrations publiques que le Professeur J.-B. Zufferey 1 de Fribourg a reçu le 11 juin 2009 la mission d'évaluer « si et comment l'Etat peut influencer les décisions des entités dans lesquelles il possède des participations ou des intérêts ? » Eh bien vous ne pouvez influencer des structures dirigées par les représentants de ceux qui détiennent la masse de capitaux de la planète, alors que vous vous êtes surendettés. Le rapport nous apprend que les corporations telles que « Les sociétés, établissements et fondations de l'Etat, représentent une forme de privatisation des activités étatiques ou de décentralisation administrative. » Toutefois, le degré d'autonomie d'une entité externalisée dépend de l'octroi de la personnalité morale. A l'inverse, « l'absence de personnalité engendre au contraire une limitation des compétences de l'entité, qui ne peut alors agir que dans le cadre strict fixé par la loi ». Et le professeur Zuffrey d'insister sur le fait que « la collectivité se doit de garder sa capacité d'influer sur leur comportement ». Nous voyons donc bien que la capacité à surveiller ces entités externes, au bénéfice de personnalité juridique, est d'autant plus primordiale que les activités confiées présentent un intérêt public.
1 Rapport relatif à LA REPRESENTATION DE L'ETAT DANS SES ENTREPRISES, Université de Fribourg, avril 2011
OKLAHOMA CITY, 19 mars 2020
OKLAHOMA CITY, 19 mars 2020 / PRNewswire / - Exaptive, Inc., en collaboration avec la Fondation Bill & Melinda Gates, a créé un environnement en ligne gratuit et accessible au public appelé une « ville cognitive » qui se concentre sur la lutte contre le balayage pandémique le globe - COVID-19. La COVID-19 Cognitive City est un lieu unique pour cataloguer les ensembles de données, les analyses, les outils, les articles et les questions de recherche générés par la communauté mondiale sur cette maladie. Tout comme il a été démontré que les villes physiques produisent des innovations de manière répétée à travers les diverses interactions de réseau de leurs constituants, une ville cognitive utilise les données et l'analyse de réseau pour stimuler de nouvelles collaborations de recherche entre les chercheurs, les scientifiques des données, les décideurs et le citoyen concerné.
La ville COVID-19 est ouverte au public et conçue pour se développer grâce aux contributions des utilisateurs. Exaptive et ses partenaires estiment que l'innovation n'est pas l'œuvre de génies isolés mais de réseaux collaboratifs connectés. Alors que de nouveaux actifs de connaissances COVID-19 sont publiés quotidiennement, la ville COVID-19 agit comme un lieu unique pour répertorier l'ensemble croissant de connaissances sur la maladie. À l'aide de visualisations interactives et d'algorithmes de réseau, le COVID-19 City connecte des équipes interdisciplinaires qui ne travailleraient pas normalement ensemble et les aide à trouver des ressources non évidentes qui pourraient autrement échapper à leurs recherches.
« Des virus comme COVID-19 se propagent rapidement, mais le développement de vaccins et de traitements pour les arrêter progresse lentement », a déclaré Mark Suzman, directeur général de la Fondation Bill & Melinda Gates. «Si nous voulons protéger le monde contre des épidémies comme COVID-19, en particulier pour les plus vulnérables, nous devons trouver un moyen d'accélérer la recherche et le développement. Cela nécessite que les gouvernements, les entreprises privées et les organisations philanthropiques agissent rapidement pour financer la R&D. «
« Au cours des deux dernières décennies, nous avons assisté à la formidable croissance des réseaux sociaux et de la science des données », a déclaré Dave King, chef de la direction d'Exaptive, Inc. « Maintenant, face à COVID-19, nous devons combiner la puissance de Un défi comme celui-ci ne nécessite pas un réseau social, mais un réseau cognitif dans lequel chacun travaillant sur le problème peut s'appuyer sur le travail de l'autre et ne pas perdre de temps à recréer des analyses déjà réalisées ou à réinventer des outils déjà réalisés. En construisant un réseau de résultats intermédiaires d'équipes, nous allons non seulement permettre à la recherche d'avancer plus rapidement mais aussi permettre la réflexion latérale qui ouvre la visibilité à des solutions innovantes. «
La ville COVID-19 est accessible à tous pour un accès immédiat et peut être consultée à l' adresse.
À propos d'Exaptive, Inc.:
Fondée sur la conviction que l'innovation radicale peut être facilitée, Exaptive, Inc. utilise la technologie pour rassembler des collaborateurs avec un mélange complémentaire de perspectives partagées et uniques et les connecter à des actifs de connaissances qui peuvent conduire à des moments ah-ha interdisciplinaires appelés exaptations. Grâce à sa plate-forme logicielle, la ville cognitive, les personnes, les données et les outils d'analyse sont reliés entre eux dans un environnement virtuel en ligne optimisé pour résoudre des défis complexes à forte intensité de données. Fondée en 2011 à Boston, Exaptive est désormais basée à Oklahoma City et est dirigée par David King.
À propos de la Fondation Bill & Melinda Gates:
Guidée par la conviction que chaque vie a une valeur égale, la Fondation Bill & Melinda Gates œuvre pour aider tout le monde à mener une vie saine et productive. Dans les pays en développement, il se concentre sur l'amélioration de la santé des gens et leur donne la chance de se sortir de la faim et de l'extrême pauvreté. Aux États-Unis, il vise à garantir que toutes les personnes, en particulier celles qui ont le moins de ressources, aient accès aux opportunités dont elles ont besoin pour réussir à l'école et dans la vie. Basée à Seattle, Washington, la fondation est dirigée par le PDG Mark Suzman et le coprésident William H. Gates Sr., sous la direction de Bill et Melinda Gates et Warren Buffett.
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SOURCE Exaptive, Inc. Archive 2017 EXAPTIVE, INC Exaptive was founded in 2011 in Cambridge, Massachusetts. We spent our first few years incubating the platform while generating revenue through services engagements. In 2014 we relocated headquarters to Oklahoma City, raised seed funding, and grew the team several times over. Our product and services team intentionally depart from traditional business intelligence and dashboard-based approaches to data. We believe rapid data application development is what enables end-users to follow the iterative insights that lead to discovery and create value. "At Exaptive, we think less about giving people reports or dashboards, and more about letting them explore a complex data landscape," says co-founder and Chief Executive Officer Dave King. "Whether it's the human genome or it's the financial markets, people want a different interaction paradigm, to look in different directions and from different perspectives as their mind dictates." « So we built the Exaptive platform to bring data, software tools, and people together in an ecosystem where interoperability, modularity, and community are core features and boundary-crossing through repurposing data and code is actively facilitated. »