09/09/2019 reseauinternational.net  18 min #161393

Jeffrey Epstein, Larry Silverstein et extrême malfaisance médiatique

À l'approche du 18e anniversaire du 11 septembre, l'arrestation et le prétendu suicide de Jeffrey Epstein ont fait la Une et suscité des questions quant à la crédibilité des autorités. Comme l'écrit  Eric Rasmusen : « À New York, tout le monde sait qu'en 2000, Jeffrey Epstein et Ghislaine Maxwell corrompaient des adolescentes, mais ça n'intéressait pas la presse. » De même, tous les New-yorkais savent depuis des lustres que Larry Silverstein, qui s'était payé le World Trade Center, un gouffre financier farci d'amiante, en juillet 2001, et en avait aussitôt doublé l'assurance, est un ami mafieux de Netanyahou, et même qu'il a reconnu être intervenu dans la démolition contrôlée du bâtiment 7 , qui lui a rapporté plus de 700 millions de dollars des assurances, sous prétexte qu'Al-Qaïda l'avait d'une façon ou d'une autre fait s'écrouler. Mais la presse ne couvrira pas non plus cela.

Le New York Times, le journal de référence, a les moyens de d'enquêter et de dénoncer la corruption considérable qui règne à New York. Pourquoi a-t-il perdu près de vingt ans à faire semblant de ne pas voir les agissements pervers trop évidents d'Epstein et Silverstein ? Pourquoi laisse-t-il passer l'absurde histoire du prétendu suicide d'Epstein ? Pourquoi n'a-t-il pas relayé les travaux d'Architects and Engineers for 9/11 Truth, et la  toute nouvelle étude de l'université d'Alaska sur la démolition contrôlée du WTC-7, afin de révéler le plus grand scandale du XXIe siècle, voire de l'Histoire entière des États-Unis ?

Seule réponse envisageable, le New York Times est d'une manière ou d'une autre complice de ces crimes monstrueux. Il doit protéger ses amis en haut lieu. Aussi, qui peuvent être ces amis et où sont ces hauts lieux ?

Ce qu'ont en commun Epstein et Silverstein, hormis leurs noms se terminant par 'stein', c'est leur réputation d'être impliqués dans des affaires illicites de sexe. Les agissements pervers d'Epstein, ou du moins quelques-uns d'entre eux, sont désormais bien connus. Ce n'est pas le cas de ceux de Silverstein, qui a apparemment débuté sa vie dans le proxénétisme. Il fournissait des prostituées et des danseuses nues aux bas-fonds les plus sombres de New York, tout en menant d'autres activités illicites, notamment «  le trafic d'héroïne, le blanchiment d'argent et la corruption de la police new-yorkaise. » Tout cela fut révélé lors d'un procès au milieu des années 90. Mais pour trouver les rapports d'enquête dans le New York Times, bonne chance !

Autre lien entre Epstein et Silverstein, leurs relations avec les principales organisations juives aux États-Unis. Même à l'époque où il était censé faire du trafic de femmes et d'héroïne, Larry Silverstein était président de l'United Jewish Appeal of New York. Quant à Epstein, c'était le play-boy et le protégé de Les Wexner, cofondateur de  Mega Group des milliardaires juifs associés au Congrès juif mondial, à la Ligue contre la diffamation et à d'autres groupes en faveur d'Israël. À vrai dire, rien ne prouve qu'Epstein, le « milliardaire qui s'est fait tout seul, » ait gagné d'importantes sommes d'argent ; son seul 'client' investisseur était Les Wexner. Professionnel du chantage sexuel, Epstein se servait de son prétendu statut de milliardaire comme couverture. En fait, il n'était qu'un employé travaillant pour Wexner et les réseaux du renseignement et criminels associés.

Ceci nous amène au troisième et plus important point commun entre Epstein et Silverstein : Tous deux étaient proches du gouvernement israélien. Jeffrey Epstein dépendait de Mme Ghislaine Maxwell, fille de Robert Maxwell, le super espion du Mossad ; parmi ses amis, on trouvait Ehoud Barak, qui est actuellement en concurrence avec Netanyahou pour la direction d'Israël. Larry Silverstein avait lui aussi des amis dans les hautes sphères israéliennes.  Selon Haaretz, Silverstein a « des liens étroits avec Netanyahou » (qui lui téléphone tous les week-ends), ainsi qu'avec Ehoud Barak, « qui avait dans le passé proposé à Silverstein un poste de représentant en Israël, » et qui l'a tout de suite appelé après le 11/9.

