Erno RENONCOURT
Un vaccin, qui "vectorise des nanoparticules, lesquelles ionisent un champ électromagnétique sensible au milliardième de mètre près, pour activer le Système immunitaire adaptatif par des ARN messagers" a un résonance suspecte. En ce temps d'expérimentation de la 5 G, cela évoque vraisemblablement l'idée d'une porte dérobée, installée comme protocole d'échange pour des desseins sanitaires peu transparents. Rien de conspirationniste dans ce message, juste un appel de bon sens pour se poser des questions de haute pertinence et se rendre à l'évidence de la vraisemblance en absence de transparence. Tachez de ne pas oublier que cette tribune n'est qu'une invitation à faire preuve de bon sens. N'y voyez aucun air de haine envers la 5 G, malgré la résonance suspecte avec les ARN messagers, en cette ère où nanotechnologie est synonyme d'échange à haute vitesse !
De la reliance et du bon sens
La crise sanitaire provoquée par le Coronavirus permet de confirmer deux postulats qui rendent pertinente la théorie de l'indigence pour tous. Le premier suggère que la médiatisation de la pensée utilitaire et simpliste conduit à une massification de l'esprit qui rend improbable la mise en route du moindre bon sens pour le fonctionnement de l'appareil de la raison. C'est le postulat de la Mémoire Hackée qui sous-tend l'activation d'un enfumage médiatique et culturel atrophiant l'intelligence. Le second, comme corollaire du premier, affirme qu'il est de plus en plus improbable que la gouvernance politique et l'autorité scientifique mondiale mettent en œuvre un processus décisionnel intelligent en tenant compte des dimensions harmonieuses d'une reliance entre la nature, le vivant et l'économie. C'est le postulat de la conscience effondrée qui sous-tend la mise sous tutelle de la gouvernance publique et de l'autorité de la recherche scientifique par la gouvernance d'entreprise.
L'axiomatique, qui est formée par ces deux postulats, laisse deviner en filigrane l'énoncé de la théorie de l'indigence pour tous : dans une économie mondiale qui fait du profit et de la croissance, quoi qu'il en coûte, ses objectifs stratégiques, il est illusoire de croire qu'il puisse exister, à l'échelle de la planète, une gouvernance politique mettant l'humain, le vivant et la nature au centre de ses décisions. L'évidence de cette indigence se manifeste chaque fois qu'il y a exigence de faire un choix au bout duquel l'humain, le vivant et la nature doivent être priorisés dans les algorithmes de l'économie de marché. Ainsi, la défaillance sanitaire, révélée par le Coronavirus, n'a rien d'une contingence. C'est une indigence qui s'inscrit dans une cohérence stratégique où tout s'aligne sur la logique du marché et du profit pour une minorité.
Comment alors espérer, comme le souhaite la pensée complexe, faire preuve de reliance dans un monde qui est incapable même du moindre bon sens ? C'est ce que nous allons montrer avec la campagne euphorique pour la vaccination orchestrée par les médias alors même que des indices concordants appellent à la prudence.
Le messager Viral
En effet, le vaccin Pfizer/BioNTech à ARN messager, qui est censé protéger, contre le coronavirus, ceux et celles qui en auront accès, induit un climat d'incertitudes qui offre des indicateurs de cette absence de bon sens régnant sur la planète. Précisons que, par absence de bon sens, nous entendons toute impossibilité à en faire usage, que ce soit par déficience naturelle ou indigence assumée.
Voici le premier indicateur de ce déni de bon sens : tandis que le président français, au cours d'une interview accordée à la chaine Brut, admet qu'il ne croit pas « à la vaccination obligatoire pour la raison évidente qu'on ne sait pas tout sur ce vaccin comme on ne sait pas tout sur ce virus (1) », les grands médias occidentaux, notamment français, continuent de plébisciter l'efficacité du vaccin Pfizer comme la solution finale contre le coronavirus. Le bon sens aurait pourtant voulu que les doutes émis, par la plus haute autorité politique française, sur un sujet d'un si grand enjeu sanitaire, incitent à la réflexion et calment les ardeurs des médias et des publicistes qui font campagne pour ce vaccin. D'autant que d'autres médias commencent par émettre des inquiétudes quant aux possibles mutations que ce vaccin peut induire, notamment par l'effet de cette innovation technologique appelée ARN messager.
