17/12/2021 fr.sott.net  28min #199430

Mehdi Belhaj Kacem : « Il n'y a pas eu de pandémie, mais un génocide est en cours »

Lettre-ouverte au maire de Turenne par Mehdi Belhaj Kacem (infra)
Je me fais parfois reprendre (avec les meilleures intentions du monde) par certains de mes lecteurs qui me disent regretter la virulence, parfois, de certains de mes propos. Des mots comme « veulerie », « ignominie » ou « escroquerie » me desservent, font-ils valoir, et laissent à penser que j'use des mêmes piteuses armes que ceux du camp d'en face.

Tout en comprenant ces remarques, je n'y adhère pas. Pour la raison suivante : lorsque je dénonce les agissements des petites (ou grandes) mains de la dérive en cours, je parle de réalités qui ont détruit et détruisent des millions et même des milliards de vies. Nous ne sommes hélas pas dans le registre de la métaphore ou des abus de langage : si seulement !

Lorsque les petits potentats locaux enchaînent les plateaux télé pour venir vendre leur soupe à base de fraude scientifique, de malhonnêteté intellectuelle et de maltraitance brutale, nous avons affaire aux complices d'un véritable crime organisé d'ampleur planétaire.

Certes, tous ne sont pas des malfaisants ou des vendus. Le gros du bataillon est constitué d'ignorants voire d'idiots qui ne sont même plus capables à ce stade de comprendre des réalités élémentaires, ni de se souvenir par exemple des bonnes pratiques médicales ou que le droit fondamental existe.

On attire aussi parfois mon attention sur la compassion qu'i conviendrait d'avoir envers des esprits pareillement égarés et azimutés, évidemment en souffrance : il paraît que la vice-présidente de notre honteuse « Task force scientifique » se promène partout avec son oxymètre de poche tant elle serait tétanisée à l'idée d'attraper le Covid !

Il paraît aussi qu'un vaccinologue que j'ai alpagué lors d'un récent Conseil scientifique indépendant pour des propos scandaleusement contraires aux données de la science serait au fond un chic type, se donnant sans compter pour essayer de comprendre les choses.

L'alternative reste cruelle : soit ces gens sont des fieffés gredins, soit ils sont d'une incompétence qui devrait les conduire à être privés sur le champ de toute responsabilité publique ! Qu'un soi-disant expert ne soit ainsi pas capable de lire les critiques solides du British Medical Journal au sujet des « essais cliniques » fait par et pour Pfizer, qu'il ne soit pas capable de voir que  les données figurant (dans les annexes) à l'appui de ces papiers frauduleux contredisent les allégations publicitaires figurant dans les abstracts fait froid dans le dos.

La négation et la truanderie ont atteint une telle ampleur que le souci de la diplomatie ne m'habite plus toujours, je le reconnais. Quand on sait qu'on doit interrompre un essai thérapeutique (ce dans quoi nous sommes) après quelques décès suspects, alors que nous en sommes aujourd'hui à des dizaines de milliers de décès officiellement répertoriés en ce qui concerne l'injection génique expérimentale, cela me prive à vrai dire de la ressource de minauder.

Le Pr McCullough (qui a participé à différents panels habilités en la matière)  n'a cessé de le rappeler : les bonnes pratiques et l'éthique basale commandent qu'on arrête une expérimentation ou une mise sur le marché dès qu'un petit nombre de décès concomitants sont signalés.

Ici, nous sommes face à une «  license to kill » qui fait froid dans le dos. Sachant que la pharmacovigilance est faite pour ne rapporter qu'une petite minorité des cas (de l'ordre de 3% selon les meilleures analyses statistiques) cela veut dire que nous en sommes actuellement selon toute probabilité à plusieurs centaines de milliers d'homicides vaccinaux sur chaque continent. De personnes qui ont été tuées de s'être vu proposer ou imposer cette expérimentation génique dangereuse dans des conditions (à nouveau hélas)  littéralement totalitaires.

En Suisse, on rapporte plus de cent morts post-vaccinales « officielles » là où on doit impérativement interrompre un essai, je le répète, après plusieurs décès. Et les irresponsables qui nous gouvernent ne trouvent rien de mieux à faire que de questionner l'imputabilité en disant que « oui mais on n'est pas sûrs qu'ils soient morts du vaccin », ce qui est doublement mensonger :

a. On sait  d'après différentes études ou  rapports d'autopsie que la causalité directe de l'injection dans les des décès post-vaccinaux est de l'ordre de 50 à 80%

b. Il suffirait d'analyses sérieuses à partir d'autopsies sur des échantillons représentatifs de personnes décédées pour le vérifier aisément.

