Le gouvernement français fait très fort dans la démagogie afin de faire plier les citoyens en leur ôtant, petite touche après petite touche, les quelques libertés qui leur restent. Nous sommes tous en droit de se poser quelques questions à propos des dispositions prises par le gouvernement français relatives à ce pass sanitaire qui ressemble à s'y méprendre au carnet de civisme chinois. La République française est sur le point de mourir, c'est aussi simple que cela.
Je ne mentionnerai pas les zones de non-droit - il y en a 200 en France - mais de la disparition des voix des représentants élus par le peuple à qui le pouvoir a ôté toute possibilité de contrôle législatif et le Conseil d'État et le Conseil constitutionnel sont à la botte du pouvoir, du jamais vu en France. La loi relative au pass sanitaire est le point culminant de la volonté du gouvernement français d'asservir l'ensemble de la population. C'est une loi inique, contraire aux principes fondamentaux de la Constitution.
Une pensée m'a traversé l'esprit, comme on a coutume de le dire. Pourquoi le Président de la République a pris une telle décision ? Je pense pour ma part qu'il en a reçu l'ordre (ou le conseil appuyé) directement de Klaus Schwab ou bien du lobby pharmaceutique qui veut encore et toujours réaliser des profits, ou des deux sources citées, le pass sanitaire correspondant parfaitement aux projets de nouvel ordre mondial du Forum de Davos (Agenda ID2020). Faites le calcul : en vaccinant toute la population y compris les enfants en bas âge cela représente 60x2x65 millions d'euros, c'est-à-dire 7,8 milliards d'euros au minimum pour seulement la France alors que l'hydroxychloroquine et l'ivermectine sont toujours interdits en France et dans la plupart des pays européens. Emmanuel Macron se moque de constater que le déficit de la sécurité sociale française a atteint plus de 225 milliards d'euros à la fin de l'année 2020. Il est impensable que le Ministre des finances avoue la vérité aux Français. Et Macron a déjà constitué une petite fortune personnelle avec les pots-de-vin dont il a bénéficié par le passé. Il ne faut pas me faire croire qu'il n'a pas été remercié pour la vente d'Alstom-Energie à General Electric alors qu'il était déjà aux manettes du Ministère des finances puis celle de Latecoere ou encore d'Alcatel division câbles sous-marins, leader mondial de la fibre optique sous-marine devenu scandinave. C'est de la trahison, de la haute trahison...
Ne soyons pas impatients, Macron ne se représentera pas à sa propre succession. Il sait que la CIA a constitué un volumineux dossier à son sujet dans lequel figurent par exemple le fait qu'il ait proposé à l'Allemagne de partager sa force de dissuasion nucléaire et également de partager son siège au Conseil de sécurité de l'ONU, ce qui a profondément déplu à la classe dirigeante américaine, qu'elle soit républicaine ou démocrate. On n'agit pas contre les intérêts des USA. La vente d'Alcatel à Nokia n'a pas du tout été accueillie avec enthousiasme par les autorités américaines. Et puis enfin une dernière raison alimentant l'énervement des Etats-Unis réside dans le fait que les deux EPR vendus à la Chine, 30 % du consortium restant entre les mains d'EDF, ont rendus furieux les Américains car toute la technologie a été transférée en bloc à CGN... et les ingénieurs chinois n'ont pas perdu leur temps : les turbines Arabelle seront dorénavant copiées par les ingénieurs chinois hautement qualifiés, et il y en a des centaines de milliers dans ce pays.
Les mois à venir seront ponctués de rebondissements inattendus. Macron a certainement été prévenu, il devra adopter un profil bas. Brigitte n'a pas vraiment apprécié d'être exclue de son escapade polynésienne. Elle est certainement très meurtrie par le sort qui est réservé à son amie de toujours, Mimi Marchand, qui l'a aidée à promouvoir son poulain d'époux, un peu comme Bernadette le fit avec Jacques en son temps. Chirac est mort, plaise aux dieux d'accueillir son âme (s'il en avait une) mais en ce qui concerne Macron la situation est critique : il va devoir rendre des comptes à la Nation, aux Français qui en ont assez aujourd'hui de ses rocambolesques et imprévisibles décisions.