par Seph.
En temps de guerre la première victime est la vérité, car la propagande sort sa boîte à mensonges.
Il y a certes des crimes de guerres des deux côtés comme dans toute guerre. Les médias occidentaux ne parlent que des crimes de guerre russes. Et ceux commis par le camps d'en-face ?
Parmi les crimes de guerre attribués aux Russes ils y a particulièrement les deux accusations de l'Ukraine contre la Russie concernant Boutcha et Kramatorsk qui ont tourné spécialement en boucle sur les médias occidentaux pour cacher quoi ?
En revanche, les médias ne parlent jamais du sort des prisonniers russes. Sommes-nous en pleine propagande où la vérité est bâillonnée ?
Commençons par une vidéo sur l'intervention russe pour décrire le contexte de cette guerre afin de mieux analyser les faits ci-dessus.
I- Préambule : rappel du contexte de l'intervention russe en Ukraine
Rappelons qu'en décembre 2021, le président russe Vladimir Poutine a appelé la partie américaine à engager un dialogue de fond sur la construction d'un système de sécurité global fondé sur des principes égaux et indivisibles. Dans le même temps, la question de l'inadmissibilité d'un nouvel élargissement de l'OTAN a été soulevée. La partie américaine a laissé toutes les préoccupations de Moscou sans réponse.
Jacques Baud : « Les Américains ont instrumentalisé l'Ukraine de façon perverse ».
Jacques Baud est un ancien colonel de l'armée suisse, analyste stratégique, spécialiste du renseignement et du terrorisme.
L'éminent professeur américain d'études russes Stephen F. Cohen a tout résumé :
« Zelensky s'est présenté comme le candidat de la paix », a expliqué Cohen. « Il a remporté un énorme mandat pour faire la paix. Donc, cela signifie qu'il doit négocier avec Vladimir Poutine ». Mais il y avait un obstacle majeur. Les fascistes ukrainiens, a averti Cohen, « ont déclaré qu'ils élimineront et tueront Zelensky s'il continue à négocier avec Poutine... Sa vie est littéralement menacée par un mouvement quasi-fasciste en Ukraine. »
En complément pour comprendre les causes de cette guerre voir : le témoignage édifiant de Anne-Laure Bonnel :
La situation actuelle : reseauinternational.net II- Le massacre de Boutcha
Ce massacre a été un tournant dans la guerre d'Ukraine. Les gouvernements occidentaux se sont empressés de condamner la Russie et de voter un nouveau train de sanctions. Pourtant, de nombreuses questions sont restées sans réponses.
Ce massacre de Boutcha est pour les Occidentaux la référence des crimes commis par l'armée Russe. Posons-nous la question de savoir qui sont véritablement les criminels sanguinaires ?
Vidéo très pertinente qui répond a cette question de Michel Collon :
Ce qui est encore plus surprenant, c'est que quelques minutes après les « dernières nouvelles », les dirigeants occidentaux - chefs d'État, ministres des Affaires étrangères, anciens politiciens - sont apparus avec des déclarations dûment préparées et uniquement basées sur des vidéos de quelques secondes et une série de photos., prêt à déverser des accusations.
En revanche, aucun avis d'expert n'a été demandé, aucun travail médico-légal n'a été effectué, aucune possibilité n'a été donnée àux accusés d'être entendu.
II.1- Chronologie des événements
Le 30 mars - Les troupes Russes quittent Boutcha le 31 mars.
Le 31 mars - Le maire de Boutcha annonce que la ville est « libérée », sans faire mention d'atrocités. Il a déclaré :
« la ville avait été libérée des troupes russes.... le 31 mars restera dans l'histoire de notre communauté de Boutcha comme le jour de la libération ».
Les 1/2 avril - Les bataillons d'Azov entrent à Boutcha. Ils demandent aux habitants de rester chez eux. Pourquoi ?
Le 3 avril - Le ministère ukrainien de la Défense publie une vidéo des atrocités « russes »
Les images publiées et des photographies d'agences de presse montraient des corps d'hommes en civil dans les rues de Boutcha, une ville au nord-ouest de Kiev. Des images montraient notamment des cadavres allongés les mains liées derrière le dos.