La hideuse vérité est qu'on ne veut actuellement pas voir ni savoir.

Puisque, non content d'avoir tué des centaines de milliers de personnes, la furie « vaccinale » s'attaque maintenant aux femmes enceintes, aux jeunes et aux enfants (dès 5 ans en Californie), nous sommes bel et bien techniquement dans le registre du crime contre l'humanité.

Le code de Nuremberg avait été adopté au sortir de la seconde guerre mondiale pour s'assurer que jamais plus des êtres humains ne seraient soumis contre leur plein gré à des expérimentations médicales. Si le code n'a pas de valeur juridique, les Déclaration d'Helsinki et la Convention d'Oviedo avaient sécurisé ensuite cette prohibition absolue.

Et voici que quelques décennies à peine plus tard, nos aréopages de pseudo-sachants et d'irresponsables politiques viennent dans un lourd bruit de bottes faire résonner en les ressuscitant les fantômes infâmes du passé.

Le panel de la FDA qui a approuvé cette monstruosité est composé de nombre de  salopards ayant des liens d'intérêts directs avec Pfizer, une entreprise  criminelle multirécidiviste à laquelle nos gouvernants ont choisi de faire une confiance aveugle...

Et l'un d'entre eux, le Dr Eric Rubin, a même expliqué avec le cynisme d'un nazi que « nous n'apprendrons jamais à quel point le vaccin est sûr (sur les enfants) à moins que nous ne commencions à l'administrer, et c'est comme ça que cela se passe. »

C'est face à cela que mon vocabulaire se rétrécit comme peau de chagrin et en vient à appeler un chat un chat. Les « scientifiques » qui couvrent ces monstruosités sont des imbéciles ou des ordures. Et les politiques qui les appliquent ne valent pas mieux.

En lançant son programme débile de « vaccination dans les écoles secondaires », le Conseil d'État genevois a pris le risque que des jeunes (qu'ils soient quelques-uns ou quelques dizaines) en meurent alors qu'ils n'auraient rien risqué avec le Sars-CoV-2 : rappelons que sur les 1,8 million de petits Suédois âgés entre 1 et 19 ans, pas un seul n'est décédé du Covid lors du printemps 2020.

Cette campagne est non seulement imbécile et déplacée, elle est ignoble, obscène et criminelle. Combien de morts de jeunes gens âgés de 12 à 15 ans sont-elles acceptables aux yeux du « Conseil d'État » genevois pour une maladie face à laquelle ils ne risquent rien ?! Quel serait le nombre de trop ?!

Bien sûr, les gouvernants se réfugient derrière « le nombre infime d'incidents ou d'accidents » post-vaccinaux, tellement rares, n'est-ce pas ? Sauf que c'est à nouveau faux : ce nombre dépasse pour cette expérimentation génique (prohibée par la Convention d'Oviedo quoi qu'en disent les larbins du système) tout ce que nous avons connu. Le Pr Kulldorff de Harvard, un des meilleurs spécialistes de la pharmacovigilance vaccinale (dont il développé plusieurs modèles pour la FDA) souligne que les injections géniques  n'ont pas lieu d'être en-dessous de 60 ans.

Comment donc appeler des « experts » et « responsables » qui tout en touchant des centaines de milliers de francs annuels de salaire sèment la ruine, la désolation et la mort comme conséquence de leur transe mortifère ?!

Car aucune des mesures infligées depuis bientôt deux ans n'a de justification sérieuse : ni les confinements, ni les masques, ni le déni insensé de l'immunité naturelle, ni les systèmes de traçage, ni la fermeture des écoles ou l'imposition du masque aux élèves n'a d'utilité ni de sens. Relisez  cette tribune parue tout récemment dans Newsweek où deux des plus éminents épidémiologistes de notre époque le démontrent haut et fort : Anthony Fauci (le très corrompu M. Covid américain) a floué les Américains. Comme Alain Berset a floué les Suisses, Mauro Poggia les Genevois et les « scientifiques » comme Samia Hurst ou Alessandro Diana (ou Didier Pittet, Antoine Flahaut, la liste est longue hélas) la population entière.

Dans une lettre ouverte cinglante à son maire, le philosophe et écrivain Mehdi Belhaj Kacem vise juste et touche au cœur de l'affaire : nous avons été truandés par les autorités, les scientifiques et la presse, qui n'aura été que le bras armé de cette engeance.

