par Wissem.
Plus de deux ans après le début de ce que l'on pourrait designer d'opération COVID-19, l'origine du virus (de la famille des coronavirdae) constitue plus que jamais un enjeu de conflictualité stratégique entre Washington et Beijing.
La communauté du renseignement américain annonce via ses vastes relais médiatiques qu'elle a réussi à pirater les données du laboratoire chinois de Wuhan relatives au coronavirus tandis que le gouvernement chinois demande avec insistance une enquête internationale sur un incident survenu dans un laboratoire d'armes biologiques situé au Maryland et qui aurait abouti à la propagation d'une nouvelle souche du virus. Dans les deux cas, les deux plus grandes puissances mondiales reconnaissent tacitement qu'un vecteur biologique fort répandu dans la nature a été modifié par l'homme à des fins très peu naturelles.
En parallèle, le schéma des vaccins de la grippe que les laboratoires pharmaceutiques vendaient aux 193 États et territoires de la planète et que beaucoup de personnes n'ayant pas atteint un certain âge préféraient zapper chaque année au grand désespoir du Big Pharma, s'est sensiblement modifié avec l'ingénierie de la peur, galvanisée sur le modèle de la peur contre une certaine terreur sans fin que la propagande avait imposé à des opinions publiques au point d'amplifier un fait divers commis par une personne forcenée ou sous l'effet de substances psychotiques comme des Pearl Harbors bis. Désormais, la prise des injections est devenu un acte rituel contraint par la loi mais aussi par un nouveau conformisme socioculturel. Ne pas se faire inoculer la soupe chimique est sacrilège valant excommunion de jure et de facto.
À la lumière de cette infoguerre sino-américaine sur l'origine fort troublante du SARS-nCoV-2 et par conséquent ses variants dont les derniers connus, Delta et Lambda, augmentent les risques de mortalité chez les sujets relativement jeunes, peut-on encore parler de vaccins? La réponse est négative. On nous propose des injections dans le cadre d'une thériaque de guerre dont on ne sait s'ils servent d'antidote à un poison ou de catalyseur à de nouvelles pathologies. Ces injections peu coûteuses à l'unité dont on impose la commande aux pauvres États-Nations dont le concept s'effondre sous nos yeux ébahis servent aussi bien à justifier un nouvel ordre sociétal qu'une nouvelle rivalité géostratégique.
Nouvel ordre social fondé sur un système de castes d'où sont exclus les personnes qui refusent l'inoculation forcée de substances biologiques. Ce n'est que le début. Est-ce l'ultime aboutissement du totalitarisme libéral, lequel ne s'embarrasse plus des formes et ressemble de plus en plus aux caricatures construites par sa propagande des régimes qu'il fait semblant de combattre ? Les idéologues du régime tels que Francis Fukuyama qui ont applaudi à la fin de l'histoire après la fin de la Guerre froide 1.0 risquent de ne jamais répondre à cette question. Pour quelques piqûres de plus, le travail ne vous rendra pas plus libres.
Jamais la propagande n'a été aussi présente dans le quotidien des gens ordinaires. La fabrique du consentement est également celle du clivage. Pour un sujet qui semble futile, comme se faire piquer ou pas, des disputes éclatent au sein des familles ou d'amis de longue date. La manipulation et l'ingénierie sociale s'est améliorée depuis les années 30. Ajoutez à ce mélange confus un peu de passion et on aura un résultat pas très lointain des terribles dissensions sanglantes familiales survenues durant la Guerre civile espagnole (1936-1939). On l'a oublié aujourd'hui mais cette guerre fut terrible.
Les médias sont verrouillés. Ils n'informent plus, ils formatent par le matraquage répétitif jusqu'à la nausée. Dressage pavlovien des masses soumises. Le COVID-19 a bon dos. La féminisation de ce syndrome dans le monde francophone fait style rococo. II s'agit bien d'un syndrome et non d'une maladie. On aurait pu aussi bien dire « la SIDA » pour définir le syndrome du HIV mais passons. Le ridicule ne tue point. Par contre les variants tuent. Entendre la propagande seriner sur « La COVID-19 » ne manque pas d'effet comique. Piquez-vous les uns les autres et disparaissez de la surface de la Terre.
S'il n'y a pas de guerre majeure aujourd'hui, ce n'est point à cause des pseudo mécanismes de sauvegarde de la paix mis en place depuis 1945, du monde dit libre (plus enchaîné que jamais) ou de la dissuasion nucléaire. C'est à cause de l'existence de vecteurs pouvant annihiler toute défense contre des missiles hypersoniques comme le KH-95 ou encore les redoutables armes antisatellites des puissances « négationnistes » dans la nomenclature-système. Ces menaces ne sont pas permanentes en raison de la course technologique mais aussi de la fragilité du facteur humain. Les élites parient donc sur un autre massacre de masse comme ceux de 1914-1918 et 1939-1945 et à défaut une crise financière permanente. Mais celle-ci est chronique. Les États-Unis sont en banqueroute et d'autres sont submergés par le poids d'une dette dépassant leur Produit intérieur brut. Des États-Nations sont en train de s'effondrer de facto aux quatre coins du globe. Ils ne tiennent plus que par la force de l'habitude et la fausse monnaie.
Les priorités sont donc détournées ailleurs. Le passeport sanitaire en est un. Soit vous acceptez de vous faire inoculer une soupe chimique basée sur une technique encore mal connue ou bien vous serez excommunié et exclu, réduit au statut d'intouchable. C'est le libéralisme nouveau, à défaut d'exporter la liberté à coups de missiles aux peuplades éloignées, il vous somme de vous faire injecter les produits du capital sans trop savoir si c'est efficace ou pas.
« Est tenu de la loi Cornelia celui qui a tué un homme libre ou esclave ; celui qui, dans l'intention de donner la mort, a confectionné et vendu du poison ; celui qui a blessé dans l'intention de tuer ; celui qui a vendu au public des médicaments dangereux, ou en a conservé dans des intentions homicides. Est puni des peines portées par cette même loi celui qui hominem libidinis vel promercii causa castraverit. Est puni d'une peine spéciale celui qui s'est rendu complice d'un avortement » ~ Lex Cornelia de sicariis et veneficis (81 avant Jésus-Christ)
L'humain oublie tout et s'adapte à presque toutes les situations. Il refait surtout sans cesse les mêmes erreurs du passé. La guerre biologique ne date pas d'aujourd'hui. Celle que nous vivons aujourd'hui est en train de modifier notre immunité naturelle et nos structures sociales. Une dictature d'un genre nouveau est en train de s'installer. Comme toute dictature, elle aura ses opposants. Tout passe. Ne restera au fond du lit de la grande rivière du temps que les pierres tenaces.
source : strategika51.org