C'est ce que laisse croire, en tout cas, cette dépêche de l'express (2) qui évoque un scénario inquiétant de virus mutants. Or étrangement, sur les grands plateaux de télévision et dans les colonnes des grands médias mondiaux, on ne voit pas se bousculer grand monde pour postuler un probable lien, dans l'intervalle temporelle du mois de décembre, entre le lancement de la campagne de vaccination en Angleterre et les nombreuses variantes qui sont recensées dans ce pays et aussi ailleurs. Variantes qui se retrouvent en France (3) depuis peu. Pourtant, sur ces mêmes plateaux, dans ces mêmes colonnes, c'est la ruée des chiens de garde du système pour dénoncer, comme une pensée conspirationniste, comme une vilaine intoxication, tout questionnement que le bon sens pourrait suggérer sur la contagion elle-même et sur l'empressement des grands laboratoires pharmaceutiques à industrialiser en série la production des vaccins pour sa prévention.
Cette campagne de désintoxication, conduite parallèlement à la campagne pour la vaccination, est si bien orchestrée qu'il devient périlleux de formuler, par prudence, la moindre question sur ce vaccin. Penser dans le doute et la critique devient un luxe. Que dis-je ! une hérésie dont on cherche à tout prix à se débarrasser pour assurer sa survie. Car, dans ce monde où domine la pensée utilitaire, si on ne se fait encore pas bruler vif sur le bûcher, comme au temps de l'inquisition, mais, quand on ose penser différemment et à contre-courant de la pensée simpliste, on peut toujours :
Soit se faire tuer (Julio Valdivia, Mexique),
Soit se faire emprisonner (comme Julian Assange, Angleterre),
Soit se retrouver apatride (comme Edouard Snowden, EU) ;
Soit se retrouver professionnellement blacklisté ou persécuté (comme Christian Perronne, France).
Et l'on devine aisément, l'immense risque que représente l'acte de « penser à côté » dans un shitole comme Haïti. Là où la vie n'a aucune valeur, il n'est point besoin d'avoir une opinion pour se faire kidnapper, lyncher et jeter sur les ordures, pour être dévoré par des chiens affamés. Et fait plus terrifiant, témoignant de l'ampleur de l'indigence dans cette zone de non humanité, en Haïti, les crimes les plus crapuleux se font ouvertement par des gangs qui œuvrent publiquement pour des autorités politiques, économiques et judiciaires. Autorités dont l'impunité manifeste conforte leur irresponsabilité par la toute-puissance de la protection qu'elles reçoivent des diplomates étrangers qui, pourtant, ne jurent que par la démocratie et les droits humains. Ce qui tend à ajouter, au déni du bon sens régnant, une culture de l'ambivalence donnant, à l'impensé résultant, les marques d'une véritable fabrique d'impostures.
Ainsi, du Nord au Sud, de l'Est à l'Ouest, émerge un monde déshumanisant dont l'impensé engendré par le saint profit résonne comme une prière de l'angélus qui doit nous abrutir pour que nous soyons à portée de la déchéance imminente promise par l'indigence.
Comme second indicateur du règne du déni de bon sens, les médias occidentaux et européens continuent de vanter l'efficacité quasi certaine d'un vaccin pour lequel, un autre média français, très loin de la sphère conspirationniste, insinue clairement son potentiel de danger. Car, en se demandant (4) « quels sont les dangers que peuvent causer les mutations des traitements et des vaccins contre le Sars-CoV-2 ? », le bon sens autorise à voir la certitude d'un risque qui contredit la performance tant vantée pour ces vaccins. D'autant qu'une nouvelle souche plus infectieuse (5) du coronavirus semble en circulation et que le monde se prépare à subir une troisième vague qui devrait logiquement déboucher sur un nouveau confinement.