Et non, quoi qu'en hurleront les hystériques décérébrés par tant de propagande, il n'y a jamais eu de pandémie, sauf de connerie, de lâcheté et de corruption criminelle. Une maladie dont la létalité mondiale est celle de la grippe avec une médiane d'âge des décès alignée sur l'espérance de vie n'est pas une pandémie. Par contre, nous sommes, dix-neuf mois plus tard, face à un authentique génocide et crime contre l'humanité.

Je m'excuse d'employer les bons mots, mais nous n'en avons pas d'autre.

Et si je peux avoir de la compassion pour des experts littéralement abrutis ou hystériques, j'en aurai toujours infiniment moins que pour les enfant d'une mère de famille ou les parents d'un jeune tués par le « vaccin », ou la famille d'un enfant qui s'est suicidé  comme on le voit de plus en plus ou encore d'un restaurateur qui aura tout perdu pendant que les autres touchent, mois après mois, leurs grasseyants salaires payés par leurs victimes - c'est-à-dire la population tout entière.

Alors oui, on m'a suggéré que mes propos étaient « agressifs ». Pour moi, c'est la manipulation et la tuerie en cours qui le sont. Nos mots ne sont que de pauvres index pour montrer cette horreur. Et franchement ? Peu importe s'ils déplaisent !

************

Cher Monsieur le maire de Turenne, Yves Gary du nom,

Un ami m'a envoyé hier soir votre lettre (voir ci-dessous) intitulée « le mot du maire ». Je me suis esclaffé en la lisant. Je ne suis manifestement pas le seul, car, dès le lendemain matin, je me suis aperçu que votre lettre circulait énormément sur les réseaux. Il est donc de mon devoir de vous l'apprendre : vous êtes d'ores et déjà la risée de centaines de milliers de français.

Je me présente d'abord à vous. Je réside à Turenne depuis près de vingt-cinq ans maintenant, dans une maison qui est un héritage familial. Je suis écrivain et philosophe de mon état, j'ai publié plus d'une trentaine d'ouvrages, dont une bonne partie chez de grands éditeurs (Gallimard, Grasset, Fayard, Stock...). Mon troisième roman, Vies et morts d'Irène Lepic, écrit à vingt-et-un ans, est considéré aujourd'hui par des milliers de personnes comme l'un des meilleurs romans des années quatre-vingt dix. Michel Houellebecq, devant un parterre de VIP de l'art contemporain, a dit que j'étais le seul écrivain de sa génération aussi bon que lui. J'ai été le premier philosophe à avoir droit à un colloque à 39 ans à l'Ecole Normale Supérieure de la rue d'Ulm, qui a produit 90% des grands philosophes en France depuis deux siècles, alors que je suis un parfait autodidacte (bac+0). Alain Badiou m'a publiquement présenté il y a quinze ans comme l'un des deux philosophes les plus doués de ma génération, et l'anthropologue de renommée internationale David Graeber, mort prématurément l'année dernière à Venise, disait partout autour de lui que j'étais le plus grand philosophe vivant, et beaucoup de monde pense comme lui. Un grand poète américain, Steve Light, a écrit qu'on n'avait jamais vu, de toute l'histoire de la philosophie, un tel ratio entre invention conceptuelle systématique, et autodidactisme. Je pourrais continuer comme ça pendant des pages et des pages. Comme le dit un très grand médecin lanceur d'alerte sur la situation, le Dr Roger Hodkinson, dont vous devriez prendre de la graine : « I am proud of my fuckin C.V. ».

Je m'excuse donc de me faire mousser de la sorte; ce n'est pas très élégant. Mais, quand je m'adresse à des personnes comme vous, je me sens obligé de le faire, pour que l'interlocuteur comprenne qu'il n'a pas exactement affaire à celui que le bon peuple appelle « Joe le clodo ». Vous parlez de votre lettre de « compétence », sans nous en dire davantage (doux euphémisme); je suis donc obligé, en préambule aux discussions avec les personnes comme vous, d'avancer mes titres de noblesse sous ce rapport, c'est-à-dire des capacités d'analyse et de réflexion que toutes les personnes, à point nommé, compétentes, reconnaissent à mon sujet.

