28/03/2021 3 articles legrandsoir.info  2 min #187494

Lettre ouverte à la radio que je paie et qui me calomnie


Maxime VIVAS

Voici la lettre courtoise, pas énervée, que j'ai envoyée à la médiatrice de France Inter.
A contrecoeur. Je ne voulais pas. Des lecteurs et des amis m'ont poussé.
Je pensais que réagir, c'est s'abaisser au niveau de ce chroniqueur et que c'est inutile : j'aurai en réponse, s'il y a une réponse, des arguties foireuses, du bruit fait avec la bouche.

Chère madame France Inter,

Je suis auditeur de France Inter et contribuable français, deux raisons d'être attristé par la charge de votre chroniqueur Tristan Mendès-France à mon encontre dans l'émission « Antidote » qui gagnerait en excellence si elle voulait (à l'occasion, ou pas, d'une prochaine salve contre moi) préciser ce qui suit et qui le contredit :

1) Je ne suis pas le responsable du site Le Grand Soir.

2) Le Grand Soir ne relaie pas de « nombreuses théories complotistes ». Il n'en relaie aucune. C'est vérifiable : il a publié 30 000 articles, tous en archives libres.

3) Il n'a donc à aucun moment contesté l'existence « des attentats du 11 septembre 2001 ». A titre préventif, je signale que Le Grand Soir n'a pas davantage nié que Neil Armstrong ait posé le pied sur la lune le 21 juillet 1969.

S'il vous est pénible de rectifier vos 3 fake news du 26 mars 2021, au moins pouvez-vous, SVP, considérer qu'il n'est pas digne d'une radio publique de traiter à l'improviste un auditeur et un citoyen d'« individu » (deux fois ») et de le rabaisser d'un : « Voilà le genre de source... ».

Que sait-il de moi, de ma vie, de mes écrits, Tristan Mendès-France ? Rien, dirait-on.

Bien à vous (enfin, moins qu'hier).

Maxime Vivas

 legrandsoir.info

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28/03/2021 legrandsoir.info  6 min #187495

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Etudiants dans le besoin : ouvrez une boutique de chasseur de « fake news » .

Jacques-Marie BOURGET

Simone Weiss nous a tout appris en nous donnant un conseil "Croire à l'histoire officielle c'est croire des criminels sur parole". Mais les indignés sur commande qui font commerce de la vérité n'ont jamais lu Simone Weiss. Alors, nouveaux chiens de garde, ils aboient pour le compte de leurs maîtres quand un aventurier ou un naïf, peut être un courageux, s'en vient à ne plus croire les criminels sur paroles.