10/07/2021 francesoir.fr  15 min #191967

Rien à craindre du variant Delta : il donne le rhume, curable par traitements précoces

Pixabay TRIBUNE - Non, les pseudovaccins expérimentaux actuels ne protègent pas des variants Delta, ou X, Y... Depuis quelques semaines, le manque de volontaires à la vaccination inquiète nos autorités. Pour la relancer leurs principaux arguments en faveur de celle-ci vont du chantage brutal (sans vaccin pas de liberté), à l'altruisme (faites-vous vacciner pour les autres) ou la peur injustifiée du variant delta (le seul moyen d'éviter la prochaine vague au variant delta est d'être tous vaccinés) et même la corruption via un chèque de 100 €... Tous ces arguments sont mensongers car les pseudo-vaccins actuels sont incapables de protéger celui qui les reçoit contre le variant delta, ni d'empêcher ni la transmission aux proches, ni la diffusion du variant delta dans la population, comme le prouvent les échecs patents de la vaccination en Israël et en Grande-Bretagne. L'échec des injections géniques en essai, Astra Zeneca et autres en Grande-Bretagne Depuis le début des injections en Grande-Bretagne, nous avons souligné le caractère totalement expérimental de la campagne organisée par le gouvernement anglais. Sept mois après le début des injections, au 28 juin 2021, un total de 77 038 257 doses de « vaccin », essentiellement des Astra Zeneca, avait été administré. Le bilan de cette campagne est catastrophique. Pendant les 4 mois qui ont suivi la vaccination les nombres de contaminés et de morts ont plus que doublé établissant au passage les records mensuels de contaminations et de mortalité depuis le début de l'épidémie dans ce pays. L'injection génique se révèle non seulement inefficace, mais même délétère car la mortalité est trois fois plus élevée chez les vaccinés que chez les non vaccinés. Et depuis presque deux mois, le variant delta se propage de manière exponentielle dans la population malgré une couverture vaccinale record. L'échec de l'injection expérimentale Pfizer en Israël Israël est le champion de l'injection expérimentale Pfizer pour laquelle le gouvernement a accepté de payer un prix majoré et de fournir les données sanitaires de sa population au fabricant. Il a aussi utilisé une propagande mensongère, une censure féroce des opposants et des moyens de coercition majeurs (confinement, pass sanitaire) pour l'imposer. Là aussi la campagne de « vaccination » a été suivie d'une explosion de contaminations et de morts pendant deux mois avec au total plus du doublement du nombre global de cas et de morts et, de plus des complications cardiaques chez les enfants vaccinés alors qu'ils n'avaient rien à craindre du Covid. Et depuis début juin Israël, malgré son taux record de vaccinés, doit faire face à une poussée épidémique à variant delta démontrant que l'injection Pfizer ne protège pas contre ce variant. Actuellement, aucune étude scientifique publiée n'apporte le moindre argument en faveur d'une trace d'efficacité des pseudo-vaccins actuels contre les variants et en particulier le variant delta. L'examen de l'évolution de l'épidémie chez les champions de la vaccination démontre que les pseudo-vaccins actuels sont inefficaces sur le variant delta. Alors pourquoi le gouvernement et les médias répètent-ils la propagande mensongère des communiqués publicitaires des marchands ? Le chantage aux libertés Comme tous les racketteurs dans l'Histoire, les pro-vaccins utilisent la menace en promettant une protection si on paie une rançon (ici l'injection expérimentale). « Vous ne retrouverez vos libertés que si vous acceptez le vaccin ». Mais cette promesse n'engage que ceux qui y croient et n'est jamais tenue. Ainsi les footballeurs qui se sont fait vacciner restent astreints à toutes les mesures pseudo-sanitaires inutiles. Ainsi les athlètes vaccinés  pourraient subir des sanctions financières ou être expulsés des JO de Tokyo s'ils enfreignent les mesures anti-Covid, notamment les tests quotidiens et le port du masque, ont averti récemment les organisateurs, en dévoilant des règles actualisées à 37 jours des Jeux. Ainsi un pensionnaire d'Ehpad qui avait cru la promesse des racketteurs au vaccin et s'était fait vacciner pour retrouver sa liberté a dû déchanter et s'est retrouvé comme avant l'injection,  privé de ses libertés par une ordonnance du Conseil d'état sur les conseils du ministre Véran. On ne doit jamais céder au chantage et encore moins si celui-ci porte sur nos droits fondamentaux. La liberté ne se monnaie pas, elle s'arrache aux tyrans. Depuis Caligula, Néron, Vitellius et Galère (empereurs romains), Charles 1er Tudor, Louis XVI, Ceausescu, Kadhafi l'ont appris à leurs dépens. Les Américains ont manifesté contre les confinements et autres prétendues mesures sanitaires, jusqu'à leur abandon dans les États où ils ont été suffisamment nombreux. La Floride vit libre par exemple depuis des mois. Boris Johnson qui exerçait le même chantage sur sa population a dû lever ses restrictions après des manifestations dont l'une rassemblait un million de manifestants pacifiques à Londres le 29 juin. Si nous voulons retrouver nos libertés, il faudra vraisemblablement suivre ces exemples. L'altruisme dévoyé Ne pouvant convaincre la population (et en particulier les moins de 50 ans) que les injections expérimentales pourraient lui apporter le moindre bénéfice personnel, le gouvernement s'appuie sur notre altruisme pour nous faire accepter ces traitements expérimentaux « pour protéger les autres ». Mais il ment, car les vaccinés peuvent tout autant transmettre la maladie, l'attraper et même faire des formes graves. Les exemples cliniques en sont innombrables et ce risque de transmission par les vaccinés a même été  reconnu par  O. Véran dans le plaidoyer écrit au Conseil d'Etat : « le vaccin n'empêche pas de transmettre le virus aux tiers. »