Nous pouvons raisonnablement déduire que Jeffrey Epstein et Larry Silverstein ont réalisé de très importantes tâches pour le compte de l'État israélien. Et on peut aussi déduire que c'est pour cela que le New York Times dissimule les scandales liés à ces deux agents israéliens depuis près de deux décennies. Le New York Times, bien qu'il prétende être le journal officiel des États-Unis, a toujours été exploité par des Juifs qui en sont propriétaires. Sa couverture médiatique a toujours eu un  grotesque parti pris en faveur d'Israël. Il n'a aucun intérêt à révéler comment Israël contrôle les États-Unis, en faisant chanter les dirigeants (Epstein) et en organisant l'« attentat arabo-musulman sous faux drapeau contre les États-Unis » (Silverstein). La terrible vérité est que le New York Times fait partie du même réseau juif-sioniste : «  Nous contrôlons les États-Unis » comme Jeffrey Epstein et Larry Silverstein.

Le 'suicide' d'Epstein illustre la maîtrise des sionistes sur les États-Unis et la décadence et la dépravation dans l'Occident laïque.

Puisque le New York Times et les autres grands médias n'en feront rien, réfléchissons aux faits et aux leçons tirées du scandale du 'suicide' de Jeffrey Epstein - une honte nationale qui devrait pousser les Étasuniens à repenser leur vision du monde en général, et leurs points de vue sur le mythe officiel du 11 septembre, en particulier.

Le samedi 10 août 2019, Jeffrey Epstein, inculpé pour trafic sexuel, aurait été retrouvé mort dans sa cellule au Metropolitan Correctional Center de New York, l'une des prisons les plus corrompues. Les autorités prétendent qu'Epstein s'est pendu. Mais personne, pas même la pressetituée, ne prétend être convaincu par l'histoire officielle.

Jeffrey Epstein était un maquereau pédophile pour présidents et dirigeants. Son travail consistait à recruter des jeunes filles, puis à les offrir à des hommes puissants - en des lieux équipés de caméras cachées. Les 6 et 7 juillet 2019, quand la police a fait une descente dans son hôtel particulier de New York, elle a découvert des coffres-forts contenant des photos pornographiques de filles mineures, ainsi que des piles de disques compacts étiquetés avec les noms de la jeune fille et de la personnalité. Epstein menait cette activité ouvertement et effrontément depuis plus de vingt ans, comme cela a été rapporté pendant la majeure partie de cette période par d'autres médias, dont les miens,  Truth Jihad Radio et  False Flag Weekly News. (Même avant les élections de 2016, mon auditoire savait que Bill Clinton et Donald Trump étaient des clients de Jeffrey Epstein qui faisaient l'objet de chantage, que Clinton voyageait souvent à bord du jet privé 'Lolita Express' d'Epstein, et que Trump avait été accusé de manière crédible lors d'une action en justice, de s'être joint à Epstein dans le viol brutal d'une jeune de 13 ans que Trump aurait prétendument par la suite, menacée de mort.) C'est seulement à l'été 2019 que les grands médias et les procureurs de la ville de New York ont commencé à parler de ce qui était jadis relégué au monde de la 'théorie du complot'.

Pour qui travaillait donc Epstein ? Son principal employeur était sans aucun doute le Mossad israélien et son réseau mondial de criminels sionistes. La patronne d'Epstein était Ghislaine Maxwell, la fille de Robert Maxwell, le super espion du Mossad. Selon des dépositions sous serment, Ghislaine Maxwell a recruté des filles mineures pour Epstein et a supervisé ses trafics sexuels. D'après le New Yorker, le 16 août : « Selon des documents judiciaires descellés le 9 août, Maxwell aurait été la principale complice d'Epstein, d'abord en tant que petite amie, puis en tant qu'amie de confiance et mère maquerelle. Elle prenait soin des filles, certaines âgées de 14 ans à peine, les obligeaient à avoir des relations sexuelles avec Epstein dans ses différentes résidences à travers le monde et participait parfois elle-même aux abus sexuels. » Aux côtés de Maxwell, l'autre responsable d'Epstein au Mossad était  Les Wexner, cofondateur du fameux Mega Group d'espions israéliens milliardaires, qui semble avoir initialement recruté Epstein sans le sou et lui avoir remis une fortune de façade afin qu'il puisse se faire passer pour un play-boy milliardaire.

