25/02/2021 reseauinternational.net  6min #186060

Des pervers narcissiques au pouvoir ?

par Jacques Henry.

L'une des caractéristiques des pervers narcissiques est de mentir et de considérer que leurs mensonges reflètent la vérité. Le nid de pervers narcissiques le plus emblématique dans le monde est l'IPCC, un organisme international qui accumule mensonges après mensonges car ce processus est sans fin. Neil Ferguson fait partie de cette catégorie d'individus dangereux. Jamais il ne s'abaissera à reconnaître que ses prédictions relatives à la « pandémie » de SARS-CoV-2 étaient une imposture mathématique. Son modèle comportait plus de 900 paramètres tous interdépendants. Demandez à un mathématicien de traiter un tel modèle : c'est tout simplement impossible au delà de 6 variables interdépendantes. L'exemple de la mécanique céleste en est une démonstration évidente. Le fameux problème des trois corps célestes posé par Poincaré (le mathématicien et non pas le politicien) n'a jamais été résolu. Ce ne sont que des calculs par itération qui ont permis de prédire le mouvement des planètes et non pas des équations. La frustration des mathématiciens est toujours là... Quand Ferguson a simulé l'encéphalite spongiforme bovine, la « vache folle », il s'est complètement trompé. Il a réitéré ses mensonges avec le coronavirus en prédisant des millions de morts en Europe occidentale et ces mensonges ont été vérifiés par l'expérience. Neil Ferguson est un pervers narcissique, il a menti et il continuera à mentir.

Les mensonges, on pourrait dire les fantasmes mathématiques, de Ferguson ont malheureusement provoqué des réactions parmi les décideurs politiques européens qui sont lourdes de conséquences. Ces derniers ont été pris de panique, comme cela leur était arrivé pour la « vache folle », et ils ont décidé de mesures moyenâgeuses contraires aux principes élémentaires du respect des droits des citoyens induisant par voie de conséquence une ruine de l'économie de la plupart des pays d'Europe occidentale. En effet, tous les gouvernements européens ont suivi les injonctions mensongères de Ferguson. Les chefs de gouvernement des pays européens, présidents du Conseils, leaders d'une majorité ou d'une coalition politique, parfois président de république, ont suivi les conseils de Ferguson et d'autres prospectivistes auto-proclamés et se sont enferrés dans des décisions qui ont révélé leur propre nature de pervers narcissiques, pratiquant le mensonge systématique comme règle basique de gouvernance, et se sont enlisé dans un tourbillon mouvant de décisions le plus souvent contradictoire et sans aucun fondement scientifique pour tenter, sans illusion, de juguler la pandémie coronavirale tout en déstabilisant l'opinion des citoyens dont ils ont la charge. Fatalement leurs errements décisionnels ont désorienté les populations qui, au fil des semaines et des mois, ont perdu tout repère rationnel, devenus comme un troupeau de moutons poussé dans les alpages par des chiens de berger devenus fous et précipité, selon leur perception, dans le danger permanent du saut vers le précipice.

C'est là où la plupart des populations européennes se trouvent aujourd'hui. La pandémie, dont la létalité a été amplifiée à l'extrême sans aucune mesure avec la réalité, a été perçue par les peuples comme quelque chose de fatal, d'inévitable, La propagande médiatique a fait admirablement son travail, et pour cause, tous les médias, dans tous les pays d'Europe occidentale, sont contrôlés par les gouvernements ou des individualités privées intimes des gouvernements. La situation est pliée. Les mensonges réitérés des dirigeants politiques sont devenus une réalité à laquelle il faut croire sans plus se poser la moindre question. Il est frappant de constater qu'il en est exactement de même pour la problématique climatique : un mensonge devenu réalité de laquelle il est devenu impossible d'échapper. Les peuples, assénés depuis des mois de coups de massues mensongères soigneusement relayés par les médias aux ordres des pouvoirs politiques, sont devenus progressivement décérébrés, incapables de réagir, ayant acquis une sorte de peur de la mort devenue avec le coronavirus une réalité.

Comme si la mort était devenue, par magie, par un mensonge, un événement de la vie qui pouvait être évité. Comme si le virus allait tuer des millions de personnes selon Neil Ferguson alors que la simple constatation de l'évolution de la démographie de tous les pays d'Europe occidentale converge vers le fait qu'elle est vieillissante et que fatalement la mortalité va augmenter alors que l'espérance de vie a atteint son maximum. Un autre mensonge des dirigeants politiques entourés de tout un essaim de conseillers vendus aux intérêts du gigantesque pouvoir financier des industriels de la pharmacie est de tout faire pour dissimuler cette alliance contre nature d'un pouvoir censé protéger les citoyens avec des puissances industrielles qui ne se soucient pas de ces mêmes citoyens une seule minute et n'ont qu'une seule préoccupation, réaliser des profits. Tous ces conseillers ont menti et continueront à mentir, du moins à dissimuler leurs prises d'intérêts dans tel ou tel laboratoire pharmaceutique.

Faut-il admettre que tous les pays européens sont gouvernés par des narcissiques pervers ou que devenir dirigeant politique rend ces personnalités des pervers narcissiques, on peut se poser la question. En ce qui concerne Neil Ferguson, il faudra que cet individu soit condamné pour crime organisé, il faudra que tous les dirigeants politiques ayant aveuglément suivi les affirmations mensongères de Ferguson soient également poursuivis pour crime organisé et enfin que les médias soient poursuivis pour complicité de crime organisé. Je ne parle même pas des privations de liberté individuelle contraires aux lois des États et de la constitution européenne. Par conséquent les décideurs politiques dans leur ensemble devront rendre compte par devant les cours de justice de leurs crimes, pas vraiment en ce qui concerne les « morts du covid » qui tous sans exception n'avaient qu'une espérance de vie limitée à quelques mois avec une moyenne d'âge de plus de 82 ans, mais pour toutes les victimes de leur paranoïa de pervers narcissiques ayant conduit à une ruine des économies. Et puisque la crise économique est maintenant là, nous les moutons dociles, prostrés et attendant de vivre dans l'incertitude « de l'après », nous allons tous nous faire tondre car crise il y a et qu'il faut, qu'il est urgent, de mettre la main dans le porte-monnaie. Pire encore, à défaut de mourir du virus, nous allons mourir de dépression, de désintérêt total, c'est un peu ce que je ressens aujourd'hui. Il ne faut pas se faire d'illusion, le « Great reset », la grande remise à zéro, le monde d'après que tous ces menteurs nous promettent sera un monde de désillusion et de misère, de moutons tondus... qui n'auront plus la force de bêler. Merci à tous les pervers narcissiques qui gouvernent les pays européens !

source :  jacqueshenry.wordpress.com

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