par Candice Vacle.
Antonio Guterres, secrétaire général de l'ONU, dans son discours annuel devant le Conseil des Droits de l'Homme du 22 février 2021, dit :
« Brandissant la "pandémie" comme prétexte, les autorités de certains pays ont pris des mesures de sécurité sévères et des mesures d'urgence pour réprimer les voix dissonantes, abolir les libertés les plus fondamentales, faire taire les médias indépendants et entraver le travail des ONG ».
Il ajoute :
« Des défenseurs des droits humains, des journalistes, des avocats, des militants et même des professionnels de la santé ont fait l'objet d'arrestations, de poursuites et de mesures d'intimidation et de surveillance pour avoir critiqué les mesures - ou le manque de mesures - prises pour faire face à la "pandémie" ».
« L'accès à des informations vitales a parfois été entravé, tandis que la désinformation mortelle a été amplifiée, y compris par quelques dirigeants ».
- source : « La pandémie, un « prétexte » pour certains États en vue de réprimer, s'inquiète l'ONU », Le Figaro, le 22/02/2021