Cette chronologie est très importante pour savoir qui a tué qui, quand et comment.
II.2- Le mode opératoire des milices de sécurité kiéviennes (SBU)
Voir les récits d'un Britannique qui combattait auprès des Ukrainiens et qui s'est rendu (à Marioupol) permettent de commencer à identifier un mode opératoire des milices de sécurité kiéviennes (SBU), consistant à lier les membres d'individus jugés complices des Russes avant de les assassiner. Le même mode opératoire que les cadavres de Boutcha.
t.meII.3- BOUTCHA : Le crime profite à qui ?
C'est la question qu'il faut toujours se poser, car très généralement elle conduit aux auteurs du crime.
Les crimes de Boutcha profite exclusivement aux gouvernements ukrainien et occidentaux : la Russie est mise au banc des nations, les sanctions de plus en plus lourdes deviennent légitimes, les peuples occidentaux haïssent de plus en plus les russes, encore un effort et les peuples occidentaux seront prêts à mourir pour l'Ukraine.
- La spirale du lavage des cerveaux par des mensonges répétés fonctionne parfaitement.
- La propagande de guerre bat son plein, les médias occidentaux sont prêts à tous les mensonges pour dépeindre les soldats russes comme des bêtes assoiffées de sang et des criminels de guerre.
C'est tellement pathétique, mais mentionnons-le simplement - pour mémoire. La Russie a demandé au Conseil de sécurité de l'ONU d'examiner sérieusement le cas de Boutcha comme un fait ou un scénario hollywoodien. Les Britanniques ont bloqué la demande russe !!!!! Pourquoi ?
Il faudrait donc qu'une enquête indépendante avec tous les observateurs y compris russes soit diligentée.
II.4- Quels sont les éléments qui peuvent faire douter de la version ukrainienne ?
Les éléments fournis par l'Occident présentent de nombreuses incohérences et de contradictions :
- Le maire de Boutcha fait une annonce le 31 mars que la ville est « libérée », sans faire mention d'atrocités, ni de cadavre dans les rues. Les bataillons d'Azov entrent à Boutcha et demandent aux habitants de rester chez eux. Ainsi il n'y aura pas de témoins.
- Les photos satellites de la société américaine d'imagerie spatiale Maxar Technologies, datée du 19 mars, montrent une route de la ville ukrainienne de Boutcha parsemée de cadavres. Or la date réelle est le 1er avril, soit deux jours après que les russes ont quitté la ville. La société Maxar Technologies travaille pour le Pentagone !!!!!!
- Des posts venant d'une chaîne Telegram dédiée à la vie à Boutcha, montrent des photos du 31 mars 2022, où il n'y a pas de corps dans les rues.
- Si ces gens avaient été tués le 19 mars 2022, cela voudrait dire que les corps sont restés dehors pendant deux semaines avant d'être découverts. Or dès le 20 mars les températures montent jusqu'à atteindre 16 °C les 22 et 23 mars. Ce qui veut dire qu'en deux semaines la putréfaction de ces corps devrait être bien avancée.
- Une vidéo existe de la mise en scène de Boutcha par des soldats ukrainiens qui mettent en place des cadavres pour faire accuser les Russes. Cette vidéo très courte montre que l'armée ukrainienne étalant des cadavres à Boutcha a été diffusée par inadvertance aux médias. (video : t.me)
- Comment les soldats ukrainiens auraient-ils pu alors tirer par une corde des cadavres en décomposition ?
En conséquence, il y a beaucoup trop de contradictions pour que ce crime attribué aux Russes soit crédible.
Voir en Annexe A1 le détail
III- Le 8 avril à KRAMATORSK, les Russes commettent encore des atrocités ?!
Pour les médias occidentaux les méchants Russes ont tiré un missile Tochka-U avec une ogive à fragmentation sur la ville de Kramatorsk, tuant des dizaines de civils innocents.