Être vacciné ne protège donc pas les autres et faire appel à l'altruisme pour promouvoir la vaccination constitue une escroquerie.
La panique créée par le variant delta est totalement injustifiée Certes, le variant delta va se propager en France comme ailleurs, mais c'est une chance car ce variant est beaucoup moins dangereux que les précédents qu'il supplante. C'est ce que montre l'évolution de la mortalité quotidienne en Grande-Bretagne depuis que le variant delta prédomine. Même constatation heureuse en Israël : le variant delta est moins mortifère que le précédent. Un variant très contagieux mais peu grave et sensible aux traitements précoces Alors sur quel élément du monde réel se base le ministère de la Santé pour tenter de recréer la panique ? Le variant delta se comporte le plus souvent comme un rhume des foins. Grâce à cela, l'incapacité totale de la vaccination à empêcher la récidive de l'épidémie ne devrait pas causer une recrudescence de la mortalité d'autant qu'en cas de problème, ce variant est parfaitement sensible aux traitements par chloroquine Ivermectine comme l'a démontré l'Inde (comme tous les autres variants jusqu'à maintenant). En conclusion, l'épidémie a disparu en France comme le montre la surveillance régulière du réseau Sentinelle.  Bulletin du Réseau Sentinelles INSERM, 7 juillet 2021 : Infection respiratoire aiguë (IRA) (COVID-19, GRIPPE et autres virus respiratoires) - Activité faible en médecine générale. La surveillance des IRA a pour objectif le suivi des épidémies de COVID-19, de GRIPPE ainsi que celles dues aux autres virus respiratoires saisonniers (VRS, rhinovirus et métapneumovirus). En France métropolitaine, la semaine dernière (2021s26), taux d'incidence des cas d'infection respiratoire aiguë (IRA) vus en consultation (ou en téléconsultation) de médecine générale estimé à 33 cas pour 100 000 habitants (IC 95% [25 ; 41]). Taux stable par rapport à la semaine 2021s25 (données consolidées : 25 [20 ; 30]). Au niveau régional, les taux d'incidence les plus élevés ont été observés en : Bretagne (78 [30 ; 126]), Occitanie (65 [28 ; 102]) et Pays de la Loire (42 [1 ; 83]). Surveillance de la COVID-19 : La semaine dernière (2021s26), le taux de positivité au SARS-CoV-2 des patients consultant pour une IRA était de 0%, 6% et 0%, respectivement chez les 0-14, 15-64 et 65 ans et plus. Le taux d'incidence des cas d'IRA dus au SARS-CoV-2 (COVID-19) vus en consultation de médecine générale a été estimé 1 cas pour 100 000 habitants (IC 95% [0 ; 2]) ce qui représente 787 [297 ; 1 277] nouveaux cas de COVID-19 ayant consulté un médecin généraliste. Ce taux est stable par rapport à la semaine précédente (données consolidées pour 2021s25 : 1 [0 ; 1], soit 204 [64 ; 344] nouveaux cas d'IRA dus à la COVID-19 vus en médecine générale). Les malades sporadiques doivent recevoir les traitements précoces En cas de maladie sporadique de type Covid liée ou non au variant, il faut traiter précocement par l'association d'antibiotiques type macrolides, d'hydroxychloroquine et /ou ivermectine et adjuvants associés (zinc, vitamines C et D, anticoagulants). Cesser l'expérimentation des « injections géniques » le plus rapidement possible Il faut cesser cette « vaccination » basée sur les substances géniques en essai thérapeutique qui ne sont pas des vaccins type Pasteur, attendre les résultats des essais cliniques en cours qui seront dévoilés au mieux en 2023 et faire le point actuel sur les effets secondaires graves, et les décès en consultant directement les banques de données des agences européenne EMA sur EudraVigilance, l'agence anglaise (MHRA) et l'agence américaine FDA sur VAERS. Un moratoire s'impose.  francesoir.frlies claiming he is the true victor of the contest albeit his allegedly "obviously apparent victory" was stolen by the Biden campaign, the Democrats, the Deep State, Hugo Chavez, China, Dominion, Smartmatic, etc. In effect, the U.S. is operating - although not apparent to Democrats and Biden-Harris supporters - with dual governments, each claiming themselves as the legitimate rulers. Cognizant that the current administration will not exceed the parameters of capitalist rule, Trump delights in repeatedly attacking Biden as promoting socialistic policies, influenced by "socialist" politicians within his party like Senator Bernie Sanders, Representatives Alexandria Ocasio-Cortez, Ilhan Omar, Ayanna Pressley, Rashida Tlaib, et al., while Trump opposes whatever initiatives are being proposed as allegedly denigrating and devastating America's greatness. To counter a proto-fascist movement, one would easily understand if Biden championed the interests of the disaffected U.S. populace including racial minorities, women, and the working class by proposing legislation to erase student loan debt, declare a permanent moratorium on rent increases and evictions, provide free tuition, enact universal health care, etc., etc. Instead though, so far, most of what Biden has proposed has largely been symbolic in character, though perhaps not enough to maintain enduring support. The one element that does galvanize support for Biden is the continued existence of Trump in the political arena, though Trump's existence is also his Achilles' heel. Trump, in other words, is a cancer on the body politic and is being allowed to metastasize.

