28/04/2023 reseauinternational.net  10min #227701

Tant espérée, comment l'harmonie est déjà dans le peuple

par Gilbert Guingant

Vous allez tout comprendre. Qui mènent la cadence ? Nous sommes en train de vous le demander. Se démontre, en effet, un style époustouflant que les ploucs néolibéraux ne peuvent plus suivre. Une réponse casserolée aux surdités « inverse », soudain, toutes les routines. Et alors ? Crises des pouvoirs qui ne se montrent que sur la pente très glissante : donc sans frein ! En conséquence, à nous de les refréner et nous savons faire. Par exemple, va émerger le simple comment est-ce que ceci se passe ? D'abord leur bilan s'est très rétréci : cette fois ci l'échec des faux politiques s'évide complet. Ayant perdu toute CONFIANCE des populations, ils ne peuvent concrètement plus gouverner. Oui, ils croyaient oser « seul un élu a tous les droits »... Sauf qu'ils se désastrent, au final, en bégayant « il ne faut obéir qu'à des non... élus. » Boum badaboum. Faudrait savoir à la fin...Nous, nous savons : le divorce d'avec ces fakes gouvernements est de la sorte tangiblement... consommé : Voici comment :

Depuis l'initiative casserole ils en perdent toute initiative - plus de com' - que de la police massive vraiment trop hors-sujet. Avec survenances de l'image si agitée - plus de mots, ils ne peuvent pas les utiliser. etc. Et le tout dans un style « qui danse » que nous connaissons bien. Mais que n'avions plus perçu depuis quelque temps. Voyons : de la casserole, nous passons à une illégale «royauté», mise en images, donc couronnée de « casse »-« rôle » (le rôle devient de se casser tout net !). Avec tous les épisodes à l'avance annoncés (plus la peine de « chercher » c'est déjà trouvé !). Assignés à résidences : ils ne peuvent plus « paraître » en public. Harcelés par leur gloire malsaine. Ils l'ont tellement... cherchée. Saisines des si illégaux financiers : tous les en même temps déboulent en même temps. Chaque jour une facétie faite sans équivoque aux faux politiciens. Les escrocs sortent leurs crocs, etc.

Entièrement comme si nous avions déjà les partitions, les chefs d'orchestres, le déroulement très complet du retour triomphal de la population souveraine. Le style y est à fond. Ils disent « nous menons la cadence ». La danse fout dans, oui dedans, tous les ennemis de la réPublique unie... Ainsi comment c'est :
(1) Le macronisme comme la phase la plus insensée de la société de consommation ?(1)

Pour continuer à s'enrichir, les riches ont un besoin impérieux de perpétuer... la société de consommation.

Ça consiste en quoi ?

Ça consiste à continuer à produire et à... inciter à l'achat des produits (politique dite de l'offre) même après que les besoins des consommateurs (la demande) soient satisfaits ». Ceci possède des côtés de détournements de mineurs qui hurlent la consommation irresponsable doit stopper. Et qui « incitent » à la consommation folle (pubs, médias menteurs, financiers corrompus et politiciens) doivent aller directement en prison.

Comment ?

En ayant recours à l'achat forcé (mot essentiel qui démontre qu'est trahi même le Code du commerce de a à z) par le gavage publicitaire, l'obsolescence programmée, etc.. Autrement dit ça consiste à continuer l'achat de produits dont on n'a pas besoin.

Or acheter un produit dont on n'a pas besoin revient purement et simplement à consommer/détruire du produit pour le seul bénéfice du vendeur ». Cette dissymétrie si abusive se « traduit » facilement en Justice par la « qualification » « d'achats forcés ne reposant sur aucun consentement du consommateur » et de « consommateurs pris en otages par des procédés très mal intentionnés. »

Poussons le raisonnement à son terme :

La robotisation conduit à la destruction des emplois et du système de protection sociale. Ceci montre que les tenants de ce système n'ont rien à foutre de l'humain ». La Justice prend en charge de tels refus flagrants des règles républicaines (ce système qui n'en a rien à foutre de l'humain) pour le condamner. Le condamner au point de... l'abolir.