Même après le 'suicide' louche d'Epstein, Mme Maxwell, la super agent du Mossad, a continué à faire étalage de son impunité face à la justice étasunienne. Elle a sans aucun doute conspiré pour faire publier la photo du 15 août du New York Post, où elle souriait et regardait 'sereinement' devant le restaurant de Los Angeles où elle était revenue, et lisait Book of Honor: The Secret Lives and Deaths of C.I.A. Operatives. Cette photo nauséabonde a inspiré le  New Yorker à l'accuser d'avoir de l'audace, un euphémisme pour le mot yiddish  chutzpah, une qualité qui s'épanouit dans les communautés superposées des sionistes et de casher Nostra.

Mme Maxwell et le New York Post, tous deux agents du groupe Casher Nostra/Mossad, ont manifestement envoyé un message à la CIA : Ne vous foutez pas de nous, sinon nous dévoilerons votre complicité dans ces crimes scandaleux. C'est la procédure standard du Mossad : infiltrer et compromettre les services de renseignement occidentaux afin de les empêcher de porter atteinte aux atrocités hors du commun commises par les sionistes. Selon l'hypothèse de l'historien français Laurent Guyénot, la tentative d'assassinat simulée sous faux drapeau de la CIA contre le président John F. Kennedy, tentative censée être imputée à Cuba, a été transmutée par le Mossad en véritable assassinat - et la CIA n'a pas pu le révéler à cause de sa propre complicité (le motif étant d'empêcher JFK de mettre fin au programme nucléaire d'Israël). Le même scénario,  explique Guyénot, justifie les anomalies dans l' affaire Mohamed Merah, la tuerie à Charlie Hebdo et l'opération sous fausse bannière du 11 septembre. Il ne serait pas étonnant que des éléments de la CIA infiltrés par des sionistes, soient rendus complices des chantages sexuels de Jeffrey Epstein, afin de protéger Israël dans le cas où ce dernier serait 'grillé' (ce qui lui est apparemment arrivé).

Que s'est-il donc vraiment passé avec Epstein ? Le scénario le plus probable est peut-être que casher Nostra, qui possède New York en général et la prison mafieuse du Metropolitan Correctional Center en particulier, a laissé le Mossad exfiltrer Epstein vers la Palestine occupée, où il lui sera accordé un lifting, une pension, un suite surplombant la Méditerranée et un défilé constant de jeunes esclaves sexuelles (Israël est la capitale mondiale de la traite d'êtres humains, un honneur revendiqué depuis les enclaves de casher Nostra à Odessa après la seconde guerre mondiale). Dès que la vague médiatique sera dégonflée, Epstein profitera sans aucun doute des visites de son ancienne patronne du Mossad, Ghislaine Maxwell, de son bon ami Ehoud Barak et de plusieurs autres personnalités du monde sioniste. Il pourra même offrir des esclaves sexuelles fraîches aux représentants étasuniens en visite.

Ce n'est pas qu'un fantastique scénario paranoïaque.  Selon Eric Rasmusen : « Le Département de la Justice aurait mieux fait de ne pas laisser incinérer le corps d'Epstein. Et il aurait dû nous donner des preuves convaincantes qu'il s'agissait bien de lui. Si j'avais 100 millions de dollars, il ne me serait pas difficile d'exfiltrer quelqu'un de prison, de me procurer un cadavre et de soudoyer quelques individus pour qu'ils changent les empreintes digitales et l'ADN. Je trouve inquiétant que le gouvernement n'ait publié aucune preuve établissant qu'Epstein est bien mort ou la copie de l'autopsie. »

Mais l'autopsie présumée n'aurait-elle pas trouvé les fractures au cou associées aux meurtres par strangulation plutôt qu'aux suicides ? Cette controverse a peut-être été conçue pour détourner le public d'une  information d'initié sur 4chan, selon laquelle Epstein avait été remplacé dans sa prison, information publiée avant celle du 'suicide' d'Epstein. Si c'est le cas, le corps avec les os du cou brisés n'était pas celui d'Epstein.

