1 800 combattants ukrainiens de l'usine Azovstal de Marioupol se sont rendus depuis le 16 mai 2022. Les informations recueillies par les débriefers russes laissent à penser qu'il y avait sur place 2 500 soldats de l'armée ukrainienne dont 804 bandéristes du régiment Azov.
Les civils qui ont pu quitter l'usine ont assuré qu'ils avaient été utilisés comme boucliers humains par les bandéristes.
Les autorités russes ont promis de libérer les soldats réguliers, mais considèrent les bandéristes comme des terroristes. Ils ont promis de les juger pour les crimes qu'ils ont commis depuis 2014.
Le président de la Douma, Vyacheslav Volodin, a indiqué qu'il pousserait une loi interdisant d'échanger les membres du régiment Azov contre des Russes prisonniers.