On se demande d'abord, à la lecture de votre lettre, quel est le vôtre, de titre de « compétence ». Si celui-ci repose sur le fait d'ouvrir les grands quotidiens, d'écouter France-ceci ou France- cela, ou de regarder BFMTV ou France 2, vous êtes effectivement mal parti. En 2021, ce n'est pas comme cela que l'on s'informe, mais en allant à la source; croire qu'on apprend quoi que ce soit en consommant les médias de masse, c'est comme être, en termes d'information, un néandertalien quand apparaissent les Cro-magnons, ou se battre avec un gourdin quand on vient d'inventer les armes à feu.

C'est l'explication la plus plausible : cela fait plus d'un an et demi que la majorité de nos concitoyens sont coupés de toutes leurs capacités cognitives par la propagande incessante dont les inondent les médias de masse, subventionnés par l'État et détenus par les huit familles les plus riches de France. Ces médias, et depuis longtemps, n'ont plus pour fonction d'informer les gens, mais simplement de se faire les porte-voix du gouvernement. Toutes les considérations dont vous gratifiez votre public reposent donc sur le crédit que vous accordez à ce que raconte celui-ci. Vous supposez, en somme, qu'il dit, depuis un an et demi, la vérité. Or, c'est le contraire. Ce gouvernement a menti sur absolument tout. Ce gouvernement n'est plus qu'à son tour qu'un outil au service d'institutions supranationales comme l'OMS, ou de multinationales, comme Pfizer. Saviez-vous que notre président de la République avait négocié, du temps où il travaillait pour la banque Rothschild, un contrat à hauteur de 10.000.000.000 de dollars entre Nestlé et... Pfizer (vous avez dit « compte offshore »?)? Saviez-vous que son épouse détenait quantité d'actions dans la même entreprise? Saviez-vous que c'était Pfizer qui alimentait le compte Suisse de Cahuzac, et probablement de nombre de membres du Parti Socialiste, celui qui veut nous pousser à la vaccination obligatoire? Saviez- vous que Pfizer est l'entreprise pharmaceutique la plus corrompue et la plus condamnée en justice de tous les temps (plus de quarante verdicts négatifs, plus de 5.000.000.000 de dollars de dommages et intérêts versés en tout)?

Vous commencez votre lettre en disant que nous espérions, au printemps, que le covid 19, si vous me passez l'expression, nous lâcherait un peu la grappe. Las! Dites-vous : il y a eu la quatrième vague. Désolé de vous détromper : il n'y a pas eu de quatrième vague, parce qu'il n'y en a pas eu de troisième, qu'il n'y en a pas eu de deuxième, qu'il n'y en a pas eu de première; et que, en réalité, il n'y a jamais eu de « pandémie » du tout, sauf dans quelques cerveaux malades, notamment ceux qui dirigent l'OMS, probablement l'organisation politique la plus criminelle de tous les temps.

Il n'y a pas eu de « pandémie », et ce sont les chiffres officiels qui le disent. Tapez « morts covid » sur Google, vous tomberez sur le chiffre, au jour où je vous écrit, de 4.800.000 de la population mondiale, c'est-à-dire environ 0,04% de celle-ci, ce qui est dérisoire. C'est d'autant plus dérisoire quand on connaît la moyenne d'âge des victimes : 84 ans. C'est-à-dire des gens qui ont largement dépassé leur espérance de vie. Je dis « largement », car chez nous, pays occidentaux (France, Italie...), l'espérance de vie est de 82 ans, et c'est pourquoi nous avons pris plus « cher » (0,14/0,15%) que beaucoup de pays plus pauvres, où l'espérance de vie est, bien sûr, beaucoup plus courte.

Ceci pour simplement vous faire réaliser que, depuis un an et demi, beaucoup de monde, à commencer par les médias de masse centralisés, et vous à leur suite, « raisonnent » sur une chimère sémantique pure et simple : « il existe un virus dévastateur qui atteint la planète entière, tuant 0,04% de sa population, essentiellement des personnes ayant dépassé de très loin leur espérance de vie. » C'est une phrase littéralement vide de sens, et pourtant c'est sur elle que se fondent tous les « discours » du type de celui que vous tenez dans votre lettre, et dont on nous harcèle depuis plus d'un an et demi. Tout étudiant en philosophie de première année sait que, si la prémisse est fausse, le reste du discours est faux aussi.

