Andrea Zhok
Source: ariannaeditrice.it
Après le saccage du bureau diplomatique italien à Damas, le ministre des Affaires étrangères Tajani nous dit que « tout est sous contrôle ».
Seule omission négligeable, on ne sait pas très bien sous quel contrôle.
D'un autre côté, si le Premier ministre Giorgia Meloni s'efforce toujours d'« établir la responsabilité » de ceux qui ont tiré sur les troupes italiennes de l'Unifil au Liban, il est au moins aussi plausible de dire que si l'on pille votre ambassade, "tout est sous contrôle".