26/08/2022 reseauinternational.net  16 min #214425

«Terrorisme» : la fille de l'intellectuel russe Douguine tuée dans l'explosion de sa voiture

Qui a tué Daria Douguine

par E. Michael Jones.

Dans un article paru dans la revue Unz en juillet, Philip Giraldi, agent de la CIA à la retraite, évoque une rencontre qu'il avait faite lors de ce qu'il appelle « une conférence anti-guerre » :

« Il y a cinq ans, j'ai écrit un article intitulé « Les juifs d'Amérique mènent les guerres d'Amérique ». Il s'est avéré être l'article le plus populaire que j'aie jamais écrit et j'en ai été récompensé en étant immédiatement licencié par le soi-disant magazine American Conservative, dont j'avais été un collaborateur régulier et très populaire pendant quatorze ans. Mon article commençait par la brève description d'une rencontre avec un partisan que j'avais rencontré peu de temps auparavant lors d'une conférence anti-guerre. Ce vieux monsieur m'a demandé : « Pourquoi personne ne parle-t-il jamais honnêtement du gorille de six cents livres qui se trouve dans la pièce ? Personne n'a mentionné Israël dans cette conférence, et nous savons tous que ce sont les juifs américains, avec tout leur argent et leur pouvoir, qui soutiennent chaque guerre au Moyen-Orient pour Netanyahou. Ne devrions-nous pas commencer à les interpeller et ne pas les laisser s'en tirer à bon compte ? » [1]

La conférence se tenait à Mashhad, en Iran, et le « vieux monsieur », même si je déteste l'admettre, c'était moi. Je suis peut-être âgé, mais je ne suis certainement pas un gentleman, passons. Ce que j'avais dit, c'est que nous devions briser ce que quelqu'un d'autre avait appelé le « tabou juif » si nous voulions être efficaces pour nous opposer aux forces qui entraînent l'Amérique dans une guerre après l'autre. Il y a trois raisons pour lesquelles Donald Trump a révoqué le JCPOA, autrement dit l'accord nucléaire avec l'Iran : « Sheldon Adelson, Bernard Marcus, et Paul Singer ». Trois riches juifs avaient pris en main la politique étrangère de l'Amérique, et pourtant nous étions contraints par les conventions du comportement bien élevé, autrement connues sous le nom de « tabou juif », de ne pas mentionner le fait qu'ils étaient juifs ou le fait qu'ils ruinaient la réputation internationale de l'Amérique en menant une politique étrangère dont le seul bénéficiaire était Israël. En Iran, il n'y avait pas de mal à critiquer les juifs tant qu'on les appelait Israéliens. Mais ce ne sont pas les Israéliens qui avaient persuadé Trump de révoquer l'accord nucléaire, ce sont les Juifs d'Amérique.

Alors que je faisais valoir mon point de vue, un écran de télévision géant en arrière-plan montrait des tireurs d'élite israéliens en temps réel tirant dans le dos des Palestiniens en fuite qui se retiraient du mur d'apartheid que les Israéliens avaient érigé pour les empêcher d'entrer dans leur propre pays. Ce ne sont pas tous les juifs qui sont en faute, disais-je. « Si tous les juifs étaient comme le rabbin David Weiss », le membre de Neturei Karta qui était assis à l'avant du podium quelque part entre Philip Giraldi et Nader Talebzadeh, « nous ne serions pas ici à discuter de ce problème. Mais la plupart des juifs ne se contentent pas comme lui de vivre dans leurs ghettos, ils ne sont heureux que lorsqu'ils s'approprient votre culture et la détruisent ».