Question: Supporters of Biden hail his $1.9 trillion American Rescue plan and a forthcoming $3 trillion infrastructure plan as representing a radical overhaul of the U.S. economy in favor of working-class people. By contrast, critics from the conservative Republican side condemn Biden's plans as driving the United States into "socialism". How do you see this administration's economic policies? Are they progressive? Are they socialist?

Colin Cavell: Biden, in the manner of President Franklin D. Roosevelt, is aiming to find a way forward for U.S. capitalism in a time of crisis, though the political conditions which allowed FDR to move decisively and quickly with measures to support a majority of "the people" (mostly white citizens at the time) while maintaining capitalist rule are not present. Constricted by the managers of finance capital, it is unlikely that he will get full support from a divided Congress for his infrastructure bill, while his other major proposals remain dead on arrival unless the Democratic majority in Congress jettisons the unconstitutional filibuster, a move which Biden and a number of Democrats, so far, reject.

Question: There seems to be a general degeneration in political discourse in the United States where misconceptions and distortions are commonplace. Biden and his Democrat Party are vilified by Republicans as "far-left" and even "Marxists'. How would you define Biden's Democrat Party? What accounts for the political misconceptions rampant in the U.S.?

Colin Cavell: Political discourse in the United States remains firmly in the hands of the ruling capitalist elites; as such, there is no prominent promotion of socialist, Marxist, or communist ideas within the U.S. mainstream, whether through the media, the law, education, or popular culture, etc. Belittling, deprecating, or denigrating Democrats, the Biden-Harris administration,"liberals", etc. as socialists, communists, Marxists, far-leftists, satanic worshippers, non-Christians, etc. are old tropes utilized by capitalists and their advocates to advance political agendas and careers over the decades, albeit Trump particularly is partial to this type of demagoguery.

