16/08/2021 telex.ovh  2min #193689

Climat et droit humanitaire international

Je suppose que le rapport du Giec ne mentionne pas une seconde le fait que le réchauffement climatique soit principalement dû au noyau terrestre, ce qui est cohérent avec la réponse sismique. Le fait de dire que seuls 16% de la déstabilisation du climat soit dû à l'activité humaine la pollution industrielle n'est pas faite pour aller contre les conclusions de la croyance selon laquelle elle est l'unique responsable.

Moi qui aime rire j'aime bien l'idée de tout mettre sur le dos du capitalisme et de dire que tout est de la faute de l'avidité, du système marchand, et du principe absurde de la valeur, déterminée mentalement sur la base de rien. Mais ce n'est pas la vérité dans ce cas précis.

Cela n'empêche pas que 16% c'est déjà énorme. C'est suffisant pour accentuer d'autant la boucle de renforcement du dérèglement climatique.

Je ne vois pas le problème au fait qu'il ne faille pas oublier le fait que la cause est naturelle, parce qu'au final la question est la même.

La conclusion qui est posée par la situation revient exactement à se demander comment survenir à une catastrophe naturelle. Pourquoi cette question veut-elle être éludée ?

Si on répond correctement à la croyance selon laquelle la cause du dérèglement climatique est l'activité humaine, ou à la question du devoir humanitaire en cas de catastrophe naturelle, dans les deux cas il s'agit de rationaliser nos choix collectifs.

Mais maintenant que se fait jour le plan de dépopulation à l'échelle mondiale, dans le but de sauver le système injuste, on comprend mieux pourquoi la question humanitaire a été bannie. C'est à dire que les réponses qui sont prévues ne sont pas compatibles avec un soucis humanitaire.

Si on voulait vraiment apporter une solution rationnelle, cela ne concernerait pas seulement le climat, mais surtout la pollution, la déforestation, les guerres absurdes, l'utilisation incohérente des ressources, dans le but de favoriser notre capacité de résilience, et donc de préservation des peuples en danger.

L'image de marque d'un tel projet est seulement utilisé pour un projet beaucoup plus favorable à un clan de possédants qui sont accros au pouvoir que leur confère un système injuste. C'est lui qu'ils veulent sauver. C'est pour cela qu'il est interdit de parler de "façon de réagir adéquate" en cas de catastrophe humanitaire ou naturelle. La catastrophe, c'est eux.

Et ce qui est visé par le plan est précisément le droit humanitaire international, parfaitement antinomique avec le plan de dépopulation.

 telex.ovh