23/12/2025 essentiel.news  3min #299788

Que faire face à l'impossibilité de recevoir le sang d'un proche ou d'un donneur non vacciné?

Entretien avec Georg della Pietra de l'organisation Safeblood

 Senta Depuydt

Sommes-nous sûrs de la qualité du sang disponible aujourd'hui ? Est-il possible d'obtenir du sang de donneurs non-vaccinés, ou de recevoir le sang d'un proche ou d'une personne de confiance ? C'est avec l'apparition des injections Covid que le naturopathe suisse Georg della Pietra a lancé l'organisation  Safe Blood pour tenter d'assurer la sécurité des transfusions sanguines. Quelle est la situation aujourd'hui et quelles solutions se profilent?

Faisant suite à  notre premier entretien diffusé le 9 février 2023, Georg della Pietra confirme ce qui se pressentait déjà: en Europe, et même en Suisse, il n'est plus possible de recevoir du sang d'une personne connue. Pourtant, la demande a sensiblement augmenté face au refus des centres de prélèvement d'enregistrer le statut vaccinal des donneurs ou d'autoriser la constitution de banques de sang entre non-vaccinés.

À l'exception de la France, dans la plupart des pays la loi n'interdit pas le don de sang « dirigé ». Mais dans la pratique tout est fait pour l'empêcher. Les hôpitaux s'y refusent et les médecins prennent peur, n'osant pas s'écarter des recommandations émises par les Instituts de santé nationaux, sous la pression des directives européennes et des grands acteurs du secteur comme la Croix-Rouge.

Que peut-on faire ? Aux États-Unis, la situation est plus favorable et des programmes se mettent en place pour faciliter les transfusions entre personnes soucieuses de préserver leur sang du matériel contenu dans les nouvelles technologies vaccinales.

Ailleurs, on est forcé de développer des stratégies alternatives et de trouver des nouvelles solutions: pressions juridiques, interventions à l'étranger, transfusion autologue, tentatives de limiter les conséquences d'une transfusion anonyme. C'est tout ce à quoi Georg della Pietra s'emploie avec les membres de son organisation, qui est aujourd'hui présente dans plus de 50 pays.

Un entretien à voir et à partager pour comprendre l'importance d'un problème qui mérite plus d'attention et reprendre notre souveraineté en matière de santé.

A voir aussi:

 Bon sang ! Un réseau de donneurs non vaccinés
essentiel.news

À lire, la saga « Protéger son sang » dans La lettre de Senta

 #1 Protéger son sang, une expérience où j'ai refusé la transfusion

 #2 Comment j'ai remonté mon hémoglobline en 3 semaines

 #3 Les questions sur le sang des vaccinés

 #4 Pétition: du sang sans spike!

 essentiel.news