Une menace pour « notre démocratie » ? Quelle effronterie ! Dans un monde juste et équitable, le Parti Démocrate du Chaos irait se coucher au cimetière des ânes - mais depuis quand les USA font-ils partie d'un monde juste et équitable ?
Par James Howard Kunstler - Le 7 novembre 2022 - Source kunstler.com
Rochelle Walensky - CDC
Existe-t-il une notion plus grotesque colportée à travers cette nation troublée que le mantra de campagne selon lequel « Joe Biden », et la clique dissimulée derrière lui, défendent notre démocratie ? Qu'est-ce qui pourrait être plus manifestement faux ?
La censure et la restriction du premier amendement sont-elles démocratiques ? Ils n'ont pas essayé d'adoucir leur assaut continu contre la liberté d'expression. Ils abhorrent la diversité d'opinion, surtout quand elle entre en conflit avec leurs efforts évidents pour détruire le pays. Envoyer les chiens du FBI et emprisonner leurs opposants en dehors de toute procédure légale, est-ce démocratique ? La fraude électorale est-elle démocratique ? La « vaccination » forcée ? Je pourrais continuer (et je le fais souvent), mais vous savez exactement ce qu'ils font : mentir sans cesse sur tout, vous faire avaler des récits insensés, retourner la réalité dans tous les sens et faire exploser ce qui reste de la culture et de la vie économique américaines.
Si ce qu'ils font est évident, la raison pour laquelle ils le font l'est moins. Je n'ai que deux théories : Soit 1) le Parti du chaos agit dans l'intérêt de forces sinistres extérieures à notre système politique ; soit 2) ils sont si loin de toute éthique et si profondément ancrés dans la criminalité menée par tant de personnes et d'agences à leur service, que tout ce que vous les voyez faire maintenant est une tentative de dissimuler leurs crimes ou d'en détourner l'attention de la population.
La bonne réponse est probablement les deux. D'une manière ou d'une autre, l'argent et l'influence de Davos se fraient un chemin à travers les institutions américaines et exercent leur vile volonté, mâchant les supports structurels de la vie quotidienne. Un agent évident est George Soros, dont les nombreuses ONG opèrent à un niveau local très fin pour élire des procureurs de district qui ne feront pas appliquer les lois pénales et des secrétaires d'État qui ne feront pas appliquer les lois électorales. Soros est également profondément impliqué, par l'intermédiaire de son organisation Atlantic Council, dans le programme de déstabilisation de l'Ukraine, qui dure depuis des années, et qui est le prélude à une guerre mondiale qui aurait pu être évitée. Au moins une partie du temps, George Soros vit aux États-Unis. La raison pour laquelle ses activités ne font pas l'objet d'une enquête du ministère américain de la justice répond probablement à vos questionnements sur son influence cachée aux plus hauts niveaux du gouvernement.
Bill Gates, le magnat de Microsoft, circule au centre du nexus maléfique où la santé publique américaine serre la main aux compagnies pharmaceutiques. Son argent semble être impliqué dans des projets de laboratoires biologiques dans le monde entier qui visent à combattre les maladies et à tirer profit de prétendus « vaccins » pour les vaincre. Le projet Covid-19 a mal tourné, surtout la partie « vaccin ». Il s'est prononcé en faveur de la réduction de la population mondiale et semble avoir réussi à provoquer un étrange génocide médical.
Les autres acteurs extérieurs qui le soutiennent vont du très peu crédible Klaus Schwab et son Forum économique mondial, qui a implanté dans toute la société occidentale des dirigeants et des gestionnaires dans le cadre de son effort de grande réinitialisation visant à détruire ce qui reste de la société industrielle et de son armature culturelle, à des personnages de l'ombre dans le secteur bancaire européen dont on parle sans jamais les identifier, en passant par le PCC, qui a tiré d'énormes bénéfices de ses investissements relativement modestes dans la famille Biden.
