09/09/2021 lilianeheldkhawam.com  8 min #194888

La protéine spike met-elle nos jeunes adolescents en danger? Le principe de précaution bafoué.

 francesoir.fr

Nos adolescents jeunes et moins jeunes sont visés par les élus politiques ainsi que par leurs partenaires de la haute finance. Une campagne de vaccination massive et systématique les cible. Or, si les risques que courent un adolescent en santé qui attrape le Covid est un rapport qui se chiffre en millionième, ceux liés aux effets secondaires post-vaccinaux se chiffrent en millièmes. Et on ne parle pas des effets non évalués, voire volontairement tus.

Si nous laissons faire, demain ce seront les bébés qui seront les victimes de cette stratégie qui semble, pour un tas de raisons, tous les jours plus dangereuse

Cette publication a pour but de présenter brièvement une circulaire britannique émanant des autorités sanitaires. On y fait le point sur les effets secondaires des vaccins sur fond de préconisations.

Le document est bien fait, mais pose une série de questions sur la pertinence de la vaccination des adolescents, surtout que à l'heure actuelle, les jeunes adolescents (12-15ans) sont dans le collimateur des industriels de la pharma et leurs acolytes politiques. Ne doutez pas que lorsque ceux-ci auront reçu leurs 2 doses, on ira chercher les 6ans, puis les 2 ans, puis les nourrissons. La méthode du saucissonnage appartient à la panoplie des ruses dont certains n'imaginent même pas l'existence.

Nous verrons que si les scientifiques britanniques sont fortement récalcitrants à autoriser la chose, il en va autrement du chef du ministère de la santé, un banquier issu de la Deutsche Bank et venant directement d'un poste à haute responsabilité au sein de la JPMorgan. Il semble décidé à faire vacciner les adolescents.

Plus près de chez nous, on m'a fait parvenir ce mail diffusé par un cadre de l'école vaudoise aux enseignants. Il y est question de faire vacciner les élèves. Le plus possible!

 communique-de-presse-ecole-vaudoise-vaccination  Télécharger

Une phrase dans ce mail m'a interpellée. Un passage m'a particulièrement interpellée. Le contrôle du timing pour communiquer l'information aux élèves. Cela donne l'impression que les parents -ou autre influence extérieure- ne sont pas les bienvenus pour participer au processus de décisions.

Et une personne de mon réseau a réagi à l'information ainsi:

Il est à se demander quelle « information pertinente » sera préalablement fournie aux adolescents concernant ces deux injections.

Il est à se demander comment ces adolescents pourront donner leur « consentement éclairé ».

Il est à se demander si ces adolescents pourront repartir avec la notice explicative qui se doit d'être fournie avec dans l'emballage dudit « vaccin ».

Il est à se demander si ces adolescents, qui pourraient déjà avoir une immunité naturelle, seront testés pour leurs anticorps idoines anti- SARS-CoV-2 avant leur première injection.

La propagande mensongère pour faire plier jeunes et moins jeunes.

Propagande, mensonges, et autre exclusion par le pass battent leur plein pour manipuler, influencer, faire peur, faire culpabiliser, mais aussi pour diviser la société. Ainsi on peut imaginer un temps où les non-vaccinés pourraient être agressés de différentes manières par des vaccinés excédés par leur résistance.

La décision semble clairement prise par le monde politique et leurs financeurs. Il faut que l'humanité dans sa totalité soit vaccinée quitte à trafiquer la réalité et les chiffres.

Nous avons découvert récemment un énième mensonge qui favorise l'atmosphère délétère décrite ci-dessus. C'est le CDC américain qui nous l'offre. Si vous êtes choqué, rassurez-vous vous n'êtes pas le seul.

Aux fins de ce guide, les personnes sont considérées comme complètement vaccinées contre le COVID-19 ≥2 semaines après avoir reçu la deuxième dose d'une série de 2 doses (Pfizer-BioNTech ou Moderna), ou ≥2 semaines après avoir reçu une seule -vaccin dose (Johnson & Johnson [J&J]/Janssen)†. Il n'y a actuellement aucune limite de temps post-vaccination pour le statut complètement vacciné. Les personnes sont considérées comme non complètement vaccinées si elles n'ont pas terminé une série de vaccination à deux doses ou n'ont pas reçu de vaccin à dose unique, quel que soit leur âge, y compris les enfants de moins de 12 ans.

interim-public-health-recommendations-for-fully-vaccinated-people-cdc Télécharger

Cela signifie que les statistiques émises par nos médias et leurs experts sont au minimum mensongères, car quand on vous donne les chiffres des non-vaccinés qui sont aux soins intensifs, on est en train de vous donner toutes les personnes non-vaccinées testées positives au Covid même si elles sont aux soins intensifs pour par exemple des raisons de cancer en phase terminale, les personnes ayant reçu une dose de vaccins, et les vaccinés avec 2 doses mais depuis moins de 2 semaines. Cela en fait des opportunités qui faussent les chiffres!