Question: Would you agree that such fundamental political misconceptions make it all the more problematic for resolving America's many social and economic debilitations?

Colin Cavell: For the greater part of U.S. history, ruling capitalist elites have been able to champion themselves as the leaders and defenders of a great nation spreading enlightenment, science, secularism, constitutionalism and democracy throughout the United States and the world - that is, so long as no one really critically examined the actual record. So long as white supremacy and capitalist ideology dominated U.S. culture, or, at least, those politically relevant to the maintenance of that culture, the U.S. knew no limits, expanded itself into an empire, claimed to master space itself, and, hence, provided hope to millions toiling in misery. At first gradually and then forcefully key sections of this scaffolding began to crack, crumble, and crash, especially in the areas of race, gender, and class as knowledge and consciousness of this unnatural and irremediable situation under the prevailing system of their existential condition became manifest to all.

One of the key fundamental documents of the United States is Federalist Number 10, penned by James Madison. In it, ostensibly to guard against the mischiefs and violence of faction, he lays out to the only recognized"minority"at the time - wealthy property owners - the key reasons why they should support and adopt the proposed new Constitution formulated in Philadelphia during the summer of 1787. In particular, Madison instructs:

The influence of factious leaders may kindle a flame within their particular States, but will be unable to spread a general conflagration through the other States. A religious sect may degenerate into a political faction in a part of the Confederacy; but the variety of sects dispersed over the entire face of it must secure the national councils against any danger from that source. A rage for paper money, for an abolition of debts, for an equal division of property, or for any other improper or wicked project, will be less apt to pervade the whole body of the Union than a particular member of it; in the same proportion as such a malady is more likely to taint a particular county or district, than an entire State.

To the extent ruling elites can continue to exercise control - through division, manipulation, prevarication, deception, chicanery, trickery, and other measures of sleight of hand - will U.S. capitalists be able to prevail against all challengers to its continued rule. Political maturity on the part of much of the population, however, renders them less susceptible to such mechanisms and, instead, increases their questioning of the authority of their rulers. And when it becomes apparent that the nature of the U.S. political system is that of a capitalist democracy, i.e. one that works continuously for the sole interests of the capitalist class, then the task of keeping Jack, Jill, Jamal, Jasmine, Javier, and Julieta content on the farm becomes increasingly difficult.

Question: What do you see as the greatest current social and economic problem facing the United States?

Colin Cavell: Class divisions or asymmetries in wealth and power within the U.S. are at their greatest levels since the late nineteenth century, the so-called"Gilded Age". Reconciling and containing the tensions inherent in such a social dynamic certainly should keep ruling elites up at night.

As a concomitant of these class divisions, the country as a whole lacks a unifying purpose. While capitalists are confident and hopeful for whom and at what they work to achieve, workers, in general, feel abandoned, disregarded, dispossessed, and not represented by the political system nor its two main political parties. While a country like modern China claims to rule for its working-class and can boast achievements supporting that proposition, the U.S. wages endless war against its working class by a no-longer hidden strategy of divide-and-conquer.

Question: What would you recommend as a fitting economic program that would effectively resolve the United States' current social problems?

Colin Cavell: In short, more democracy and a ruthless and critical assessment of our allegedly democratic processes, institutions, and relationships both internally and externally.

Question: And are you concerned that if the United States does not fix these problems effectively then the return of Trump will lead to even more toxic division and conflict in American society?

Colin Cavell: It is elementary, Politics 101, that two opposed supposed rulers cannot preside over the same population and territory simultaneously, just as two oppositional socioeconomic systems cannot be sustained indefinitely within a single society. Hence, so long as political authority within American society remains questionable, instability will be the order of the day.

Footnote References:

  1. Dimitrov, Georgi. August 2, 1935. "The Fascist Offensive and the Tasks of the Communist International in the Struggle of the Working Class against Fascism." The Main Report delivered at the Seventh World Congress of the Communist International.  marxists.org here
  2. Long, Huey P. 1930s. "Huey P Long on the difference between Democrats and Republicans." Huey P Long on the difference between Democrats and Republicans
  3. Gross, Bertram. 1980. Friendly Fascism: The New Face of Power in America. New York, NY: Evans and Company, Inc.  jstor.org here

 strategic-culture.org

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