Mais ils ont néanmoins besoin de ces humains pour acheter/consommer/détruire leurs produits afin qu'ils puissent continuer à en produire/vendre d'autres et ainsi continuer à s'enrichir ». Ceci est leur point si faible : ils ont « besoin » de nous. Et nous pas d'eux : ils ne sont que des parasites. Parasites sans lesquels tout ira tellement... mieux... Puisque, afin de faire fonctionner leur bastringue, il leur Faut des humains (ils ne peuvent le faire eux-mêmes : trop Hors des réalités !) sauf que ces humains très nombreux peuvent stopper le tout. Voir plus loin la réflexion qui englobe...

Lorsque les humains seront appauvris au point de ne plus pouvoir acheter, qu'est-ce qui les empêchera demain de remplacer les consommateurs humains par des robots consommateurs/destructeurs ? » Leur FOLIE est telle qu'elle ne sait plus que détruire, semer la mort, la mort des sols et de la régénération de la vie, la mort de la Nature incontournable et des forces vives. Un monde que de robots ne pourra qu'étouffer ces faux maitres qui n'auront jamais rien... maîtrisé. Plus médiocre et incapables qu'eux, impossible à trouver.

Aussi bizarrement que cela puisse paraître, les patrons sont singulièrement absents et invisibles dans les débats alors qu'ils sont très concernés. Il faut croire qu'ils considèrent Macron comme le meilleur défenseur de leurs intérêts et leur meilleur porte-parole ». L'absurdité de ne vivre que dans le flou des avidités irrationnelles ne peut que se retourner contre eux. Pas une hypothèse analysée qui les place en bonne posture dès la fin du macronisme si stérile. Le choix de « l'ombre » les fait sombrer avec elle... L'ombre les sombre.

Selon la Fédération Internationale de Robotique (FIR), le nombre de robots industriels vendus dans le monde a été multiplié par 5 entre 2001 et 2017, et serait multiplié par 1,4 entre 2018 et 2022 ». D'où tout compte de retraites doit intégrer ces 6,4 %. « C'est donc le patronat qui est responsable du déséquilibre dans le financement du système social. C'est à lui de rétablir l'équilibre en payant un « équivalent cotisations sociales » sous la forme d'une taxe sur la robotisation »... Soit de... 64 % du total dès 2030. Et ensuite, un affinement très équitable se stabilisera. Ne pas leur faire ce que leurs immoralités si pitoyables en ont toujours souillé les rapports sociaux.

Vous trouvez que l'affaire n'est pas réglée, vous ?
(2) Sans la communication truquée, le macronisme n'est donc plus ?

Et de ces remises en réponses tous azimuts, contre les congélations de routines, nous allons vers quoi nous y allons zenfants de la...(2)

« Jean-Louis Sirioux résume le traitement médiatique par cette double dynamique » : les violences des dominants pointent euphémisées et celles des dominés saillissent hyperbolisées.

 L'euphémisation consiste essentiellement à escamoter, dissimuler, minimiser, dédramatiser et justifier une ultra violence : « parmi ses mécanismes, nous retrouvons le recours à la voix passive, au conditionnel, à la forme réfléchie ou pronominale, les figures de style, notamment la litote et la métaphore, ou encore les expressions éculées ou les mots très globalisants, comme « violence ».

 L'hyperbolisation consiste à amplifier, grossir, dramatiser une violence infime pour la disqualifier - « tout en donnant à la violence d'en face « le visage plus acceptable de la légitime défense ». Mais, déraisonnablement, pas de « légitimes défenses » lorsqu'il s'agit de se défendre des agressions permanentes des gouvernements ?