La chose, en réalité, va beaucoup plus loin, dans ce qui est la plus grande et la plus grave manipulation politique de masse qui ait jamais été perpétrée dans notre histoire. Là encore, ce sont les documents officiels qui le disent. Je me permets de vous renvoyer à ce lien :  bit.ly

Il s'agit du compte-rendu détaillé de Santé Publique France sur la crise-du-covid entre mars 2020 et mars 2021. Je vous conseille de lire les 68 pages en entier, mais si le temps vous manque, vous pouvez vous contenter de « sauter » à la page 43. Vous y découvrirez ce chiffre ahurissant : sur la centaine de milliers de supposés morts-du-covid, seuls 14471 sont véritablement morts du seul covid. Les autres, en réalité, sont morts d'autre chose : cancer, leucémie, diabète, insuffisance cardiaque, etc. Donc : les 0,04% de morts du terrible virus sont, en réalité, plus proche de 0,004% : autant dire rien. Car les chiffres officiels des autres pays disent strictement la même chose : par exemple du CDC aux Etats-Unis, qui ont pareillement établi que, sur tous les morts officiellement déclarés du covid, seuls 6% d'entre eux étaient « sans comorbidités », c'est-à-dire que 94% d'entre eux sont morts de tout à fait autre chose.

Aussi, au niveau de la « compétence » et de la rigueur argumentative, est-il très malvenu de votre part de comparer la situation présente avec la diphtérie, la tuberculose, la rougeole ou la poliomyélite : ces maladies étaient, de fait, massivement létales; le covid 19, en réalité, ne tue quasiment personne, mais porte l'estocade à des personnes qui avaient déjà dépassé leur espérance de vie.

Vous dites ensuite, sur cette fausse base, que seule la vaccination de masse permettra d'acquérir « l'immunité collective » (notion dénuée de toute pertinence scientifique, comme le savent les gens réellement compétents). Hélas pour vous, tous les pays qui ont massivement vacciné, comme Israël ou Gibraltar, ont vu leurs taux de mortalité décoller verticalement, ainsi que leurs taux d'infection au covid (la seule solution? Une troisième dose, après que les deux premières aient si bien marché ! Et une quatrième, une cinquième, une sixième...). Aussi vous trompez-vous quand vous dites que seule la vaccination de masse permettra de sortir de la pandémie : d'abord, il n'y a jamais eu de pandémie, sinon une pandémie de mensonge, de terreur, d'abrutissement et de manipulation; ensuite, les « vaccins », qui ne méritent même pas ce nom, sont non seulement inefficaces, mais dangereux. Je vous le démontre plus loin, chiffres officiels à l'appui, contre votre négationnisme bravache à ce sujet.

Vous demandez, ce qui prouve en tout cas que vos yeux, eux, n'ont pas attrapé le covid : « comment peut-on sérieusement continuer à parler d'un vaccin expérimental alors qu'il a été injecté à près de la moitié de la population mondiale sans ou presque d'effets secondaires? » Comment, en effet ? Eh bien, très simple : en lisant ce qu'écrivent les gens d'Astrazeneca, Pfizer, Moderna et Johnson sur leurs sites respectifs : que les vaccins sont en phase 3 (rats de laboratoire habituellement), et que ces expérimentations prendront fin en 2022 ou en 2023, c'est selon. Les gens de Moderna vont jusqu'à écrire : « notre vaccin est un système d'exploitation somatique, dont le but est de pirater vos fonctions biologiques », sic. Que la moitié de la population mondiale se soit faite injecter, le plus souvent sous le chantage et la contrainte à peine détournée, vous empêche de vous rendre à la terrible évidence : nous assistons en effet à la plus gigantesque expérimentation médicale jamais tentée sur l'humanité. Tôt ou tard, la finalité réelle de cette expérimentation ne pourra que sauter à vos yeux si éclairés. Comme le disait Coluche : « Ce n'est pas parce qu'ils sont nombreux à avoir tort qu'ils ont raison ».

Mais la phrase, de toute votre lettre, qui m'a le plus fait pouffer, c'est celle qui dit : « sans ou presque d'effets secondaires ». Ah booooon ? Là encore, il suffit de se fier aux chiffres officiels, et à rien d'autre. Eudravigilance, le site européen de pharmacovigilance, avançait, début octobre, les chiffres suivants : 27.222 morts, près de 2.300.000 d'effets secondaires, dont la moitié graves (et, soyons clairs : « graves », en pharmacovigilance, signifie : « handicap à vie »). On peut dire que l'adverbe de votre phrase prend tout son sel à la lumière de ces chiffres dûment sourcés... vous avez dit « compétence » ?