Le « monde civilisé tout entier » est dégoûté et a immédiatement annoncé encore PLUS de sanctions, PLUS de condamnations.
Petit problème : La Russie n'a pas de missiles Tochka-U, qui sont des missiles soviétiques vieux de 30 ans largement surpassés aujourd'hui par les missiles russes modernes.
Donc le Tochka-U utilisé est ukrainien Cf les deux photos ci-dessous
Notons qu'un missile similaire à celui ayant frappé le centre-ville de Donetsk a été tiré par l'armée ukrainienne tuant 17 personnes sur place et blessant 36 autres civils. Pas un mot dans les médias occidentaux.
III.1- La Russie a t-elle intérêt à ce massacre ?
Le gros problème pour l'armée russe c'est l'utilisation des civils comme boucliers humains par l'armée ukrainienne qui se replie aux pieds des immeubles dans les villes empêchant ainsi tous bombardements.
L'intérêt de la Russie et de la RPD (Républiques autonomes du Donbass) c'est que les civils évacuent ! D'ailleurs la RPD a appelé les civils de Slaviansk et Kramatorsk à évacuer avant que l'encerclement ne soit complet afin d'éviter de servir de boucliers humains aux soldats ukrainiens.
La seule partie du conflit qui bénéficie de ce massacre c'est l'Ukraine, qui, en effrayant les habitants de Kramatorsk, essaye d'empêcher leur évacuation. Car moins il y a aura de boucliers humains à Kramatorsk et plus vite les Russes prendront la ville.
III.2- Preuves techniques
Elles montrent la fausseté de la narration officielle du massacre de Kramatorsk, attribué aux troupes russes. Le numéro de série du missile Tochka-U qui a frappé la gare ferroviaire est le Ш91579 (en russe). Ce numéro de série marque le stock de missiles Tochka-U possédé par l'armée ukrainienne.
III.3- La version ukrainienne
Le président ukrainien Volodymyr Zelensky a de son côté dénoncé une attaque qui aurait été déclenchée par la Russie.
« Sans la force et le courage de nous affronter sur le champ de bataille, ils détruisent cyniquement la population civile. C'est un mal qui n'a pas de limite. Et s'il n'est pas puni, il ne s'arrêtera jamais », a-t-il affirmé sur Instagram, en dénonçant les méthodes « inhumaines » des forces russes.
De plus, sur Instagram, il a affirmé qu'il s'agissait d'un Totchka-U.
III.4- La version russe
L'armée russe a plus tard également démenti avoir effectué une quelconque mission de tir dans la ville de Kramatorsk le 8 avril, dénonçant une « provocation » des forces de Kiev.
« Toutes les déclarations des représentants du régime nationaliste de Kiev sur le fait que la Russie a mené une attaque de missile contre la gare ferroviaire de Kramatorsk sont une provocation et ne correspondent pas à la vérité », a en effet réagi le ministère russe de la Défense.
Aujourd'hui les médias ne parlent plus guère de ce crime et pour cause !
IV- « Nous ne ferons jamais de prisonniers russes » : l'armée ukrainienne affiche ses crimes de guerre
Alors que les médias occidentaux se sont concentrés sur les violations présumées des droits de l'homme par la Russie depuis le début de la guerre, les soldats ukrainiens et les comptes de médias sociaux pro-ukrainiens ne se privent pas d'exposer leurs crimes de guerre sadiques, des exécutions sur le terrain à la torture de soldats captifs, comme autant de trophées à leur gloire !!!
De plus, notons les exactions du Service de sécurité d'Ukraine (SBU) : il arrête, tabasse et ligote des civils ukrainiens soupçonnés de sympathie pour la Russie dans les zones évacuées par l'armée russe avant de les exécuter. voir vidéo ci-dessous.
Ces exécutions sommaires d'une violence extrême sont ensuite imputées à l'armée russe pour les besoins de la propagande de guerre et sont relayées par les services de guerre psychologique des services spéciaux britanniques.
