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Par François DUBOIS, vice président de Profession-Gendarme :
ZFE, voitures à piles et éoliennes qui blanchissent du pognon... On nous vend que tout ça éviterait les canicules, du moins ralentirait l'augmentation de leur fréquence. Vraiment ?
Petit rappel historique des grandes vagues de chaleur bien avant le CO₂ industriel de masse.
— 13 juillet 1921 Jusqu'à 44,8 °C à Bourges, un record absolu à l'ombre pour l'époque en France. Un pic de chaleur brutal, sans « empreinte carbone moderne ».
— 28 & 29 juillet 1921 Une canicule intense frappe la quasi-totalité du pays : • 38 °C sur les ¾ du territoire • 38,4 °C à Paris, température la plus élevée depuis 1881 • 40 à 42 °C mesurés à Vesoul, Besançon, Albertville, Bourg-en-Bresse, Moulins On est en 1921. Pas de SUV, pas d'avion low-cost, pas de centrale nucléaire ou à charbon.
— Canicule de 1947 (22 juillet - 4 août) Températures supérieures à 40 °C généralisées 40,4 °C à Paris Environ 3 000 décès recensés Une des premières canicules meurtrières documentées en France.
— Canicule de juin 1950 28 juin : • 39 °C à Biarritz, Agen, Paris, Toulouse 29 juin : • 40 °C à Mont-de-Marsan • 39,8 °C à Toulouse • 38,4 °C à Bordeaux • 35 °C à Paris 30 juin : • 37,8 °C à Saint-Étienne • 36,2 °C à Lyon • 35,7 °C à Genève Une canicule oubliée. Pourtant violente.
— Canicule de 1976 Chaleur persistante de fin juin à mi-juillet Sécheresse extrême → mise en place d'un impôt sécheresse Environ 6 000 décès estimés La sécheresse ruine les récoltes, le gouvernement taxe les Français pour compenser.
— 1983 : vague de chaleur exceptionnelle Du 9 au 31 juillet : 22 jours de canicule Températures généralisées de 35 à 40 °C Surmortalité importante, notamment dans le sud-est (Marseille) Environ 4 700 décès
— Conclusion ? Oui, l'été il fait chaud. Oui, les épisodes se rapprochent ces dernières décennies : 2003, 2015, 2019, 2022.
Mais NON : • Cela ne prouve pas que le CO₂ est la cause.
• Cela ne prouve pas que l'homme pilote le climat. Aucun consensus scientifique solide n'a démontré de lien de cause à effet direct entre émissions de CO₂ modernes et canicules historiques ainsi que leur augmentation de fréquence. Rien ne prouve sérieusement que cette augmentation va être pérenne dans le temps.
On ne détruit pas une économie à coups de lois « écologiques » pour une hypothèse non prouvée. Le GIEC est loin de faire consensus au sein de la communauté scientifique et il ne fait que des projections, il n'apporte pas de preuve.
Si on dépense avec autant d'assurance des milliards sur de l'hypothétique, ce n'est pas pour le climat.
Le retour sur investissement est ailleurs. C'est pour une idéologie politique, des marchés artificiels (carbone, éolien, électrique).
L'écologie punitive, c'est une clé de contrôle, pas une solution.
Questionnez vous sur les entraves qu'on vous met dès lors qu'il est question de faire de la véritable écologie non lucrative (circuits courts, potager, poulailler, autonomie, eau gratuite etc.)
L'écologie entrepreneuriale est l'une des 5 colonnes vertébrales du WEF. Ne l'oubliez pas.
ZFE, voitures à piles et éoliennes qui blanchissent du pognon…
On nous vend que tout ça éviterait les canicules, du moins ralentirait l'augmentation de leur fréquence.
Vraiment ?
Petit rappel historique des…