Mais ce n'est pas tout. Car tous les spécialistes d'enquêtes de pharmacovigilance vous diront que seuls 1 à 10% des effets secondaires sont réellement rapportés; en sorte qu'il faut au moins multiplier les chiffres obtenus officiellement par dix pour s'approcher, et seulement s'approcher, de la vérité. Nous avons donc les plus solides raisons rationnelles de penser que, dans les pays de l'U.E. (Angleterre non comprise donc, où les chiffres officiels sont terrifiants aussi), il y a eu au minimum 270.000 morts, et 21.000.000 millions de handicapés à vie. C'est-à-dire, d'ores et déjà, dans la seule Europe, beaucoup plus de victimes des vaccins que du malheureux covid 19 dans le monde entier. Je me permets à ce sujet de vous renvoyer à ce lien, une petite vidéo que j'ai faite avec une amie, devant cette organisation criminelle qu'est l'Ordre des médecins, qui persécute les médecins qui osent soigner leurs patients et dire la vérité sur ce qui nous arrive depuis un an et demi :
 odysee.com

Mais, au fait, ces effets secondaires, quels sont-ils ? Comme le dit le très courageux Dr Ochs, le risque du vaccin est 40 fois plus élevé pour les moins de cinquante ans que le covid lui-même. Que dire de nos adolescents, qu'on vaccine en masse depuis la rentrée, contre une maladie pour laquelle ils ne risquent rien ? Que dire de nos enfants, à qui on s'apprête de faire la même chose (le même dr Ochs en tire la conclusion qui s'impose : « infanticide ») ? Vous êtes bien sûr de votre adverbe ? N'y a-t-il pas une petite puce qui commence à vous démanger l'oreille ?

Car voici en quoi consistent ces effets secondaires :

des AVC; des myocardites (en particulier chez les jeunes et les adolescents, ce qui est aberrant); des péricardites; des thromboses; des troubles neurologiques graves; des troubles gastro- entériques graves; des troubles neurologiques graves; la paralysie de Bell; le syndrome de Guillain-Barré; des convulsion violentes; des fausses couches (une fois sur huit...); des épilepsies; des nécroses; des zonas; des cécités; des surdités; et la liste est loin d'être exhaustive... Je peux vous envoyer des listes kilométriques de sportifs de haut niveau décédés suite à des complications cardiaques, ou dont la carrière est finie suite aux injections. Je ne sais pas comment vous faites pour ne pas entendre parler de ce phénomène « étrange » que rapportent toutes les presses régionales : le nombre inusité d'adolescents qui font des malaises cardiaques pendant qu'ils font du sport au collège ou au lycée.

Mais même si je m'écarte des données officielles édifiantes, et que je regarde simplement autour de moi, où l'enthousiasme pour le « vaccin » n'est pas de mise, j'ai constaté : un homme de 42 ans, père de trois enfants, mort d'un arrêt cardiaque après l'injection; un militaire de 25 ans, un athlète qui ni ne fumait ni ne buvait, qui a subi un AVC après l'injection, et dont la carrière est finie; une femme de la soixante, qui développe depuis l'injection un asthme très brutal et persistant; un ami qui a subi une diarrhée virale très pénible après l'injection. Mais l'effet secondaire le plus systématique et répandu, qui donne d'innombrables témoignages sur les réseaux, c'est la grave perturbation des cycles menstruels chez les jeunes femmes et les adolescentes. J'ai discuté avec une jeune femme de 25 ans (non vaccinée), qui m'a confirmé que toutes ses amies vaccinées avaient de gros problèmes de règles. Et j'ai aussi échangé avec une adolescente (non vaccinée), qui m'a dit elle aussi que toutes ses amies vaccinées avaient de gros soucis de « ragnagnas », comme elle dit dans son langage fleuri. Dans les pays où on a commencé à vacciner les enfants, comme les Etats-Unis, on rapporte des cas de saignements vaginaux chez des fillettes, ou même des nourrissons de sexe féminin. (A raison inverse, on mentionne de nombreux cas de femmes ménopausées depuis des années... et qui ont recommencé à avoir leurs règles.) Il n'y a pas besoin d'être madame Irma pour savoir ce que les conséquences, en termes de fertilité, représenteront pour toute une génération. Je suis sûr que vous avez des fils et/ou des filles, voire des petits enfants. J'espère que votre enthousiasme vaccinal s'arrêtera à temps pour que vous sauviez votre lignée. De même, et puisque vous avez une confiance si aveugle dans les « vaccins », et que vous êtes donc plus que probablement injecté, pourquoi ne pas faire les tests suivants : le test de d-dimère (qui mesurera les taux de micro- caillots sanguins que vous avez dans le sang); le test de sérologie (pour regarder voir où en est votre système immunitaire); et un test d'électro- magnétisme (si, si, ce n'est pas une thèse « complotiste », de nombreuses études scientifiques ont démontré que les vaccinés étaient « magnétisés »). Je le répète : puisque vous êtes si confiant dans ces « vaccins », pourquoi ne pas faire ces trois tests ? Mais je préfère être honnête avec vous : il est presque impossible que vous n'ayiez pas une très mauvaise surprise au moins en les faisant tous les trois.

