06/03/2023 reseauinternational.net  11 min #225095

Gardasil épisode 1 : Déjà le début de la fin ?

Épisode 5 : Gardasil - Des essais cliniques truqués

par AIMSIB

Cette semaine Marceau épluche pour nous la liste proprement hallucinante des effets indésirables du vaccin Gardasil, tant en fréquence, en gravité qu'en variétés diagnostiques. Il valait mieux tenter de tricher sur leur sur-représentation, l'AIMSIB le sait depuis 2019 alors qu'elle pensait facilement pouvoir faire condamner un « négationniste » de la question [1] , à présent même les Présidents de la République vendent des vaccins alors... Mal supporté le Gardasil, des propos d'anti-vax ? Bonne lecture.

Dans les essais cliniques « vaccins », les sujets de test prenant le vaccin sont comparés à des sujets d'un autre groupe prenant un placebo. Selon les réglementations fédérales américaines et les experts de l'Organisation Mondiale de la Santé (OMS), en particulier pour un nouveau vaccin, le contrôle par rapport auquel la sécurité du vaccin est mesurée devrait être un placebo inactif (inerte). Il ne doit produire aucune réaction. Souvent, le placebo est une injection d'une solution saline (sérum physiologique).

Dans les essais cliniques du vaccin Gardasil, Merck a « dopé » le placebo avec son adjuvant le sulfate d'hydroxyphosphate d'aluminium amorphe (AAHS), neurotoxique.

Le résultat a été qu'un nombre approximativement égal de sujets dans le groupe vacciné et dans le groupe placebo ont subi des effets indésirables. Cela a permis aux effets indésirables dans les deux groupes d'apparaître similaires et de donner l'impression que le vaccin Gardasil PVH était « aussi sûr qu'un placebo », ou aussi sûr que le sérum physiologique dans la tête du quidam moyen.

En fait, une quantité importante de sujets dans les deux groupes de traitement souffraient de nombreuses conditions médicales graves, y compris des symptômes de maladies auto-immunes... pour ce qui a été publié !

La communauté médicale a pourtant soulevé des objections sur les graves défauts dans la façon dont Merck a conçu, analysé et rapporté ses études sur le Gardasil.

 bmj.com

En particulier en 2013, de nombreux professionnels de la santé ont publié un article dans le British Medical Journal (Call to action : RIAT restore of previous unpublished method in Gardasil vaccin trial) soulignant les failles et le caractère incomplet des publications traitant des essais cliniques Gardasil de Merck.

Les auteurs ont lancé un « appel à l'action » pour que des chercheurs indépendants réanalysent ou « rétablissent la notification de plusieurs essais dans le cadre du programme de développement clinique de Merck pour le vaccin quadrivalent contre le papillomavirus humain (PVH) (Gardasil) ».

Comme vous pouvez le voir, les vaccins dits COVID-19 ne sont pas les premiers développés de manière frauduleuse, le BMJ dénonçait déjà ces pratiques mafieuses et les FDA/EMA financées par les labos approuvaient déjà des injections toxiques [2], [3].

Comme Pfizer pour ses injections ARNm, Merck n'a pas signalé un grand nombre d'effets indésirables graves comme effets secondaires du Gardasil prétendant qu'ils n'étaient pas liés à l'injection.

Au contraire, Merck a classé ces maladies graves comme de « nouvelles conditions médicales » sans rapport avec le vaccin Gardasil.
Près de 50% des participants à l'étude ont signalé une « nouvelle condition médicale ». Ceux-ci comprenaient des taux élevés de maladies neurologiques, musculosquelettiques et auto-immunes comme nous le verrons plus loin dans les documents de l'EMA.

Le 27 juillet 2018, le BMJ Evidence-Based Medicine a publié une critique d'un examen antérieur des essais cliniques du vaccin contre le PVH. Les auteurs ont fait plusieurs observations indiquant un biais dans la manière dont les essais ont été menés.

Ils ont rapporté qu'un tiers (31%) des études cliniques Gardasil (quadrivalent) et Gardasil 9 n'étaient pas publiées ! Cela soulève la question du biais de publication, la pratique courante consistant à ne publier que les résultats positifs et à ne pas mentionner les résultats négatifs.

