L'Union européenne est dans l'impasse. Son unité est fortement compromise. Depuis le déclenchement de la crise sanitaire, chaque pays s'est replié sur ses frontières, la plupart appliquant une politique qui piétine les principes fondamentaux du droit européen. Par une politique fondée sur la peur, le chantage, on contraint les populations à devenir les cobayes d'un vaccin toujours en phase d'expérimentation.
Le principe fondamental adopté par les Alliès après la guerre pour éviter les crimes commis par les nazis, - le consentement libre et éclairé en matière de soins - est piétiné.
La discrimination, la marginalisation, l'exclusion d'une catégorie de citoyens faisant librement usage d'un droit écrit, - le consentement éclairé - sont aujourd'hui devenues la norme.
Un véritable vent de folie vaccinale souffle sur l'Europe. Il est pratiquement impossible de discuter sereinement de ce problème. La vaccination est imposée, sans débat, à une population en état de sidération. Les médecins, les hommes de sciences qui ne partagent pas la doxa officielle, sont insultés, pourchassés, persécutés.
La situation est tellement dégradée, qu'on est en droit de se poser la question:
Osera-t-on une nouvelle fois mettre en œuvre un programme visant à exterminer méthodiquement une partie de la population qui refuse de subir la dictature sanitaire?
De nombreux signes montrent que cette crainte n'est nullement une vue de l'esprit.
Des mesures concrètes sont adoptées pour faire des non-vaccinés en bonne santé, des parias. Une campagne nationale de dénigrement contre ces derniers, est lancée.
Le soubassement de cette campagne est clair, la soumission ou la mort sociale:
- la généralisation du passe sanitaire, implique l'interdiction de toute vie sociale, culturelle, sportive collective à ceux qui ne le possèdent pas;
- perte de leur emploi pour les soignants non vaccinés et de nombreuses autres catégories de salariés.
De la mort sociale à la mort tout court:
- Plus grave, la loi interdit aux non-vaccinés l'accès aux établissements de santé pour les soins non-urgents.
Certains souhaitent qu'on franchisse un nouveau cap et que même en cas d'urgence, ceux qui ne peuvent pas payer, ne soient plus soignés, autrement dit soient voués à une mort certaine. Les médecins qui prônent ces mesures extrêmes ne sont nullement poursuivis pour incitation à la haine, pour violation du Serment d'Hippocrate.
Des soignants, des politiques militent pour que cette mesure soit adoptée. On imagine sans peine le sort qu'ils réservent d'ores et déjà aux malheureux patients non vaccinés qui tombent entre leurs mains!
Le mort saisit le vif.
L'Autriche qui fut l'épicentre du national-socialisme, renoue ouvertement avec une pratique dans laquelle elle joua un rôle pionnier avant la deuxième guerre mondiale: la désignation puis la persécution ouverte de la victime émissaire. L'Allemagne qui fut l'acteur de l'extermination des Juifs d'Europe, est hantée par ses vieux démons. Difficile de survivre si l'on est en bonne santé et non vacciné !
Pratiquant une surenchère, l'Autriche vient d'adopter une loi prononçant l'enfermement général des non-vaccinés. On veut que « ces gens » ne soient plus visible dans l'espace public; qu'ils soient retranchés de la communauté humaine; qu'ils soient donc enterrés vivants.
On peut craindre légitimement que La campagne délirante faisant de ces derniers les boucs émissaires, soit le préalable à leur exécution pure et simple.
Il est évident que les non-vaccinés les plus sensibles, les personnes âgées notamment, victimes de ces brimades, se laisseront mourir; dans ce climat délirant, il est au demeurant peu probable qu'elles soient réellement prises en charge par les hôpitaux; il est évident qu'on les laissera sciemment, volontairement, mourir sans soins.
De graves manquements sont constatés dans les Ehpad. Le Défenseur des droits a été saisi de nombreuses plaintes (plus de 900 en 2020). Voici ce qu'il constate :
La crise sanitaire liée à la pandémie de la Covid-19 a mis en exergue les difficultés récurrentes auxquelles sont confrontés les EHPAD et les défaillances constatées par le Défenseur des droits. Depuis le début de la crise, l'institution est encore davantage interpellée sur les atteintes aux droits et libertés des résidents en EHPAD, concernant plus particulièrement leur droit au maintien des liens familiaux, leur liberté d'aller et venir et le respect de leur consentement. Certains résidents n'ont pas pu recevoir de visite et ont ainsi été maintenus au sein de l'EHPAD pendant plusieurs mois, en dépit de leur demande ou de celle de leurs prochesDéfenseur des Droits
En filigrane, les séries de mesures adoptées permettent de déceler une intention génocidaire. La gestion de la crise sanitaire, verra-t-elle naitre sur le sol de l'Europe », un nouveau crime contre l'humanité ?
L'Union européenne, « terre de libertés », renoue avec les principes du nationale socialisme. Comme hier, elle est en train de créer les conditions d'une mise sous contrôle de la population par la discrimination, l'exclusion et l'exécution de la victime émissaire désignée : les non-vaccinés.
Quand le contrôle permanent des vaccinés deviendra la norme, quand la société sera dans les fers d'un totalitarisme hygiéniste, il sera trop tard pour réagir. On aura perdu nos libertés et la maîtrise de notre santé et de nos vies.
L'État qui contrôle et décide en lieu et place des citoyens, après s'être emparé de leur santé, disposera de leurs biens.
Article de Sidney Touati publié avec son aimable autorisation. La rédaction remercie également Michel Rosenzweig qui a facilité nos démarches.