Je n'ai aucune envie de tergiverser sur l'outrecuidance des États-Unisdirectionnels de considérer la torture et la souffrance comme parfaitement légitimes et justifiés, ou de faire payer un demi-million de dollar un petit tour d'aéroplane en guise de "caution".
Ce qui est courant et conventionnel, par contre, c'est la pratique dont le sionisme a fait sa signature qui consiste à déchaîner l'enfer afin d'obtenir des remerciements quand ça s'arrête.
Eh bien vous les avez, vos remerciements. Merci pour tout et à jamais.
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Il est inutile de prolonger la discussion. Le dénouement de l'affaire Assange reste classifiée en tant que "Miracle", et je vais dire pourquoi l'apparition de ce terme m'intéresse au point d'en faire un billet.
Le deal était le suivant, tel que je l'ai annoncé en janvier 2024 quand on s'approchait de la dead-line : "Vous avez eu ce que vous vouliez, alors maintenant laissez-le tranquille". Oui, la presse a peur, elle est domptée, votre tête de turc a perdu 50% de sa vie, et vous êtes les plus forts, vous avez gagné.
Je cherche constamment, par vocation, comment résoudre les conflits. Cela a commencé quand j'étais petit avec mes parents qui s'entre-tuaient quotidiennement, et j'ai vite constaté le pouvoir des mots. Mais bon la question ici n'est pas de me mettre en avant en tant que personne inconnue et sans aucune influence sur ce monde, mais juste pour dire que mon cerveau consacre toute son énergie en tâche de fond à chercher des solutions. C'est pour cela que je fais de la prog :)
Dans le cas d'Isis-Raël, par exemple, je sais et j'ai bien vu comme ils aiment se vanter. Ah nous les juifs on est comme ça (ma grand-mère va être contente que je dise cela !). Ils ont vraiment été très fiers de libérer quatre otages malgré à peine plusieurs centaines de cadavres de bébés laissés sur le chemin. Bon ils étaient aidés par le débarquement américain mais ça ne compte pas. Ce qu'il leur faut c'est des applaudissements.
C'était pareil à un moment où la guerre a failli se terminer, quand a eu lieu l'échange de prisonniers au mois de décembre 2023. En comparant l'état dans lesquels ils avaient été rendus, les arabes défoncés et les juifs en pleine forme, le monde a prit note que le Hamas était gentil. Cela ne leur a pas plu du tout alors ils sont repartis pour un tour, reniant leur promesse de ne pas attaquer le sud, qui de toutes façons n'avait pas une grande valeur. On a déclaré que le vainqueur était celui qui restait digne. Alors ils ont voulu voler ce trophée, et ne pas se contenter d'un demi-génocide. Ils sont compliqués à comprendre.
Une fois qu'ils laisseront les arabes tranquilles, satisfaits de contempler les ruines fumantes de leur envie de prouver qu'ils existent, on les remerciera, et ils seront contents d'eux. La guerre ne se terminera que lorsque que quelqu'un se dévouera pour leur faire le moindre compliment, même si c'est pour avoir eu la gentillesse de découper les bébés avec moins d'entrain.
Je subodore qu'il en va de même avec l'Ukrazie, qui, bien que ce soit un prétexte fallacieux, a fini par croire en la légitimité de sa justification de génocider les russophones ; avec le soutien inconditionnel et effarant des chancelleries oxydées. Ils disent "On combattra le vilain Poutinou jusqu'au dernier ukronazi que de toutes façon personne n'a envie de voir survivre". Ce qu'ils veulent, qui n'est ni concret ni défendable, c'est d'avoir raison, je cite "en conformité avec le droit international et l'intégrité du territoire" (gros mensonge par cancelisation de la tournure historique). Un voleur qui s'est coupé le doigt avec un billet de banque volé peut-il s'en plaindre à sa victime ? Puisque l'intervention "spéciale" avait déjà pour but de faire respecter le droit international, ce qui arrive ensuite n'est plus de son ressort. Mais puisque ce qu'ils veulent est irrationnel et inconsistant, non-physique, donnons-le leur de bonne grâce : "Vous avez raison ! Vous avez bien agi. Merci pour tout, et maintenant on recommence : les régions russophones doivent pouvoir choisir (encore) de faire sécession. Et en prime la Russie va tout reconstruire, de bon gré ; épargnant cette lourde dette, de 250 milliards de dollars, à l'oxy-dent.
Il y a toujours une solution.
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Le fait est que - et ceci est valable dans tous les cas, celui d'Assange servant de symbole simple à comprendre - la résolution de conflit amène un paiement de toutes les dettes. Une fois que c'est fini, c'est fini, on ne revient plus dessus.
Le fait est que, aussi triste que cela soit pour ceux qui ne croient pas que la Nature a une raison, que la vie a un sens, qu'il existe une vérité qui nous dépasse : tous les comptes seront vraiment réglés après la mort. Ce n'est pas rien. Ce n'est pas une assertion inutile dans le discours, ou un futile bavardage. De toutes façons, nous, humains, on ne peut plus rien faire. On ne peut que continuer à vivre avec ce qui nous reste. Par contre ce qui se passe après la mort, ne regarde que la conscience de ceux qui ont fait sauté des têtes de bébé comme des capuchon de Coca-cola.
C'est donc très important de considérer qu'une fois un crime résolu, même aussi injustement et maladroitement que possible, on ne revient plus dessus, et on laisse chacun à sa conscience, et à sa capacité de vivre avec cela.
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Je veux juste faire noter, bien que je n'ai aucune envie personnelle de m'en vanter, et que je pourrais allègrement vivre sans le dire, qu'à chaque fois que le terme de "Miracle" apparaît suite au dénouement d'une situation inextricable, que cela soient des incendies que seule une pluie non-prévue a pu éteindre, que cela soit de l'ordre de la santé mentale, ou enfin la libération de Julian Assange - "Que toutes les charges retenues contre lui soient abandonnées" - nous avons procédé à une méditation dirigée.
En unissant les pensées synchronisées sur un texte bien établi, pendant sept jours à heure fixe, avec au moins sept participants (21 au maximum), et à condition que la demande soit éthique, l'âme générale peut entendre et accepter d'accomplir cette demande. Pourquoi ? Simplement parce que cela fait partie du destin évolutif de l'humain, que de gagner en capacité de contrôle, en conscience, et en puissance.
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On assiste beaucoup, à notre époque troublée, caractérisée par un développement technologique amplement dysharmonique avec le développement psychologique et social, à une grande augmentation de puissance, sans la conscience. Elle ne mène à rien et c'est désespérant.
Donc, le schéma comportemental a adopter, une fois que les affaires sont réglées, au moins sur un plan psychologique, est de faire montre de toute la dignité dont on est capables ; de ne pas chercher à se venger, ne pas l'utiliser comme argument, et passer à autre chose.
De toutes façons à la fin c'est toujours la banque qui gagne. Sauf que "la banque" c'est la Conscience Générale.