L'affaire Epstein (comme le 11 septembre) illustre deux vérités cruciales concernant l'Occident laïque : Il n'y a pas de vérité et il n'y a pas de limites. Une société qui ne croit plus en Dieu ne croit plus en la vérité, puisque Dieu est al-haqq, LA vérité, sans laquelle toute notion de vérité n'a pas de fondement métaphysique. Les philosophes postmodernes l'ont bien compris. Ils ont enseigné à toute une génération de spécialistes des sciences humaines occidentales que la vérité ne dépend que du pouvoir : Les gens acceptent la véracité d'une chose dans la mesure où ils y sont forcés par le pouvoir. Ainsi, à partir du moment où les plus puissants personnages du monde insistent à dire que trois énormes gratte-ciel à charpente d'acier se sont écroulés à cause d'incendies de bureaux relativement modestes le 11 septembre, cette assertion absurde devient la 'vérité' officielle pondue par les institutions occidentales, gouvernements, tribunaux, presse et universités. De même, l'affirmation selon laquelle Jeffrey Epstein s'est suicidé, une assertion déraisonnable dans les circonstances présentes, deviendra sans doute la 'vérité' officielle consignée et promulguée par les institutions au pouvoir en Occident, même si personne ne la croira jamais vraiment.

La carrière éhontée d'Epstein, ouvertement maître chanteur spécialisé dans les affaires sexuelles du Mossad - à l'instar du coup d'État du 11/9 - illustre aussi une autre vérité fondamentale de la laïcité occidentale : S'il n'y a pas de Dieu, il n'y a pas de limite (ici, la dépravation humaine et ce qu'il est possible d'en tirer). Ou, comme le dit si bien Dostoïevski : « Si Dieu n'existe pas, tout est permis. » Puisque seul Dieu peut établir à partir des limites métaphysiques ce qui est permis et ce qui est interdit, un monde sans Dieu n'aura pas de limites ; dans pareil monde, la devise satanique d'Aleister Crowley, « Fais ce que tu veux sera le tout de la loi, » devient le seul et unique commandement. Dans l'Ouest sans Dieu d'aujourd'hui, pourquoi les hommes ne devraient-ils pas faire ce qu'ils veulent et céder à leur libido en violant de jeunes filles, s'ils peuvent s'en tirer à bon compte ? Après tout, pour la jouissance des occidentaux laïques les plus libéraux et dans le vent à la juste pensée, tous les autres tabous sexuels ont été transgressés l'un après l'autre. Fornication, adultère, homosexualité, sadomasochisme, androgynie... Au cours de ma vie, de crimes et vices, tout cela a été transformé en 'droits de l'homme'. Même la bestialité et la nécrophilie sont sur le point de devenir des activités sexuelles identifiées, normalisées [de même le cannibalisme, NdT]. Nous allons voir bientôt ceux qui les pratiquent à la 'Bestiality Pride' et à la 'Necrophilia Pride'. Dans ces conditions, pourquoi ne pas normaliser la pédophilie et les autres formes de viol perpétrées par les forts contre les faibles ? Et pourquoi ne pas rajouter la torture et le meurtre au service des satisfactions sexuelles ? Après tout, la bible secrète du mouvement identitaire sexuel est le recueil des œuvres du marquis de Sade, le prophète satanique de la libération sexuelle avec lequel l'Occident libéral progressiste et laïque rattrape enfin son retard. Il ne serait pas étonnant que quelques années après que le 'suicide' de Jeffrey Epstein soit tombé dans le trou noir de la mémoire, nous assistions à des défilés de fiers LGBTQBNPR, avec BNPR représentant la bestialité, la nécrophilie, la pédophilie et le viol. (Il se pourrait que ce soit LGBTQBNPRG, le dernier 'G' représentant les tripoteurs [Groper] comme le président Trump, mais le 'G' est déjà pris par les gays.) Le 'P' des pionniers des parades 'pedophilia pride', fêteront sans aucun doute Jeffrey Epstein en tant que héros incompris en son temps, injustement persécuté à cause de son orientation sexuelle inhabituelle.

Il est de plus en plus difficile de faire la satire de la décadence et de la dépravation de l'Occident laïque, qui insiste pour se parodier avec toujours plus de bizarrerie. Quand sera écrite l'Histoire de cette civilisation jadis puissante, quand l'encre sera sèche, les lecteurs seront stupéfaits par la démesure des mensonges des psychopathes ivres de chutzpah qui l'exploitèrent jusqu'à la détruire.

 The Unz Review, Kevin Barrett

Original :  www.unz.com/kbarrett/9-11-and-jeffrey-epstein-media-malfeasance-on-steroids/

Traduction  Petrus Lombard

 reseauinternational.net

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