Vidéo des exactions faites par le SBU :
t.meIV.1- De retour d'Ukraine, Adrien Bocquet raconte : « J'ai vu des crimes abominables commis par Azov »
Sud Radio reçoit Adrien Bocquet, ancien fusilier de l'armée française, il revient de 3 semaines en Ukraine.
Adrien Bocquet, ancien fusilier de l'armée française, a livré le récit sur Sud Radio, le 10 mai, de trois semaines passées en Ukraine dans le cadre d'une action humanitaire médicale, durant lesquelles il a pu observer des exactions.
« Les seuls crimes de guerre que j'ai vus... ont été perpétrés par des militaires ukrainiens », a-t-il raconté, précisant qu'il n'écartait en aucun cas des comportements similaires de la part des forces russes.
« Il y en aussi côté ukrainien et on n'en parle pas », a-t-il souligné, s'insurgeant contre les propos tenus dans les médias par toutes les personnes qui ne se sont pas rendues elles-mêmes sur le terrain.
« J'ai vu des choses abominables », a-t-il insisté, concluant : « Si vous regardez les médias et si vous allez en Ukraine, ce n'est pas une gifle que vous prenez, mais trois coups de poing ».
« Ce qui me choque énormément, c'est que l'Europe donne de l'armement à des militaires néonazis, on n'en parle pas, il suffit de regarder, c'est un ancien sigle SS qui est brandi partout en Ukraine et ça ne pose aucun problème »
Adrien Bocquet : « Pourquoi nos armes vont-elles dans les mains de néo-nazis ? »
IV.2- Les exactions sur les prisonniers russes sont passés sous silence
L'utilisation par les soldats ukrainiens des téléphones portables des soldats russes morts pour se moquer et harceler leurs proches semble être une pratique courante. Mais cela va beaucoup plus loin jusqu'à la torture.
En effet, avril dernier, une chaîne pro-ukrainienne Telegram appelée fckrussia2022 a publié une vidéo montrant un soldat russe avec l'un de ses yeux bandés, suggérant qu'il avait été arraché pendant la torture, et se moquait de lui comme d'un cochon « borgne ».
L'horreur peut aller jusqu'au meurtre. Par exemple, l'image la plus horrible qui soit apparue sur les réseaux sociaux ces dernières semaines est peut-être la photo d'un soldat russe torturé qui s'est fait arracher l'un des yeux avant d'être tué. Le message qui l'accompagnait était sous-titré « à la recherche de nazis ». (voir photos ci-dessous)
• thegrayzone.com. ( en français)
IV.3- L'ONU fait état d'informations « crédibles » sur des actes de torture pratiqués sur des soldats russes
À l'occasion d'une conférence de presse consacrée à la situation critique des civils dans le conflit ukrainien le 10 mai, Matilda Bogner, qui dirige la mission de surveillance des droits de l'homme des Nations unies sur le terrain, a confirmé que des mauvais traitements ont été infligés aux prisonniers russes par les troupes ukrainiennes, rapporte le journal américain The Hill.
« Nous avons reçu des informations crédibles faisant état de torture, de mauvais traitements et de détention au secret, par les forces armées ukrainiennes, de prisonniers de guerre appartenant aux forces armées russes et aux groupes armés affiliés », a-t-elle déclaré.
Parmi les traitements inhumains mis en cause, les soldats capturés ont pu être « contraints de faire... des excuses et des aveux, et [soumis à] d'autres formes d'humiliation », a-t-elle précisé.
En revanche, Marioupol les prisonniers ukrainiens ont été traités avec dignité dans le respect de la convention de Genève :
IV.4- Prisonniers russes torturés : des vidéos vérifiées par le journal « Le Monde » mettent en cause un bataillon de volontaires ukrainiens
Voici le récit de quatre journalistes : Arthur Carpentier, Marceau Bretonnier, Elisa Bellanger et Adrien Sahli
« Trois prisonniers désarmés, trois coups de feu. Les trois hommes s'écroulent. Une vidéo, diffusée le 27 mars 2022 et que Le Monde a pu authentifier et recouper avec d'autres images, documente une probable exaction commise par des volontaires ukrainiens contre des prisonniers de guerre russes.