Aucun des essais cliniques sur le vaccin contre le PVH inclus dans la revue n'a utilisé un véritable placebo inactif. Les soi-disant placebos contenaient TOUS des adjuvants avec de l'aluminium et d'autres ingrédients, biaisant ou annulant tout effort pour déterminer le risque accru réel d'événements indésirables causés par le vaccin, par rapport à un véritable placebo inactif.

Les auteurs mentionnent également une étude de l'Organisation Mondiale de la Santé (OMS) de 2017 qui a révélé de graves dommages liés au syndrome de tachycardie orthostatique posturale (POTS) et au syndrome douloureux régional complexe (SDRC) après la vaccination contre le PVH. Ils notent qu'en mai 2018, une base de données de l'OMS contenait 526 cas de POTS et 168 cas de SDRC liés à la vaccination contre le PVH [4].

L'OMS dont l'intérêt premier n'est certainement pas notre santé pousse néanmoins toujours pour la vaccination des ados du monde surtout quand des cas d'infertilité directement liés au Gardasil commencent à être rendus publics.

Signal de sécurité détecté pour une insuffisance ovarienne prématurée à la suite de la vaccination avec le Gardasil [5] :

Selon une étude publiée en juillet 2020, l'exploration de données du VAERS a également révélé un nombre disproportionné de signalements d'insuffisance ovarienne prématurée (POI) et de problèmes analogues, notamment l'aménorrhée (absence de menstruations), des règles irrégulières, une augmentation de l'hormone folliculo-stimulante (FSH) et ménopause prématurée [6].

Une POI se produit lorsque les ovaires d'une femme cessent de fonctionner normalement avant l'âge de 40 ans, ce qui réduit ses chances de tomber enceinte. Cela augmente également son risque d'anxiété et de dépression, de certaines maladies oculaires, de maladies cardiaques, d'hypothyroïdie (faible fonction thyroïdienne) et d'ostéoporose (faible densité osseuse) [7].

Tout comme pour la Spike des injections COVID-19, les protéines synthétiques contenues dans le Gardasil partagent des similitudes avec des protéines qui sont importantes pour maintenir le bon fonctionnement des ovaires.

Après vaccination, le corps crée donc une réponse immunitaire au Gardasil qui provoque une attaque contre des protéines spécifiques responsables du bon fonctionnement des ovaires. La liaison de ces protéines spécifiques les a détruites et/ou les a rendues dysfonctionnelles, entraînant le développement d'une insuffisance ovarienne primaire.

Études concernant le lien entre le Gardasil et les maladies auto-immunes

Il n'y a pas seulement le témoignage de ceux qui ont souffert de symptômes débilitants après avoir reçu le vaccin Gardasil PVH, mais aussi plusieurs études qui ont été menées pour déterminer le lien entre le Gardasil et les effets secondaires graves.

L'Université de la Colombie-Britannique a publié une étude qui a déterminé qu'il y avait effectivement un lien entre le Gardasil et une myriade de rapports de maladies auto-immunes présumées chez les receveurs [8].

Alors que nombre de médecins VRP continuent de soutenir que le Gardasil est sûr en niant les effets secondaires graves, un nombre important de jeunes filles et garçons ont été gravement blessés au fil des ans. Les effets indésirables graves signalés au Vaccine Adverse Event Reporting System (VAERS) en rapport avec le Gardasil comprennent aux USA, sans toutefois s'y limiter, les éléments suivants :

Merck, les autorités sanitaires, et les politiques des différents pays nient en bloc tout lien entre les injections et les effets secondaires graves de ce vaccin MAIS un document OFFICIEL de décembre 2014, obtenu récemment de l'EMA via une requête FOIA, démontre que tous les signaux étaient présents dans les essais cliniques, que les autorités sanitaires SAVAIENT TOUT mais qu'elles ont approuvé malgré tout et ferment désormais les yeux sur toutes les remontées de terrain.

Nous rapportons ci-dessous une partie du contenu du document de 81 pages, mais il mérite d'être lu en entier et sauvegardé pour les procès à venir si d'aventure une majorité de parlementaires corrompus parvenait à rendre ce poison obligatoire [9].

