12/07/2021 4 articles europalestine.com  2 min #192038

Liberté pour Khalida Jarrar ! Libération immédiate après le décès de sa fille Suha

 12 juillet 2021

Suha, la fille de Khalida Jarrar, une avocate infatigable des droits des Palestiniens, tout comme sa mère, vient de mourir dimanche à l'âge de 31 ans d'une crise cardiaque, alors que Khalida, dirigeante palestinienne parlementaire et féministe, est emprisonnée par Israël.

« Nous présentons nos condoléances à tous ceux qui ont connu, aimé et honoré Suha et exigeons la libération immédiate de sa mère Khalida Jarrar pour qu'elle soit avec sa famille en ce moment. », écrit Samidoun.

Photo de Suha alors qu »elle accueillait sa mère à sa libération de prison lors d'une précédente incarcération par Israël

« Al Haq, l'organisation palestinienne de défense des droits humains, où Suha Jarrar travaillait, a déposé un appel urgent auprès des procédures spéciales de l'ONU pour la libération immédiate de Khalida Jarrar. Nous nous joignons également à l'appel ci-dessous diffusé par de nombreux groupes et organisateurs palestiniens :

Khalida Jarrar, avocate palestinienne, dirigeante révolutionnaire et ancienne membre du Conseil législatif palestinien Khalida Jarrar doit avoir le droit d'enterrer sa fille Suha, 31 ans, dont la mort a été annoncée ce soir.
Travaillons localement et internationalement pour exercer la pression nécessaire.

Khalida est une prisonnière politique arrêtée à de nombreuses reprises parce qu'elle défend les droits des Palestiniens, incarcérée depuis près de deux ans et qui doit être libérée dans deux mois. «

Liberté pour Khalida Jarrar  !

Signez et partagez la pétition :  change.org

CAPJPO-EuroPalestine

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17/07/2021 chroniquepalestine.com  5 min #192284

Liberté pour Khalida Jarrar ! Libération immédiate après le décès de sa fille Suha

Qu'ils soient tous damnés pour leur cruauté et leur sadisme !

🇬🇧

newsnet_192284_decfc5.jpg|Khalida Jarrar lors d'un simulacre de procès devant un ainsi-nommé "tribunal" militaire israélien en 2015 - Photo: via Haaretz

Par Gideon Levy

Qu'ils aillent au diable. Maudit soit Rafael Gana, le directeur adjoint de l'administration pénitentiaire israélienne, qui a écrit au ministre de l'Intérieur : "Votre demande ne remplit pas les conditions préalables à sa prise en compte."