De tels agissements sont strictement prohibés par la convention de Genève, qui fixe les règles à respecter envers des soldats ennemis faits prisonniers : les protéger comme ses propres soldats, ne pas les violenter, les soigner si nécessaire.
Les images repérées par l'analyste indépendant 𝕏 Erich Auerbach, et croisées par Le Monde à d'autres documents disponibles en ligne, prouvent que des volontaires du bataillon ukrainien Slobozhanshchyna se trouvaient sur les lieux quand les prisonniers russes ont été torturés. S'il n'est pas possible d'affirmer avec certitude que l'individu auteur du tir est directement issu de leurs rangs, le leader du groupe, Andri Ianholenko, apparaît clairement aux côtés des trois victimes, avant les coups de feu. Sollicité par Le Monde, Andri Ianholenko n'a pas répondu. »
IV.5- Le mensonge comme arme de guerre
Comment les médias otaniens mentent à leur population
par Dominique Delawarde (Ancien chef « Situation-Renseignement-Guerre électronique » à l'état-major interarmées de planification opérationnelle)
« Voici un exemple de manipulation des médias mainstream occidentaux. On tait les choses dérangeantes ou l'on en retient des interviews que la partie qui arrange notre camp. On travestit la vérité :
Une vidéo remarquable (14 minutes) qui montre, de manière claire et pédagogique, à partir d'un exemple concret, comment les médias otaniens, agissant en véritable orchestre, mentent éhontément à leur population pour emporter leur adhésion et les conduire à la guerre.
Je reste encore très attristé d'entendre des galonnés de très haut rang de mon propre pays accuser le camp adverse de mentir sans vouloir regarder objectivement les mensonges de leur propre camp.
Connaissant depuis plus de dix ans l'auteur de cette vidéo, journaliste belge d'investigation, pour ses réalisations antérieures, je lui donne aujourd'hui toute ma confiance. »
Voir la vidéo sur les tortures en Ukraine : l'interview de Laurent Brayard par Xavier Moreau
Des atrocités et des crimes mis en évidence dans cette vidéo, il en ressort que l'Ukraine est un pays fasciste, En effet les les nazis arrêtent arbitrairement les gens, les torturent, les tuent et font disparaître les corps dans des casses auto, les brûlent,.... Ces horreurs sont surtout généralisé dans l'Est de l'Ukraine.
Les gouvernements successifs de L'Ukraine ne pouvaient ne pas savoir ce que faisait les SBU et les milices nazis. En fait, ils les ont utilisés pour étouffer la contestation sociale. Ils ont plongé les ukrainiens dans la pauvreté tout en planquant leur intérêts d'oligarque dans les paradis fiscaux.
Conclusion
La propagande n'a pas de limites. Un mensonge répété mille fois devient par la force des choses une vérité.
De même, il est très facile de fabriquer des témoignages afin de transformer un mensonge en vérité.
Seule une enquête indépendante et immédiate peut éclaircir les faits.
Cependant, lorsqu'il y a trop de contradictions dans la version des faits, celle-ci n'est plus crédible.
Boutcha et Kramatorsk font partie de ces cas. Le but évident étant de faire passer les Russes pour des monstres sanguinaires.
Londres et Washington cherchent à convaincre les Occidentaux de leur narration. Ils ne s'adressent pas aux Ukrainiens et encore moins aux Russes. Ils imposent leur point de vue par la répétition, puis passent à autre chose. Ils se concentrent sur la minoration des néo-nazis ukrainiens, sur la mise en scène de belles images et sur la dénonciation de crimes attribués aux Russes.
La propagande ukrainienne porte sur deux sujets : l'invention de victoires militaires portées aux nues par la presse occidentale, mais rapidement démenties, et l'attribution de crimes abominables à l'armée russe, tout aussi rapidement démenties.