Voici une autre image qui nous vient de Charly Pasche. Elle confirme les définitions américaines:

 radiolibre.ch

Maintenant regardez le mensonge que l'on peut en faire et que des centaines de milliers de Suisses vont croire.

M Engelberger est un avocat qui a été nommé président de la Conférence des directeurs cantonaux de la santé (une centralisation au niveau fédéral qui ne dit pas son nom)https://www.gdk-cds.ch/fr/la-cds/communiques-de-presse/detail/presidence-de-la-cds-lukas-engelberger-elu-successeur-de-heidi-hanselmann

En deux images vous voyez le mensonge suisse étalé de manière impitoyable. Et ces gens veulent faire vacciner nos enfants et nos petits-enfants avec un produit caractérisé par la toxicité de la protéine Spike que l'on a retrouvée dans le sang et dans les tissus des organes, y compris dans les ovaires. Le principe de précaution le plus élémentaire a été évacué. Pourquoi? Pourquoi les traitements précoces sont interdits?

Il nous reste un paquet d'effets secondaires connus pour certains et très certainement inconnus pour d'autres.

Rapport britannique qui révèle la prise de risques imposée aux consommateurs d'injections dites vaccins.

Le gouvernement britannique a émis ce mois d'août 2021 un rapport intitulé Informations pour les professionnels de la santé sur le vaccin COVID-19 Pfizer/BioNTech (Règlement 174). Il revient sur la mise en place de ladite vaccination et de l'observation d'une liste d'effets secondaires (cf en bas de page).

information-for-healthcare-professionals-on-covid-19-vaccine-pfizer_biontech-regulation-174-gov.uk_ Télécharger

Le recensement des effets secondaires

Les résultats classés en bas de page se basent sur les remontées d'informations. Ce sont donc des cas pour lesquels les personnes concernées (y compris les médecins) ont bien voulu prendre le temps nécessaire pour les annoncer aux autorités sanitaires. Après, nous savons tous qu'ils ne représentent pas la totalité des effets secondaires effectivement déclenchés par le vaccin.

Pour la Suisse:  swissmedic.ch

Vigicovid nous apprend que selon une étude de 2010 réalisée sur 715'000 personnes aux USA - un des pays qui a pourtant un des système d'annonce le plus avancé - il ressort que seulement 1% des effets secondaires des vaccins sont rapportés. Des données à ce point lacunaires rendent difficile l'évaluation réaliste de la balance bénéfice-risque pour un vaccin.

En Suisse, aucune étude similaire n'a été réalisée et on observe peu d'efforts de terrain en termes de pharmacovigilance. On l'a vu récemment lors de la campagne d'affiches de l'OFSP: nous sommes incités à nous faire vacciner, mais sans être sensibilisés ni aux risques ni à l'importance d'annoncer les effets secondaires.

 vigicovid.ch

Autrement vous pourrez appeler la hotline de Pfizer. Vous noterez au passage le numéro qu'ils se sont données.

Vous constaterez l'espace rajouté au centre du numéro

5catégories qui qualifient l'intensité des effets secondaires observés

Les rapporteurs britanniques ont mis en place 5 familles qualifiant l'intensité de la fréquence d'un effet secondaire. Elles vont de « rare » à « très fréquent ». Chaque classe est caractérisée par des résultats qui fluctuent entre une borne inférieure et une borne supérieure. Chaque résultat représente une personne concernée par l'effet indésirable de la classe sur x vaccinés. Dans notre cas, x varie entre 10 et 10'000. Vous trouverez donc des bornes qui vont de 1/10 à 1/10'000

Exemples

Un effet secondaire « très fréquent » se produit dans plus d'un cas sur 10 (≥ 1/10).

Une occurrence qualifiée de « Peu fréquente » se présente dans un intervalle qui fluctue entre un pour mille et 1 pour cent (≥ 1/1000 à

 lilianeheldkhawam.com

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