24/09/2022 reseauinternational.net  2min #216023

 Boutcha 2.0 à Izioum : L'Ukraine utilise des civils tués par des bombardements et les tombes de ses soldats pour jouer la carte du massacre

Izioum : Alexander Makogonov, porte-parole de l'ambassade de Russie, remet en place Elizabeth Martichoux, journaliste de Tf1

par Le Média en 4-4-2.

Il est apparemment difficile de raisonner les journalistes occidentaux... et c'est cet exercice que Alexander Makogonov, porte-parole de l'ambassade de Russie en France, a tenté pour faire revenir à la raison la journaliste de TF1, Elizabeth Martichoux.

L'Ukraine accuse la Russie d'avoir caché des charniers à Izioum. Or ce sont des tombes individualisées par des croix gravées de noms et de dates qui ont été découvertes. La journaliste passe les images sans s'étonner de la présence de ces croix. Face à cette évidence, Alexander Makogonov est abasourdi : « Je ne sais pas comment vous pouvez croire à la lettre à tout ce que vous montre le régime ukrainien. Il s'agit encore une fois d'une falsification à deux balles, mensongère et propagandiste. La falsification « à la Boutcha » avec le même scénario, le même montage qui est ridicule et tellement ignoble. »

Ensuite le porte-parole désigne du doigt les images qui passent pendant l'émission et demande à Elizabeth Martichoux pourquoi les Russes ont posé des croix, si c'est pour cacher un massacre ? En effet, poser des croix n'est pas la meilleure façon de dissimuler un massacre de masse. La réponse est simple, des soldats ukrainiens sont morts au combat et les soldats russes les ont enterrés dignement, allant jusqu'à fabriquer des croix en bois et inscrire les noms. Malgré l'évidence, il sera difficile de retrouver un jour des journalistes à la hauteur, car même avec les yeux ouverts, Élizabeth Martichoux ne voit rien.

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En 2018, elle s'était plainte sur 𝕏 Twitter qu'un Gilet jaune manifestant l'avait accusée de « faire de la m... » et l'avait traitée de « connasse » tout en « avouant » que de toute façon « il ne nous écoute pas et ne nous lit pas ». Si par hasard, il a quand même regardé son interview de Alexander Makgonov, changera-t-il d'avis ? C'est peu probable.

source :  Le media en 442

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