Note : Les vaccins Gardasil quadrivalent puis nonavalent Gardasil 9 ont été développés d'un partenariat entre Merck pour les USA et Sanofi-Pasteur pour l'Europe. C'est pour cette raison que sur le rapport il y est reporté le nom de Sanofi-Pasteur/MSD.

À la suite de nombreuses plaintes à cause des effets secondaires graves des injections, Sanofi-Pasteur a rompu la collaboration pour « se concentrer sur leur vaccin contre la Dengue, ont-ils justifié ». Donc les criminels de Sanofi-Pasteur sont aussi responsables que Merck/MSD pour ce désastre sanitaire [10].

Les rapporteurs de l'EMA constatent donc :

Beaucoup d'effets secondaires systémiques graves ont été rapportés dans l'essai clinique mais ils s'accommodent de la réponse de Merck qui les considère comme bénins !

Des douleurs thoraciques et abdominales 4 fois supérieures à la normale mais rien, Merck botte en touche :

Des effets secondaires pouvant être précurseurs de maladies neurologiques et auto-immunes mais sans intérêt pour Merck :

• Vascularite pulmonaire avec soupçons de SLE = Systemic Lupus Erythematosus.

L'EMA écrit que c'est un risque très élevé et qui doit être investigué après la mise sur le marché !

Pourquoi mettre un produit qui démontre déjà le potentiel pour déclencher le Lupus et qui va être administré à des ados pour un cancer qui a une si faible prévalence ?

Surtout que Merck ne fera aucun suivi !

• POTS = postural orthostatic tachycardia syndrome qui est le syndrome de tachycardie posturale (PoTS) extrêmement handicapant et qui se retrouve chez beaucoup de plaignants aux USA dont la vie est fichue - l'EMA écrit que ce signal était déjà préoccupant dans les vaccins bivalents et quadrivalents précédents et pourtant les injections n'ont jamais été retirées !

C'est aussi un des effets secondaires les plus rapportés dans la base de données de l'OMS mentionné plus haut !

Ce rapport date de fin 2014 et concerne la demande d'homologation du Gardasil 9.

Donc, l'EMA savait pertinemment à ce moment que ce syndrome POTS était déjà un problème avec les vaccins Gardasil bivalents et quadrivalents. Et pourtant en 2015, lorsque les médecins danois faisant face à une explosion d'effets secondaires graves chez les jeunes filles vaccinées avec les Gardasil 4 (dont les POTS) ont demandé à l'EMA de revoir la sécurité de ce vaccin, les officiels de l'EMA ont affirmé qu'il n'y avait aucun lien entre POTS et vaccin Gardasil. Voir absolument la vidéo ci-dessous de 7 min. Édifiante [11]  !

• 2 cas de leucémies aiguës recensées par l'EMA alors que seules des personnes 100% saines ont été recrutées pour les essais cliniques.

Tout antécédent de cancer ou suspicion ont été écartés.

La réponse de Merck est à vomir : non seulement ils avouent qu'il y a eu 5 cas de leucémies et non 2 mais concluent qu'il n'y a pas de lien avec le vaccin et qu'il n'y a pas besoin de surveillance post marketing !

Les cas de leucémies se sont déclarés respectivement :

• 3.5 ans après dose 3,
• 3 mois après dose 2,
• 3.5 ans après dose 3,
• 2 ans après dose 3,
• et 1.5 ans après dose 3.

L'EMA n'a pas été convaincue par la réponse de Merck et a même considéré que les cas de leucémies post vaccination Gardasil pourraient être beaucoup plus nombreux car éloignés de la vaccination et les victimes ne faisant pas le lien (lire réponse complète de l'EMA p.49).

Le problème a été considéré comme non résolu par les rapporteurs avec demande de suivi post marketing, mais qu'en est-il réellement ?

Comment peuvent-ils faire prendre un tel risque à nos enfants sachant la possibilité de déclencher une leucémie jusqu'à 4 ans après l'injection ? Quel médecin fera le lien surtout que ces cas n'apparaissent nulle part sur la notice du vaccin !

• Plus de la moitié des vaccinés ont développé une maladie post injection

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