Or, les USA et l'OTAN alimentent la guerre en Ukraine pour la rendre permanente. Ainsi l'OTAN pousse la Russie vers la guerre totale. Il faut embarquer les peuples européens dans cette guerre par des manipulations habiles afin qu'ils haïssent les Russes, comme ils ont haï Bachar et Kadhafi sur des mensonges.
Alors que les armes affluent en Ukraine depuis les États de l'OTAN et que la guerre s'intensifie, les atrocités vont presque certainement s'accumuler et ceci avec la bénédiction des dirigeants de Kiev.
Ainsi tous les moyens sont bons pour y parvenir. Zelensky l'a proclamé lors d'une visite dans la ville de Bucha en avril dernier : « si nous ne trouvons pas une issue civilisée, vous connaissez notre peuple - ils trouveront une issue non civilisée«. Étonnant non !!
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Références
• « Le Bataillon néonazi Aïdar n'a pas encore payé pour ses crimes », legrandsoir.info html parLaurent BRAYARD pour le Donbass Insider
• « Les législateurs américains ont accueilli le chef de guerre géorgien notoire qui se vante désormais de crimes de guerre en Ukraine », thegrayzone-com.translate.goog crimes-ukraine
• « Ukraine : Si nous refusons la guerre nucléaire, pourquoi tout faire pour la provoquer ? », les-crises.fr
• « Le bataillon néonazi Tornado, un plongeon dans l'horreur brute », legrandsoir.info par Laurent BRAYARD pour le Donbass Insider
• Aujourd'hui, les médias lavent plus blanc les Nazis qu'ils condamnaient auparavant
• Collusion des États-Unis avec les néonazis - Les néofascistes jouent un rôle important en Ukraine, qu'il soit officiel ou seulement, lesakerfrancophone.fr
• vidéo sur le Donbass : Anne-Laure Bonnel. DONBASS (2016). ÐокÑменÑалÑнÑй ÑилÑм, коÑоÑÑй не Ñ
оÑÑÑ Ð²Ð¸Ð´ÐµÑÑ ÐµÐ²ÑопейÑÑ. ТÑжÑ...
• vidéo sur l'Ukraine actuelle : Ukraine, les masques de la reÌvolution - Documentaire complet - PLUkraine, les masques de la reÌvolution - Documentaire complet - PL
• Azovstal, Mariupol. Natalia Usmanova, évacuée de l'aciérie témoigne : Azovstal, Mariupol. Natalia Usmanova, évacuée de l'aciérie, témoigne. [FR; RU]
• « Pourquoi les États-Unis utilisent des armes biologiques sans avoir de comptes à rendre ? », lesakerfrancophone.fr
• La nouvelle guerre de l'information ou « La vérité si je mens »
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Annexes
A1 : Boutcha
1 - Examen des photos du crime
Le New York Times a publié le 4 avril une photo satellite, datée du 19 mars, qui montre une route de la ville ukrainienne de Boutcha parsemée de cadavres.
La photo, diffusée aux médias dominants à échelle mondiale, a été présentée comme preuve d'un « crime de guerre commis par les troupes russes en Ukraine ».
Un examen technique démontre que la photo satellite n'a pas pu être prise le 19 mars, quand les troupes russes se trouvaient encore à Boutcha, mais le 1er avril, deux jours après qu'elles avaient quitté la ville.
En effet, la date et l'heure exacte de l'image ont été calculées par le programme SunCalc sur la base de l'inclinaison du soleil au-dessus de l'horizon et donc de la direction des ombres. Dans l'image satellite publiée par le NYT, l'angle du Soleil est de 42 degrés. Cela signifie que la photo satellite a été faite à 11h57 GMT le 1er avril.
À ceci s'ajoutent des doutes fondés à propos de la narration officielle du « massacre de Boutcha ». Ils émergent de la chronologie même des événements :
le 30 mars les soldats russes quittent Boutcha, le 31 mars le maire de Boutcha le confirme et ne parle pas de morts, le 31 mars les néo-nazis du Bataillon Azov entrent dans Boutcha, le 4 avril est publiée la photo satellite avec les cadavres dans les rues.