Tout le monde n'était pas satisfait de ce que j'avais à dire. Miko Peled, fils du célèbre général israélien et fervent défenseur des droits des Palestiniens, a passé le reste de la journée à aller voir des gens comme Alison Weir et à faire pression pour que je sois expulsé de la conférence. Cela ne s'est pas produit parce que les Iraniens sont trop polis pour faire une chose pareille, mais aussi parce que de nombreuses personnes ont estimé que j'avais enfin dit ce qui devait être dit. Phil est venu me voir après la conférence et m'a remercié pour ma franchise. Il a ensuite mis ma suggestion en application dans un article qui expliquait clairement que les juifs étaient responsables non seulement des atrocités commises à l'époque, mais aussi de l'atrocité actuelle connue sous le nom de guerre en Ukraine. Mais ce-faisant, il a pu constater que quiconque critique les juifs n'échappe pas à la punition, mais aussi que ce genre de démarche ne va pas sans l'élévation subséquente de la conscience qui est la compagne constante de l'opposition au mal. L'American Conservative a été explicitement créé par Pat Buchanan et Taki pour servir de contrepoids nationaliste au néoconservatisme, mais il a lui aussi été coopté et il est désormais dirigé par l'opportuniste Rod Dreher, dont le principal travail consiste à s'assurer que le conservatisme, quel qu'il soit, ne menace pas les intérêts juifs.

Phil Giraldi n'a pas été le seul à me remercier pour ce que j'avais dit. Après la fin de la session, j'ai été approché par l'orateur principal de la journée, Alexander Douguine, le sociologue qui était une force motrice du nationalisme russe, qui avait parlé du monde multipolaire qui allait renaître tel un phénix des cendres de l'empire américain, et qui me remerciait maintenant pour mon intervention visant à briser le tabou des juifs.

Douguine allait apprendre la leçon que nous avions tous apprise en remettant en question le pouvoir juif, mais d'une manière bien plus horrible, lorsque sa fille a été assassinée le 20 août dans un attentat à la voiture piégée. Selon Andrey Krasnov, qui connaissait personnellement Daria Douguine, l'attentat visait Alexander, et non sa fille. « C'était le véhicule du père. Daria... a pris sa voiture aujourd'hui, tandis que Alexander est parti par un autre chemin. Il est revenu, et il était sur le lieu de la tragédie. D'après ce que j'ai compris, Alexander, ou probablement les deux, étaient la cible » [2]. Denis Pushilin, chef de la République populaire de Donetsk contrôlée par les Russes, a affirmé que Daria Douguine avait été tuée par le gouvernement ukrainien [3]. Douguine avait déjà été désigné pour être assassiné par l'UDA, l'Armée des volontaires ukrainiens (Українська добровольча армія), une branche du Secteur droit nazi, mais cela remontait à plusieurs années.

Douguine avait donc brisé le tabou des juifs. Le 29 juin, Kevin MacDonald a publié sur le site Web d'Occidental Quarterly un article analysant la traduction anglaise d'un article de Douguine paru sur Katehon, un site Web antimondialiste et pro-russe, intitulé « La Cour suprême des États-Unis contre l'idéologie du progrès » [4]. Comme moi, Douguine voyait dans l'arrêt Roe v. Wade (la décision de la Cour suprême de 1973 annulant toutes les lois interdisant l'avortement), une étape importante vers l'implantation de l'hégémonie juive sur la culture américaine. Dans le sillage de la décision de la Cour suprême annulant Roe v. Wade, Douguine a publié écrit un article brisant le tabou juif.

« Le tournant dans la culture américaine a eu lieu dans les années 1970 quand un nouveau groupe qui était « ethniquement juif mais imprégné de principes et de codes culturels européens ou russes soviétiques... a introduit une culture et une philosophie différentes aux États-Unis. Ils n'ont pas du tout compris ou accepté le pragmatisme américain, le considérant uniquement comme une toile de fond pour leur propre avancement. En d'autres termes, ils ont profité des opportunités américaines, mais n'avaient pas l'intention d'adopter une logique libertaire sans rapport avec toute allusion au totalitarisme. En réalité, ce sont ces élites étrangères qui ont détourné la vieille démocratie américaine. Ce sont elles qui ont pris la tête des structures mondialistes et qui ont progressivement pris le pouvoir aux États-Unis » [5]. Oui, voilà ce qu'écrivait Douguine.