À ces deux tendances malsaines, une troisième vient immédiatement s'ajouter : « la dépolitisation, qui donne une explication... individuelle plutôt que structurale aux violences. L'absence ou la modalisation du terme « violences policières », ainsi que la catégorisation des articles traitant des violences policières dans la rubrique faits-divers, participent évidemment de cette régression. »

Dès qu'éventée la com' macrorienne ne vaut plus rien. Sur les images, les personnes sont choisies, triées, trichées. Et jusqu'à 800 policiers empêchent toute... vérité de l'image. Sauf qu'il y a tellement de mécontent.e.s qu'ils sont partout. Chaque répression, toujours plus malhabile, en ajoute d'autres et d'autres, etc. Mieux vaut de ne plus paraître nulle part. Les « apaisements » sont impossibles devant un gouvernement, si encombré de ses propres maladresses, qui ne sait que mettre de l'huile sur le feu. Tout est de leur faute de tout ce qui arrive sauf le... style. Le splendide style. Face au « monologue lugubre » du macronisme, nous avons les innombrables feux d'artifices de l'intelligence collective (voir les documents dans le lien).

Par exemple ? L'anomalie devient, qu'alors que le nombre innombrable de manifestants leur désimporte, pourquoi tant s'obnubiler sur le bruit des casseroles ? Ce n'est pas rationnel. Tellement puéril, sans sagesse. C'est un détail, tout du moins au départ, sans importance. Ou alors c'est que, de toutes forces, le monologue unique ne doit jamais s'interrompre ? Tout serait « bruit » qui vienne l'interrompre ! Incroyable, non ? Quoi qu'il en soit, ils se sont embarqués, imprudemment, dans cette spirale libératrice, dans ce cercle vertueux, oui dans ce qui leur échappe complètement (le vrai style). Et les voici tellement dépassés en si peu de jours. Que, sauf qui n'ont jamais « vécu dans la société de consommation », bien peu comprennent et ressentent la séquence (ou le moment) actuel de la situation !(3)

Prenez la patience de parcourir ces quelques lignes qui ramènent tellement d'images du futur proche à la fois. Nous y percevons qui précèdent, qui procèdent de tant précéder, qui restent en aisée avance et qui mènent la cadence... « Le 28 mars, une centaine de personnes ont bloqué l'une des plus grandes zones logistiques d'Europe, située dans les Bouches-du-Rhône. Stopper les flux de marchandises, même temporairement : une stratégie devenue incontournable pour le mouvement social contre l'anti-réforme des retraites.

La zone de Saint-Martin-de-Crau est l'une des plus grandes d'Europe. Des dizaines de giga-­entrepôts ont colonisé la plaine, entourée de moutons, de pêchers et d'éoliennes au carrefour de deux voies rapides. Les écolos du coin ont rebaptisé la commune « Saint-Parpaing-de-Crau ». L'endroit occupe une place essentielle dans les rouages du transport de marchandises sur les axes continentaux Nord-Sud, le tout en lien avec le grand port maritime de Marseille. Une « sorte de nœud logistique vers lequel convergent des millions de produits avant d'alimenter la demande des consommateurs »...

La fin de la société de consommation (donc du macronisme) se produit par ferme interruption des flux. Les... conséquences fusent déjà en foules !
(3) C'est le pays qui sauve le pays !

La décentralisation effective a enfin lieu. Tout le pays uni invente à tires d'ailes. Oui, au lieu de s'empuantir dans le confinement si insalubre du parisianisme. Que stérile. À chaque heure nous avons une idée et une initiative d'un endroit de la vaste France. Le tout stylé très génial. Le flipper fait tourner la boule qui croyait niquer, oui la pinball les manipule de mains de maîtres.

Toujours plus joyeux ! C'est que, innombrables, innombrables, chacune et chacun donnant/puisant une idée enflent tant d'autant l'apothéose :

La Libération de la France est déjà une fête.

Elle n'attend pas les confédérés du 14 Juillet. Ils sont déjà là.

Le 14 juillet reste aussi révolutionnaire qu'en 1789. De quoi l'avancer au plus vite. Etc.

Les bonnes idées fusent et infusent de partout en même temps. Tout de converger, tout ce qui servira aux encerclements de qui les méritent.

Ils ont tout raté, ils ont tout perdu dès le 14 avril...

Ils ont sauté d'un cran hors des rouages. Et n'arrivent plus à s'insérer dans la circulation collective...

Au point que le preste 1er mai sonne déjà comme un Triomphe !

source :  Imagiter

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