Comment, dans ces conditions, sans manque de bon sens assumé, des gens pourraient-ils se porter volontaires pour prétendument se protéger contre un virus dont « on ne sait pas grand-chose », au moyen d'un vaccin sur lequel « on ne sait pas grand-chose » ? Comment un vaccin peut-il être efficace pour prévenir une contagion si on ne sait pas grand-chose sur le virus qui propage la contagion ?
Immunité Hackée, Humanité Augmentée
Est-ce à dire qu'il y a des enjeux économiques et technologiques planétaires sous-jacents qui donnent à ce vaccin un caractère éminemment géostratégique le rendant incontournable ? Cela semble manifestement être le cas, puisque, parallèlement, commencent à s'élever des voix autorisées pour exiger la délivrance d'un passeport sanitaire (6) en contrepartie d'accès à des services qui seraient autrement interdits. Ce qui laisse supposer que tôt ou tard ce vaccin s'imposera comme obligatoire.
Ce qui explique la dynamique médiatique en œuvre pour ce vaccin. Puisque, le troupeau a été bien tondu, il faut à présent marquer les brebis, une par une, pour mieux les avoir à l'œil, à toutes fins reconnaissables et communicables. Bien entendu, comme le risque existe, précaution oblige, on commence par les plus vieux, les inactifs et les mourants. On retrouve donc en première ligne de mire, toute la population qui n'apporte aucun profit à l'économie, bien au contraire. Mais, là encore, cela ne trouble point le bon sens commun de l'opinion médiatique dominante. Ce qui nus donne un troisième indicateur de l'absence de bon sens. Car, si le vaccin ne guérit pas de la contagion, mais doit empêcher de l'attraper, et puisque l'objectif final est de ne plus être contraint de mettre en confinement la population et, ainsi, d'être amené à freiner la croissance par l'arrêt de l'économie, le bon sens suggère de commencer par protéger massivement la population active. N'est-ce pas la population active qui doit être disponible, donc protégée, pour faire tourner l'économie mondiale ? Pourquoi alors choisir de commencer la vaccination par ceux qui sont inactifs ? alors même que les perspectives d'une troisième vague sont imminentes avec en plus l'aggravation des cas mutants. Or qui dit troisième vague et cas mutants, dit mesure plus drastique de confinement. Ce qui induit une forte probabilité de mise à l'arrêt de l'économie que la vaccination des personnes âgées et inactives ne pourra pas empêcher.
La population mourante serait-elle au vrai une population de cobayes ? Aurait-on oublié que des voix politiques (7) s'étaient déjà exprimées ouvertement, dès la première vague du Coronavirus en mars 2020, pour exiger le sacrifice des vieux afin de protéger l'économie ? Évidemment, la bien-pensance simpliste objectera que cette opinion était celle minoritaire d'un gouverneur républicain du Texas profond. Quoi qu'il en soit, à bien réfléchir, il y a quelque chose de douteux tant dans la gestion du coronavirus que dans sa perspective de traitement par ce fameux vaccin ARN messager.
Si tel n'est pas le cas, pourquoi mobiliser des légions de publicistes, d'analystes, d'éditorialistes et de journalistes, comme experts de la désintoxication, pour faire croire que c'est du complotisme de penser que le vaccin, qui sera inoculé aux cobayes, pardon, à ceux qu'on veut protéger, peut être un potentiel capteur qui sera injecté dans l'organisme humain à des fins de traçage ? D'ailleurs le Vaccin Pfizer/BioNTech n'utilise-t-il pas bel et bien des nanoparticules ? Si oui, pourquoi prétendre qu'il n'y ait aucun risque de détournement de cette technologie vaccinale à des fins non avouables ? Les nanoparticules ne servent-elles pas à des fins de transmission et de communication ? Le vaccin n'est-il pas conçu comme étant un messager ? Que sait-on sur les protocoles d'échange qui seront mis en œuvre ? Pourquoi alors écarter le risque que l'ARN Messager, avec ses nanoparticules activées, puisse être, à l'ère de la 5 G, une potentielle porte dérobée pour disséminer des implants électroniques dans l'organisme humain ? Un vaccin qui libère une protéine encapsulée devant venir chatouiller le système immunitaire(8) n'est-il pas à haut risque sanitaire ? Ce risque n'est-il pas suffisamment grand pour que l'humanité se sente en danger ? notamment au regard des budgets militaires de la planète qui sont en moyenne 100 fois supérieurs aux budgets de la santé.