En faisant cette affirmation, Douguine brisait le tabou des juifs. Cela était nécessaire pour établir le lien, autrement incompréhensible, entre l'avortement et les guerres de soutien à Israël, qui est caractéristique de ce que Douguine appelle la « Nouvelle Amérique », un groupe qui « insiste sur le fait que la liberté nécessite la violence contre ceux qui ne la comprennent pas assez bien. Ce qui signifie que la liberté doit avoir une interprétation normative et que c'est aux néo-libéraux eux-mêmes de déterminer comment et à quoi ils l'utilisent, et comment ils l'interprètent. L'ancien libéralisme est libertaire. Le nouveau est ouvertement totalitaire. La Cour suprême est en train de renverser la stratégie dictatoriale totalitaire des élites mondialistes néolibérales, qui agissent - un peu comme les bolcheviks en Russie - au nom de l'avenir. »

Dans la « nouvelle Amérique », vous êtes soit un tueur, soit un fœtus. Les tueurs bénéficient du privilège juif, mais les fœtus n'ont aucun droit devant la loi, comme les Américains l'ont appris après Charlottesville et les évènements du Capitole le 6 janvier. Selon la compréhension de Douguine de la « nouvelle Amérique », c'est-à-dire l'Amérique juive, « vous n'avez pas le droit de ne pas être un libéral. Si vous n'êtes pas un progressiste, vous êtes un nazi et devez être détruit. Tout doit être sacrifié au nom de la liberté, des LGBT+, des transgenres et de l'intelligence artificielle » [6].

Selon cette idéologie essentiellement talmudique, si la mère a le droit de tuer son enfant, le gouvernement a le droit d'assassiner quiconque s'oppose au droit des oligarques d'interpréter la « clause mystère » du juge Kennedy - « Au cœur de la liberté se trouve le droit de définir son propre concept de l'existence, du sens, de l'univers et du mystère de la vie humaine » - comme bon leur semble. Une fois que Douguine a brisé le tabou juif, il devient clair qu'il n'est pas un libéral et qu'il a donc perdu le droit à la vie, tout comme des millions de fœtus pendant le règne de terreur juif qui a commencé en 1973 lorsque la Cour suprême a rendu l'arrêt Roe v. Wade [enfin aboli en mai 2022].

La seule question était de choisir le bon moyen de provoquer l'équivalent politique d'un avortement. Un mois avant que l'UDA ne bâcle l'assassinat de Douguine, tuant sa fille à la place, un jury fédéral de New York a condamné l'ancien officier de la CIA Joshua Schulte pour neuf chefs d'accusation en vertu de la loi sur l'espionnage, pour avoir fourni des informations au dossier Wikileaks connu sous le nom de Vault 7. L'une des révélations les plus importantes de Vault 7 était « la preuve que la CIA était capable de pirater les systèmes informatiques des voitures et pouvait prendre le contrôle d'un véhicule » [7].

Cette révélation n'avait aucun rapport direct avec le meurtre de Daria Douguine, car le but de l'assassinat était de semer la terreur parmi la population russe dans son ensemble, ce qui nécessitait le maximum de publicité. La tentative d'assassinat de Douguine avait davantage en commun avec le bombardement ukrainien de la centrale nucléaire de Zaporijia, qui était une autre tentative de détourner l'attention du monde du fait que les Ukrainiens étaient en train de perdre la guerre.

Il s'agissait à Zaporijia d'une tentative désespérée pour déclencher l'article 5 de la charte de l'OTAN, en invoquant une attaque nucléaire russe contre des membres de l'OTAN comme prétexte pour faire mourir un autre groupe de goyim pour l'amour des discothèques gay, alors que les Russes sont en train de réduire les forces ukrainiennes en poussière.

Plus important encore, le but de la tuerie voulue par l'UDA était d'impressionner les Américains et de leur soutirer plus d'argent. À la suite de la mort de Daria Douguine, Joe Biden a envoyé 775 millions de dollars supplémentaires aux nazis ukrainiens dont le principal travail consiste à s'enrichir tout en défendant la discothèque gay.

