19/09/2022 reseauinternational.net  2min #215704

 Boutcha 2.0 à Izioum : L'Ukraine utilise des civils tués par des bombardements et les tombes de ses soldats pour jouer la carte du massacre

Kiev veut rejouer Boutcha à Izioum, clame le chef de la région de Kharkiv

par Victor Antonyuk.

Kiev essaye de monter une provocation à Izioum, dans la région de Kharkiv, après le retrait de l'armée russe, ont indiqué à Sputnik les autorités locales. Reprenant ainsi « le scénario de Boutcha », l'Ukraine voudrait en utiliser les images via les médias occidentaux pour obtenir de nouvelles armes.

L'Ukraine tente d'organiser une provocation à Izioum, ville située dans la région de Kharkiv, reprenant le scénario du « massacre de Boutcha », ont déclaré à Sputnik les autorités locales.

Depuis fin mars jusqu'au mois de septembre, cette ville a été contrôlée par l'armée russe, mais a été prise pour cible par les Ukrainiens. Puis, les troupes de Moscou s'en sont retirées pour être partiellement redéployées en direction du Donbass.

« Une énième fois, nous assistons à la spéculation des autorités ukrainiennes sur des vies humaines », a déclaré le chef de l'administration de la région, Vitaly Gantchev.

« Il est évident que l'Ukraine essaye de répéter le scénario de Boutcha, maintenant à Izioum. Cette ville, comme d'ailleurs de nombreuses autres villes dans la région, a subi de fortes frappes », a-t-il expliqué.

Une mise en scène pour les médias

L'Ukraine crée « une image » pour les médias occidentaux dans le but d'obtenir de nouvelles livraisons d'armes, a souligné le chef d'administration.

Le président ukrainien a affirmé, en anglais, dans une vidéo diffusée le 15 septembre, qu'une fosse commune avait été découverte à Izioum. Il a également promis d'y faire venir les représentants des médias étrangers.

En avril dernier, le ministère russe de la Défense a déclaré que les photos et les vidéos de prétendues preuves de crimes russes, diffusées par Kiev, n'étaient qu'une « énième provocation ». Pendant que la ville était contrôlée par les forces armées russes, aucun civil n'a subi de violence, a souligné l'institution.

source :  Vive la Révolution

via  Sputnik News

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