Malgré de vives critiques et plaintes d'organisations environnementales, Donald Trump a maintenu et renforcé les effets du changement climatique. Nous sommes, il est difficile de ne pas le voir, devant l'Etat le plus puissant du monde qui est devenu un véritable voyou et dont la capacité de destruction et de répression sur le reste du monde frise la folie. On regarde avec inquiétude le cirque des élections américaines et tout à coup on découvre que notre pays, la France n'a pas une image plus favorable dans un monde qui supporte de moins en moins ces gens-là. Je ne suis pas une admiratrice inconditionnelle de la petite Greta mais il y avait quelque chose de symbolique entre cet être fragile et la violence inculte, vulgaire de Trump. Cuba aujourd'hui étranglé par les mêmes Etats-Unis nous envoie ce reportage dans lequel chacun comprendra que l'île héroïque et dont le bilan écologique est un des meilleurs de la planète s'identifie à cette fragile silhouette (note et traduction de Danielle Bleitrach).
Auteur: Digital Writing | internetgranma.cu
21 janvier 2020 12:01:26
Malgré de vives critiques et plaintes d'organisations environnementales, le président des États-Unis, Donald Trump, a maintenu et renforcé ses négations sur les effets du changement climatique.
Lors de son discours au Forum économique mondial, le président a appelé à prioriser le développement et à rejeter « les prophètes de la destruction qui prédisent l'apocalypse », une position condamnée à plusieurs reprises par des militants du monde entier.
Les déclarations de Trump ont eu lieu peu de temps après le discours de la jeune suédoise Greta Thunberg, qui a accusé les dirigeants politiques de ne rien faire pour empêcher le réchauffement climatique et placer l'économie au-dessus de la transition écologique.
Thunberg a plaidé pour l'élimination des émissions de carbone dans son intégralité et a souligné la nécessité de se conformer à l'Accord de Paris de 2015.
Le 4 novembre 2019, l'administration Trump a officiellement notifié à l'Organisation des Nations Unies qu'elle retirerait les États-Unis de l'accord, une sortie qui pourrait se matérialiser cette année et qui va à l'encontre des recommandations de la communauté scientifique internationale.
Depuis 195 pays ont approuvé ce mécanisme pour s'engager à réduire les émissions de gaz à effet de serre et à aider les pays en développement à faire face aux effets du changement climatique, seuls les États-Unis ont menacé de l'abandonner.
(Tiré de Prensa Latina)