Les révélations sur les capacités de piratage des voitures de la CIA ont été plus pertinentes pour une série d'accidents de voiture en Amérique. Le mercredi 3 août, deux semaines et demie avant la mort de Daria Douguine dans la voiture de son père, Jackie Walorski, représentante républicaine de l'Indiana aux États-Unis, est décédée lorsque sa voiture a fait une embardée inexplicable sur la trajectoire d'un SUV arrivant en sens inverse. Cet accident a effectivement décapité la direction républicaine du comté de St. Joseph, un groupe qui était motivé pour gagner des sièges dans un district démocrate notoirement corrompu en raison de la vague d'indignation contre l'administration Biden qui balayait l'État. Deux jours plus tard, le 5 août, Anne Heche est impliquée dans un accident de voiture qui lui coûtera la vie. Dans les deux cas, la voiture est devenue soudainement incontrôlable, dans le cas d'Anne Heche en accélérant à 100 mph et en s'écrasant contre une maison où elle a pris feu, blessant gravement Heche, qui est décédée à l'hôpital. Selon un rapport :

Anne Heche travaillait sur un film controversé pour la chaîne Lifetime, dans lequel elle jouait le rôle de la mère d'une adolescente victime de trafic sexuel, exposant le monde de la pédophilie. Le film intitulé « The Girl in Room 13 » est basé sur une histoire vraie pour faire la lumière sur la sombre industrie de la traite des êtres humains, qui représente 150 milliards de dollars, et ce film devrait être diffusé comme prévu le 17 septembre sur la chaîne Lifetime [8].

Comme par malchance, Jackie Walorski était également déterminée à faire quelque chose contre la traite des enfants :

Dès son arrivée à Washington, DC, la représentante Jackie Walorski a commencé à coparrainer le H.R. 5135, le Human Trafficking Prevention, Intervention, and Recovery Act of 2014 et le H.R. 3530, le Justice for Victims of Trafficking Act of 2014. En tant que native de l'Ohio et victime d'abus sexuels, Anne Heche et la représentante de l'État voisin de l'Indiana, Jackie Walorski, auraient été en contact au cours de cette dernière année, faisant de la détresse causée par la traite des êtres humains et de l'esclavage sexuel leur priorité absolue. Et sur la base de ce fait essentiel et de ce point commun, ce n'est pas un hasard si, à deux jours d'intervalle, elles ont toutes deux été tuées dans des accidents de voiture bizarres à fort impact, ce qui suggère un acte criminel potentiel si leurs deux véhicules ont été piratés à distance [9].

Le même article mentionne la mort du journaliste des Rolling Stone Michael Hastings en 2013 comme un autre exemple de mort par piratage de voiture :

Avant le prétendu « accident » de Hastings le 13 juin 2013, il avait communiqué à ses amis et confidents qu'il était convaincu que le FBI voulait l'interroger au sujet d'une histoire qui faisait l'effet d'une bombe et sur laquelle il travaillait à l'époque, révélant la criminalité de la CIA et exposant son nouveau directeur John Brennan. Un mois après la mort violente de Michael, une interception par WikiLeaks du contractant de la CIA Stratfor a révélé qu'il était vrai que Brennan, le chien d'attaque d'Obama, se livrait à une chasse aux sorcières en désignant et en punissant les journalistes qui révélaient trop de choses sur les criminels de la DC. La DARPA, l'organisme de recherche du ministère de la Défense, travaillait depuis des années sur l'accès au bouton d'arrêt d'urgence ou à l'accélération du cadran de vitesse par contrôle à distance de l'industrie automobile, désormais entièrement informatisée, grâce à une technologie de piratage [10].

