Mes enseignants du primaire m'ont appris que George Washington avait courageusement dirigé l'armée continentale [L'armée continentale est le nom donné aux troupes des treize colonies américaines, placées sous commandement unique, celui de George Washington, et qui combattent l'Empire britannique pendant la guerre d'indépendance des États-Unis, NdT], qu'il avait été le premier président des États-Unis et qu'avec humilité il avait refusé de se représenter après un second mandat.
Histoire
4 articles17 jours30902024ToutAnatole France : Populaire des deux côtés des barricades
Anatole France: Populaire des deux côtés des barricades
Troy Southgate
Source: troysouthgate.substack.com
Croyez-le ou non, il y a eu des moments où l'extrême gauche et l'extrême droite se sont exprimées d'une seule voix, et un tel exemple concerne l'attaque dirigée contre Anatole France (1844–1924) par le mouvement surréaliste nouvellement formé. France, considéré par ses concitoyens comme le plus grand homme de lettres de l'histoire du pays et lauréat du prix Nobel de littérature en 1921, gisait impuissant sur son lit de mort tandis qu'un groupe de conspirateurs s'employait à rédiger une diatribe virulente dans laquelle leur cible déclinante serait décriée comme un conformiste complaisant, impardonnablement encensé par les deux camps politiques.
La longue alliance secrète entre l'Oncle Sam et le génocidaire Pol Pot
Non seulement les États-Unis ont contribué à créer les conditions permettant aux Khmers rouges d'accéder au pouvoir au Cambodge en 1975, mais ils ont également soutenu activement cette force génocidaire, tant sur le plan politique que financier. Dès janvier 1980, les États-Unis finançaient secrètement les forces exilées de Pol Pot à la frontière thaïlandaise. L'ampleur de ce soutien - 85 millions de dollars entre 1980 et 1986 - a été révélée six ans plus tard dans une correspondance entre Jonathan Winer, avocat du Congrès et alors conseiller du sénateur John Kerry (Démocrate-Massachusetts) de la commission des affaires étrangères du Sénat, et la Vietnam Veterans of America Foundation.
Why Taxes Were So Hated in the Middle Ages
By Ryan McMaken
Mises.org
October 8, 2025
By now, it's a very well known historical narrative: during the Middle Ages, kings were all powerful over their subjects. They ruled with a divine right, and therefore could raise taxes at will. After all, as God's chosen rulers on earth, who would contradict them? Certainly not the king's subject who, with the help of the Church, were all utterly cowed by the idea that to disobey the king was to risk eternal damnation.