Aussi, à vous qui n'avez pas froid aux yeux pour colporter les énormités des médias et d'un gouvernement criminel, mensonger et corrompu, je tiens à vous prévenir que je n'ai pas ma langue dans ma poche. Le Dr Michael Yeadon, rien moins que l'ancien vice-directeur de Pfizer, et scientifique de haut niveau (biologie), parle depuis un an et demi déjà de « troisième guerre mondiale »; j'ai lancé, dans un entretien donné il y a huit mois au journal Times of Israël, l'expression « première guerre civile mondiale », qui a été depuis reprise par des centaines de milliers de personnes; et, depuis quelques mois, je ne recule plus devant l'expression suivante : « génocide non conventionnel », comme on parle de « guerre non conventionnelle ». C'est-à-dire qu'il n'y a plus besoin d'utiliser des mitrailleuses, des chambres à gaz ou des machettes; il suffit d'imposer des confinements, des masques et des « vaccins ». Les confinements ont d'ores et déjà détruit les vies de milliards de personnes dans le monde (dont une qui m'était extrêmement proche, qui s'est suicidée à cause du premier), alors qu'ils n'ont aucune utilité sanitaire avérée; les masques, inefficaces et toxiques lorsque portés trop longtemps, ont d'ores et déjà traumatisé une génération entière d'enfants et d'adolescents; enfin, les vaccins ont d'ores et déjà fait, dans le monde entier, incommensurablement plus de victimes que le misérable, et à la vérité presque inoffensif, virus qu'ils sont censés combattre.

Génocide, oui, et le plus grand, peut-être, de tous les temps, dans la mesure où, s'il s'avérait que le « vaccin » avait pour fonction de modifier le génome humain, non seulement il serait le plus grand en quantité, mais il le serait aussi en qualité : il serait le génocide le plus littéral qui fut jamais. Exagération ? Pourquoi est-ce que de nombreux survivants de la Shoah (Véra Sharav, Rabbi Hillel Handler, Hagar Schafrir, Sorin Shapira, Mascha Orel, Morry Krispijn, Shimon Yanowitz, Hila Moscovich, Tamir Turgal, Amira Segal, Jacqueline Ingehoes, Andrea Dresher, Edgar Siemund, etc.) disent-ils la même chose que moi, que des millions de français, et des centaines de millions de personnes dans le monde ?

Votre lettre se termine, sans doute pour caresser votre belle âme, par les compliments de rigueur aux soignantes et aux soignants. Pourquoi n'avez-vous pas un seul mot pour les 350.000 mille d'entre elles et eux qui ont perdu leur emploi depuis le 15 septembre, sans indemnités ni chômage, bref qui sont littéralement jeté(e)s à la rue, au seul prétexte d'avoir refusé de se faire vacciner ? Comment pouvez-vous, sans mourir de honte, vous féliciter de ce que fait l'hôpital public français, alors qu'on est, très sciemment, en train de le démembrer et de le détruire à petit feu (ça a commencé il y a des décennies en réalité) ?

