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Nicolas Sarkozy
Nicolas Sarkozy adopte un ton plus conciliant à l'égard du Rassemblement national. Il rompt avec le principe du front républicain et reconnaît la place durable du RN. Ce réchauffement symbolise une recomposition profonde de la droite française.
Longtemps, la frontière entre Nicolas Sarkozy et le Rassemblement national a semblé infranchissable.
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Roland Lescure, ministre français de l'Économie. [Photo d'illustration]
Face à l'impasse budgétaire, le gouvernement français adopte une loi spéciale reconduisant provisoirement le budget de 2025. Mais cette mesure temporaire gèle les investissements et suspend des aides essentielles, menaçant l'économie et les services publics, comme l'avertit l'exécutif.
par Raphaël Besliu
Au beau milieu des ors républicains, un scandale fait grincer des dents : Ghislain M., surveillant au Louvre et passionné de porcelaines, avoue avec son complice Thomas M., intendant de table à l'Élysée, avoir dérobé et dissimulé plus d'une centaine de pièces de Sèvres, ces trésors manufacturés issus de l'excellence française. La quasi-totalité a depuis réapparu sur les étagères de l'Élysée.
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Emmanuel Macron et Sébastien Lecornu
Emmanuel Macron manifeste une impatience croissante face à l'absence de budget. La loi spéciale permet de gagner du temps, mais ne règle pas la question. Le 49.3 apparaît de plus en plus comme l'issue probable d'un blocage persistant.
La France s'apprête à franchir le seuil du 1er janvier 2026 sans budget adopté, une situation exceptionnelle qui commence à sérieusement irriter Emmanuel Macron.
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Sébastien Lecornu le 17 décembre à l'Assemblée nationale.
Après l'échec de la commission mixte paritaire sur le budget 2026, le gouvernement français opte pour une «loi spéciale» afin d'assurer le financement provisoire de l'État et éviter un blocage. Sébastien Lecornu a entamé des consultations urgentes avec les leaders parlementaires.
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L'Assemblée nationale. [Image d'illustration]
La suspension de MaPrimeRénov' bloque environ 80 000 dossiers en attente, faute de consensus budgétaire. Des milliers de ménages voient leurs travaux de rénovation repoussés, malgré des besoins parfois urgents en hiver. Cette incertitude pénalise aussi les professionnels du bâtiment et fragilise la confiance dans le dispositif.
par RT France
«Emmanuel Macron est en train de propulser son fidèle lieutenant Jean Castex pour les prochaines élections présidentielles quitte à revenir en 2032. Macron ne va pas lâcher le pouvoir comme ça».
Claude Janvier
reseauinternational.net
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Des locaux de l'Unédic.
L'Unédic publie un bilan contrasté de la réforme de l'assurance-chômage de 2023. Si elle génère 4,5 milliards d'euros d'économies annuelles d'ici 2027, elle entraîne une hausse de 65 % des fins de droits, augmentant le recours aux aides sociales comme l'ASS, sans réduire le chômage à 7,7 %.
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Sébastien Lecornu.
La commission mixte paritaire tente un compromis de la dernière chance sur le budget 2026. Les divergences entre Sénat et Assemblée, notamment sur déficit et fiscalité, restent profondes. En cas d'échec, l'exécutif envisage une loi spéciale pour éviter le blocage budgétaire.
Vendredi 19 décembre, sept députés et sept sénateurs se retrouvent en commission mixte paritaire (CMP) pour tenter d'arracher un compromis sur le projet de loi de finances pour 2026.
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François Fillon devant l'assemblée générale de son association Agir en Orient.
Dans un entretien au Figaro, François Fillon critique sévèrement Emmanuel Macron, l'accusant d'accroitre la dette d'un milliard d'euros par jour et d'avoir affaibli les institutions. «À la place
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Giorgia Meloni et Emmanuel Macron.
Giorgia Meloni soutient la France en jugeant prématurée la signature de l'accord UE-Mercosur. Sans l'Italie, la Commission perd la majorité qualifiée nécessaire pour avancer. Le Conseil européen s'annonce crucial, sous pression politique, agricole et internationale.
Entre Emmanuel Macron et Giorgia Meloni, les relations sont souvent marquées par la défiance.
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Emmanuel Grégoire, candidat de la gauche pour les municipales de Paris.
La gauche parisienne (PS, écologistes, PCF) s'unit dès le premier tour, une première historique. Emmanuel Grégoire mènera la liste, avec des concessions importantes aux écologistes. L'accord vise à verrouiller l'unité au second tour face à la droite, malgré quelques désaccords programmatiques.