Sur la scène nationale, où la dissimulation d'écheveaux de crimes multiples donne le ton politique, Christopher Wray du FBI doit mener la meute des gratte-papiers. Sous sa direction, à partir de 2017, l'agence a réalisé la plupart de ses crimes genre RussiaGate contre un président en exercice et n'a absolument rien fait pour enquêter sur la fraude électorale flagrante de 2020 qui a scellé l'affaire. Même sous l'abri de « Joe Biden », que M. Wray a contribué à faire élire, et du larbin, le procureur général Merrick Garland, des informations accablantes sur les crimes du FBI continuent de fuir par le biais de lanceurs d'alerte, tandis que l'agence se comporte de plus en plus comme une Gestapo américaine.
Tout ce désespoir est probablement le signe de la crainte qu'un nouveau Congrès ne commence à poser sérieusement des questions sur tous ces comportements répréhensibles, ce qui pourrait conduire à l'emprisonnement des personnes concernées. Le conseiller spécial John Durham n'a pas réussi à obtenir des condamnations dans les procès de cette année contre les petits délinquants Sussmann et Danchenko, mais il a réussi à rendre publics de nombreux péchés originels de l'opération RussiaGate et, bien que 99,9 % des observateurs pensent qu'il a terminé, je suis prêt à parier que M. Durham continuera à faire parler de lui après les élections, et pas seulement dans un « rapport » de pure forme.
De même dans le domaine de la santé publique aux États-Unis, où le personnage central du désastre Covid, le Dr Anthony Fauci, semble penser que sa retraite érigera un bouclier invisible contre les poursuites autour de lui - s'il vit assez longtemps. L'habileté du Dr Fauci à éviter de témoigner sous serment pourrait bien prendre fin, puisque le juge fédéral Terry Doughty l'a contraint à déposer dans le cadre du procès conjoint du Missouri et de la Louisiane, qui allègue une collusion entre le gouvernement et les entreprises technologiques pour censurer la liberté d'expression liée au Covid et aux « vaccins ».
Rochelle Walensky, du CDC, a disparu pendant plus d'une semaine avant l'élection, alors que les rapports s'accumulent sur la montée en flèche des décès toutes causes confondues impliquant les injections d'ARNm. L'ancien directeur des NIH, Francis Collins, fait profil bas, le Dr Ralph Baric est enfermé et silencieux à l'Université de Caroline du Nord, et un grand nombre d'autres hauts fonctionnaires, actuels et anciens, des CDC, de la FDA et d'autres agences de santé publique doivent être nerveux, si le Congrès se retourne, à l'idée de devoir rendre compte de ce qu'ils ont fait à leur pays. S'il se retourne.
Ainsi, les élections de mi-mandat atteignent leur apogée sur des pattes d'éléphant. Le changement de sentiment est palpable. Dans des circonstances normales, la malhonnêteté prodigieuse et nue du parti Démocrate du chaos, et ses nombreuses insultes gratuites envers les électeurs - comme le barrage d'histoires de drag queens de l'année dernière - conduiraient les Démocrates à l'extinction. Leur désespoir doit être tel qu'ils sont prêts à tout essayer pour éviter un désastre électoral, y compris toutes les formes de fraude électorale. Regardez les endroits habituels : Pennsylvanie, Géorgie, Michigan, Wisconsin, Nevada, Arizona.
Cette fois, bien sûr, de nombreux observateurs sont présents et savent ce qu'il faut rechercher. Il pourrait facilement en résulter une élection dont le résultat ne serait accepté par aucun des deux partis, ce qui constituerait une invitation à un vaste désordre civil. Je ne suis pas très porté sur la prière, mais demain, je me mettrai à genoux pour dire quelques mots au directeur.
James Howard Kunstler
Pour lui, les choses sont claires, le monde actuel se termine et un nouveau arrive. Il ne dépend que de nous de le construire ou de le subir mais il faut d'abord faire notre deuil de ces pensées magiques qui font monter les statistiques jusqu'au ciel.
Traduit par Hervé, relu par Wayan, pour le Saker Francophone