par Strategika 51.
Comme trop souvent, on nous a encore menti sur le libre choix de se faire vacciner contre le Sars-nCov-2 ou pas. Au Qatar, tout est fait pour que les gens qui choisissent de ne pas se faire vacciner vivent une exclusion qui ne dit pas son nom. En Israël, c'est pire : une loi oblige les pouvoirs publics à recenser les personnes qui ont choisi de ne pas se faire vacciner. En d'autres termes, des personnes en bonne santé, ayant pour une raison légitime ou une autre, refusé l'un des vaccins des Big Pharma, seront fichés comme des terroristes. Et ce n'est qu'un début.
En Grande-Bretagne, des voix s'élèvent en faveur de ce que l'on appelle le « passeport vaccinal » et des législateurs veulent aller vite en besogne dans ce but. Les application dites Anti-Covid, de vrais outils de traçage des relations et interactions sociales des individus, peuvent contenir un code-barre ou tout autre marqueur visuel prouvant une éventuelle vaccination. Ce n'est pas le début d'une discrimination non annoncée. C'est de la discrimination.
D'autres pays et il ne s'agit pas d'une poignée, suivent le mouvement. Ce dernier semble bien trop synchronisé pour qu'il ne soit pas le résultat d'une campagne centralisée et coordonnée. Au niveau supra-étatique, cela implique aussi bien une influence stratégique que géopolitique. Et c'est là que réside l'un des principaux enjeux de cette guéguerre de vaccins dont les lignes de clivages s'alignent curieusement sur les lignes de confrontation de la guerre froide 2.0 opposant l'Empire d'un côté, et le tandem Chine-Russie de l'autre. Cependant tous jouent le jeu et s'appliquent à façonner le monde étrange qui s'annonce.
Petit bémol, les statistiques nationales concernant les campagnes de vaccination contre la grippe (on oublie qu'elle a disparu depuis l'opération Covid-19) ou plutôt ce drôle de vecteur qui y ressemble, sont fausses et reflètent plus une politique du chiffre (ou du rendement car c'est une question de gros sous aussi) qu'une quelconque volonté de vacciner jusqu'au dernier des bipèdes attachés à leurs smartphones. Mais des esprits mal lunés y croient dur comme fer et à les suivre, l'humanité sera divisée entre deux catégories distinctes : ceux qui se sont fait vacciner et ceux qui ne sont pas fait vacciner. Ces derniers seront les nouveaux exclus du monde qui s'annonce. Ou peut-être la dernière chance de l'humanité. On le saura dans un laps de temps suffisant pour s'en convaincre.
On a eu la spécialisation par le travail. On est en train d'avoir la distinction par le type de substance biologique patentée et homologuée par les autorités dans le corps. Et possiblement dans le génome. Doit-on applaudir à cela ? Assurément non. Quelque part, si on a réussi à museler, au sens littéral, des populations entières, pourquoi pas les faire vacciner par un moyen de coercition à peine caché ? C'est la tendance lourde que l'on est en train d'observer.
La peur est un puissant outil de gestion et de contrôle social. Des variantes d'un virus, il y en aura toujours. Un gros potentiel d'investissement dans le business de la peur. C'est bien mieux que la guerre sans fin contre un ennemi fictif.
Ils veulent nous imposer par le mensonge et la ruse quelque chose que l'on aurait jamais accepté il y très peu de temps. On l'aurait accepté volontiers (certains d'entre-nous ont rien à perdre ou ont la vie derrière eux après tout) s'il n'y a pas cette censure lourde de tout avis divergent sur la question venant des élites et des appareils de propagande de l'État dit profond. Cela signifie qu'ils ont des choses à cacher ou à se reprocher. Qu'il y a forcément une machination ou complot. Y croire est passible d'une accusation de complotisme. C'est comme ça que naissent les complots par le complot. Autant dire que tout cela est de mauvaise augure, car la vaccination ne va pas mettre fin aux politiques de confinement et aux restrictions que beaucoup de gouvernements veulent maintenir à des fins peu avouables et fort souvent pragmatiques.
Quel monde de fous !
source : strategika51.org