Notez bien que je ne répands aucune idée conspirationniste, bien au contraire, j'invite, au nom du bon sens, à réfléchir sur la base des messages qui sont officiellement véhiculés et qui contiennent des biais appelant à la prudence. D'ailleurs depuis 2018, et peut être bien avant, « des chercheurs du MIT ont développé un système de transmission sans fil qui permet d'alimenter et de communiquer avec des implants ou des médicaments électroniques dans le corps humain » (9). Ainsi, incidemment, le coronavirus semble offrir un champ d'expérimentation à grande échelle pour tester l'efficacité de ces vaccins à ARN Messager qu'on veut nous faire croire être le résultat d'une accélération technologique, alors qu'ils se situeraient objectivement dans le prolongement d'une technologie sans fil, disponible depuis longtemps, pour alimenter des implants.
Vraisemblance et bon sens pour traquer l'indigence
Oui dira-t-on, mais il n'y a rien d'anormal, puisqu'il s'agit uniquement d'implants médicamenteux. Et nous voilà, en plein dans la massification. Car, le risque avec ces vaccins, ce n'est pas tant les mutations génétiques qu'ils induiraient, mais les manipulations et les déviances qui peuvent en résulter. Imaginez le désastre, si cette technologie, qui peut, par « vaccin ARNm interposé, activer le système immunitaire adaptatif, au moyen d'ARN messagers, en libérant dans l'organisme humain une protéine encapsulée dans des nanoparticules... », tombe aux mains de pirates, ennemis du genre humain ! Alors, bonjour les bugs sanitaires, les « hackages » immunitaires et les cyborgs réfractaires ! Bonjour l'indigence totalitaire au service de l'antihumanisme primaire du capitalisme planétaire.
Voilà de quoi inciter, sans arrière-pensée conspirationniste, à faire travailler son bon sens pour identifier les mots porteurs de sens dans ce Vaccin Pfizer/BioNTech. Car, objectivement, il est question de vectoriser des nanoparticules, sensibles au milliardième de mètre près, pour activer le Système immunitaire adaptatif par des ARN messagers. Pourquoi cela évoque tant l'idée d'une porte dérobée installée comme protocole d'échange ultra rapide et ultra efficace ?
Quoi qu'il en soit, le gros bon sens suggère à tout un chacun de se poser quelques petites questions avant de se porter cobaye. Puisque la définition même du vaccin à ARN messager suppose l'activation de champ de transmission électromagnétique dans le corps, exigeons qu'on nous dise : De qui ces ARN messagers reçoivent-ils leurs messages ? Et quelles réponses envoient-t-ils ? À qui ? À quelle fréquence ? Dans quel but ? Sur quels serveurs seront stockés ces messages ? Qui les protège ?
Comme dit l'adage, en période de contagion et d'effondrement de la conscience, il n'y a que deux gestes barrières sûrs : le savon et le bon sens ! Car si la défiance règne, ce n'est pas par goût pour le conspirationnisme, c'est par manque de transparence et par propagation de l'indigence. A l'évidence, faute de vrai, le bon sens suggère toujours de prendre le vraisemblable. Et très vraisemblablement, pour paraphraser le président français, ce virus et ce vaccin ressemblent à de véritables arnaques.
Tachez de ne pas oublier que cette tribune n'est qu'une invitation à faire preuve de bon sens. N'y voyez aucun air de haine envers la 5 G, malgré la résonance suspecte avec les ARN messagers, en cette ère où nanotechnologie est synonyme d'échange à haute vitesse !
(1) brut.media
(2) lexpress.fr
(4) lexpress.fr
(6) lefigaro.fr
(7) ladepeche.fr,8816325.php