Ce qui est troublant c'est qu'au lieu de conserver les corps pour pouvoir les examiner et établir les causes de la mort, ils vont être enterrés précipitamment dans une fosse commune où ils resteront plusieurs jours.
Ils seront ensuite exhumés pour ouvrir une « enquête » et faire accuser la Russie de « crime de guerre ».
2 - Les informations recueillies par Christelle Néant (reporter dans le Donbass) (*)
Christelle Néant apporte des éléments complémentaires très utiles dans la recherche de la vérité. Dans son article on peut relever notamment :
• Des posts venant d'une chaîne Telegram dédiée à la vie à Boutcha, montrent des photos du 31 mars 2022, où il n'y a pas de corps dans les rues. Et aucune mention de ces derniers non plus.
• Autre information obtenue grâce à cette chaîne Telegram, il s'avère que l'armée ukrainienne a débarqué à Boutcha dès le 1eravril 2022. Ce qui permet de dire que les troupes ukrainiennes pourraient bien être responsables des morts visibles dans la vidéo du 1er avril (voir l'article : donbass-insider.com).
• Mais là où ça coince le plus, c'est que si ces gens avaient été tués le 19 mars 2022, cela voudrait dire que les corps sont restés dehors pendant deux semaines avant d'être découverts ! Or sauf confinement en chambre froide (température entre 2 et 4 °C qui permet de ralentir le processus mais pas de le stopper), le corps va commencer à se putréfier deux à trois jours après la mort.
Or dès le 20 mars les températures montent jusqu'à atteindre 16 °C les 22 et 23 mars. Le temps est de plus ensoleillé, ce qui veut dire qu'il fait encore plus chaud sur l'asphalte sombre où reposent les corps. Ce qui veut dire qu'en deux semaines la putréfaction de ces corps devrait être bien avancée.
• source : « Quand images satellite et vidéos sont manipulées pour raconter une fausse histoire », agoravox.fr
(*) Christelle Néant : Fondatrice de Donbass Insider, un média indépendant basé à Donetsk, je couvre le conflit du Donbass et la vie des Républiques populaires de Donetsk et Lougansk sur le terrain.
A2- Les Forces de Sécurité ukrainiennes (SBU) à l'œuvre
Voir la vidéo très instructive :
Le SBU ukrainien étudie la torture et les assassinats de la CIA :
« Vassily Prozorov, un ancien officier du SBU qui a fait défection en Russie après le coup d'État du Maïdan en 2014, a détaillé la dépendance systémique des services de sécurité post-Maïdan à la torture pour écraser l'opposition politique et intimider les citoyens accusés de sympathies russes.
Selon Prozorov, l'ancien officier du SBU, les services de sécurité ukrainiens sont directement conseillés par la CIA depuis 2014. « Des employés de la CIA sont présents à Kiev depuis 2014. Ils résident dans des appartements clandestins et des maisons de banlieue », a-t-il déclaré. « Cependant, ils viennent fréquemment au bureau central du SBU pour tenir, par exemple, des réunions spécifiques ou planifier des opérations secrètes. »
• thegrayzone-com.translate.goog
Faut-il dénazifier l'Ukraine ?
Êtes vous prêt à mourir pour eux ???
• Ce qui se passe en réalité en Ukraine (Donbass et ailleurs) (1)
• Ce qui se passe en réalité en Ukraine (Donbass et ailleurs) (2)
• Ce qui se passe en réalité en Ukraine (Donbass et ailleurs) (3)
• Ce qui se passe en réalité en Ukraine (Donbass et ailleurs) (4)
• Ce qui se passe en réalité en Ukraine (Donbass et ailleurs) (5)
• Ce qui se passe en réalité en Ukraine (Donbass et ailleurs) (6)
• Ce qui se passe en réalité en Ukraine (Donbass et ailleurs) (7)
• Ce qui se passe en réalité en Ukraine (Donbass et ailleurs) (8)
• Ce qui se passe en réalité en Ukraine (Donbass et ailleurs) (9)
• Ce qui se passe en réalité en Ukraine (Donbass et ailleurs) (10)