Aussi, me permettrai-je d'arroser l'arroseur que vous êtes : ce qui est « délétère et irresponsable », ce ne sont certainement pas les lanceurs d'alerte dans mon genre, qui dénoncent, avec le grand avocat allemand Reiner Fuellmich, le « plus grand crime contre l'humanité jamais commis », mais des gens irréfléchis et mal informés dans votre genre. Faire preuve d'humilité, admettre qu'on s'est trompé (parce qu'on a été trompé), présenter des excuses, ouvrir les yeux : voilà une petite quantité de choses que vous pourriez faire pour ne pas rester, aux yeux de l'histoire, comme le sont restés les responsables politiques de 1939-45 en France sous l'occupation allemande et le gouvernement de Vichy : ce qui se passe en ce moment est en tous points homothétique à ce qui s'est passé à cette époque là, sauf qu'aujourd'hui c'est à bien plus grande échelle (ce que disent tous les survivants de la Shoah que je vous ai mentionnés plus haut). De nous deux, c'est moi qui suis pleinement responsable, en risquant ma réputation et peut-être ma vie pour réveiller le maximum de gens sur la réalité de ce qui est en train de se passer à échelle mondiale, et dont la présente lettre ne vous délivre qu'un petit bout de l'iceberg. Il faut que vous sachiez que je suis si horrifié par la situation que nous vivons dans le monde entier depuis deux ans, que je passe littéralement douze heures par jour à m'informer et me documenter sur la situation. Si, donc, vous voulez vous éveiller de votre « sommeil dogmatique », comme disait Kant, je me tiens à votre entière disposition : j'habite à seulement une centaine de mètres de la mairie.

Mehdi Belhaj Kacem

P.S. : je suis désargenté en ce moment, mais, dans dix jours, je n'hésiterai pas à faire des centaines d'impressions de la présente lettre pour la distribuer dans tout le village. Certaines de mes vidéos ont fait plus de 500.000 vues chacune sur les réseaux, donc réveillez-vous avant que je ne vous fasse une trop grande publicité, déjà que votre lettre a involontairement fait de vous une star sur les réseaux, sans doute dans votre ignorance la plus complète. Je ne désespère pas de vous réveiller complètement, et de faire que Turenne se transforme en village d'Astérix, qui résiste à l'Empire... vous verrez que la comparaison est tout sauf exagérée...

Notes :

1. Voici la lettre du maire en question :

Après l'espérance au printemps d'un retour progressif mais rapide à une vie sans covid-19 ce dernier ne semble pas avoir abdiqué.

Las, la quatrième vague et bien là qui se déverse sur le pays à très grande vitesse, jetant le trouble sur la période estivale au cours de laquelle beaucoup d'entre nous pensaient pouvoir oublier plus d'un an de difficultés et vivre ou revivre normalement, tout simplement.

Il faudra encore attendre un peu. Et peut-être plus encore pour peu que les anti-vax associés aux « anti-tout » continuent à diffuser leurs messages délétères et irresponsables.

Le vaccin et la capacité à atterrir l'immunité collective par un taux de vaccination de l'ordre de 80 à 90 % de la population adulte est la seule issue possible pour mettre un terme à cette pandémie. Tout autre discours n'est que baliverne.

Comment les maladies infantiles telles que la variole, la diphtérie, la tuberculose, la rougeole ou plus près de nous la poliomyélite - qui n'y a il n'y a pas si longtemps encore décimait nos populations - ont-elles été éradiquées si ce n'est pas la vaccination ?

Comment peut-on sérieusement continuer à parler d'un vaccin expérimental alors qu'il a été injecter après de la moitié de la population mondiale sans ou presque, d'effets secondaires.

Le parallèle est osé, j'en conviens volontiers, mais comment ne pas penser au taux d'abstention record lors des récente élection départementale et régionale même si cette tendance est à la baisse est enclenchée depuis longtemps.

Méconnaissances des compétences de ces institutions, ignorance des enjeux de ses scrutins ou encore perte de confiance dans les élus, et cetera

Mauvais alibi que tout cela : car alors, comment expliquer que c'est même citoyen ignorant de tout le dimanche, sache parfaitement à qui s'adresser le lundi matin pour faire valoir « leurs droits ».

Non, la réponse est ailleurs : elle est plus vraisemblablement la matérialisation d'une lente mais profonde transformation de notre société vers un individualisme conquérant au dépend d'un sens citoyen civique désormais suranné.

À l'heure de l'anonymat qui permet de déverser impunément toutes sortes d'un sanité sur les réseaux sociaux, à l'heure du règne du selfie qui glorifie le mois triomphant, qu'importe l'autre.

Que les institutions doivent évoluer pour mieux prendre en compte les évolutions technologiques et s'adapter changement de comportement des personnes est une évidence. Mais elle ne pourrons pas être efficace sans une nouvelle impplication citoyenne.

Mais le pire n'est jamais sûr, n'est-ce pas ? À la fin du mois de septembre, plus de 80 % de la population française est vaccinée, l'ensemble des personnel soignants est toujours sur le pont et continue à faire un travail admirable, et dans la vie quotidienne les comportements et gestes altruistes de nombre de nos concitoyens incitent à l'optimisme.

Yves Gary
Maire de Turenne

odysee.com

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