Le 11 octobre 2008, le nationaliste autrichien Jörg Haider est mort dans un accident de voiture remarquablement similaire à celui qui a tué Anne Heche lorsque sa VW Phaeton a accéléré dans un virage puis a quitté la route près de la ville de Klagenfurt, dans le sud du pays. Comme on pouvait s'y attendre, The Guardian a déclaré « qu'il n'y avait aucun signe d'acte criminel » [11]. En 2016, le Kopp Verlag a produit une vidéo intitulée « Attentat oder Unfall » qui examinait les circonstances encore inexpliquées de la mort de Haider et la suspicion qu'il avait été assassiné [12]. Dans une déclaration qui aurait pu être tirée de l'article de Douguine sur la Cour suprême américaine annulant l'arrêt Roe v. Wade, le modérateur a tiré la conclusion que les oligarques voulaient transmettre comme un avertissement aux Autrichiens. Haider était un nazi et « Fuer Neonazis gilt das Recht auf leben nicht » [13]. Les nazis n'ont pas le droit à la vie.

Le piratage de voitures est notoirement difficile à prouver, ce qui en fait une arme d'assassinat idéale. Le meurtre de Daria Douguine était évident, en comparaison, et le message que les oligarques voulaient nous transmettre est donc sans équivoque. Toute personne qui dérange l'agenda des oligarques peut être avortée car, comme l'a dit Douguine : « vous n'avez pas le droit de ne pas être un libéral. Si vous n'êtes pas un progressiste, vous êtes un nazi et vous devez être détruit. Tout doit être sacrifié au nom de la liberté, des LGBT+, des transgenres et de l'intelligence artificielle ». Lorsque Douguine a traité ces gens de bolcheviks, Kevin MacDonald a opiné :

Il est tentant de penser que Douguine établit ici un lien entre les attitudes autoritaires de type bolchevique et la surreprésentation juive dans la nouvelle élite américaine, étant donné qu'il a noté le rôle évident des juifs dans la nouvelle élite mondialiste qui domine l'Amérique, et qu'il est probablement conscient du rôle surdimensionné bien connu des juifs dans les premières décennies meurtrières et intensément autoritaires de l'URSS, avec ses promesses utopiques de créer le nouvel homme soviétique. Ce rôle très important des juifs dans les premières décennies de l'URSS a également été noté par Poutine et c'est vraisemblablement de notoriété publique parmi les intellectuels russes [14].

Après que Douguine a prononcé son discours sur l'émergence d'un monde multipolaire, je n'étais pas d'accord, et je répétais que le fait même que des Russes et des Américains se trouvaient en Iran pour discuter de géopolitique en anglais était la preuve que ce méchant empire mondial que les Américains avaient établi était destiné à devenir aussi en quelque sorte le fondement d'une conscience mondiale que, Inshallah, Dieu utiliserait pour faire sortir le bien du mal. C'est toujours ce que je ressens, et mon espoir est que Daria Douguine ne soit pas morte en vain, car sa mort permettra à ce qui est « de notoriété publique parmi les intellectuels russes » de se répandre en Amérique et de briser le tabou juif.

Le 22 août, le Daily Mail a annoncé que le FSB russe, le successeur du KGB, affirmait que Douguinea avait été assassinée par une Ukrainienne du nom de Natalia Vovk, qui « est arrivée en Russie le 23 juillet avec sa fille Sophia Shaban, 12 ans, avant de conduire une Mini Cooper pour espionner Daria Douguine » [15]. La rapidité avec laquelle cette Natalia Vovk a été accusée la fait ressembler étrangement à un bouc émissaire. Ce sont les juifs qui ont enclenché cette guerre - Nuland, Blinken, Zelensky, Kholomoisky - qui ont tué Douguinea, et peu importe qui a appuyé sur la gâchette.

source :  Entre la Plume et l'Enclume

  1.  unz.com
  2.  dailymail.co.uk
  3.  theguardian.com
  4.  theoccidentalobserver.net
  5.  theoccidentalobserver.net
  6.  theoccidentalobserver.net
  7.  covertactionmagazine.com
  8.  thegovernmentrag.com
  9.  thegovernmentrag.com
  10.  thegovernmentrag.com
  11.  theguardian.com
  12. YouTube
  13. YouTube
  14.  theoccidentalobserver.net
  15.  dailymail.co.uk

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