08/02/2024 reseauinternational.net  2min #242417

États de santé des présidents Us et russe

par Dominique Delawarde

Alors que le président Poutine peine à guérir de son douzième cancer annoncé par les très informés, très honnêtes et très fiables médias français, dont LCI, BFM TV, TF1, Le Monde, Libération et autres,.... et qu'il doit se plonger dans l'eau glacée pour y parvenir :  pravda-fr.com

Le président Biden, lui, semble vraiment ne plus savoir où il en est, ni à quelle époque il vit, alors qu'il fait campagne pour un nouveau mandat de quatre ans : janvier 2025-janvier 2029 (Élection début novembre 2024). Et c'est cet homme aux idées claires, commandant en chef des forces armées US, donc de l'OTAN, qui prétend diriger la planète pour quatre nouvelles années... ???

Mais pas de soucis : il est toujours soutenu par la meute mainstream et la gouvernance française dont on sait qui les contrôle. Alors, tout ira bien pour lui et pour la planète.

Vidéo de 32 secondes datée du 5 février 2024 :  video.lefigaro.fr

Le pôvre président US en exercice devient «embarrassant» pour son propre camp, au point qu'il pourrait être opportun pour le Deep State de s'en débarrasser avant l'élection de novembre 2024.

Une solution, parmi d'autres, pourrait être une liquidation ou neutralisation physique par un moyen quelconque (attentat, crise cardiaque ou accident vasculaire cérébral.... survenant malencontreusement).

Si la liquidation par attentat est utilisée, en attribuer la responsabilité au parti républicain et à Trump...

S'agissant de l'État profond, il a prouvé, dans le passé, qu'il avait les moyens d'organiser ce genre de malheureux accidents (assassinats des 2 frères Kennedy à 5 ans d'intervalle). Il ferait ainsi d'une pierre deux coups : il se débarrasserai d'un candidat embarrassant (Biden) et neutraliserait le camp républicain et surtout Trump, en jouant sur l'émotion, avec l'appui des médias qu'il contrôle.

Ceci leur permettrait de conserver le pouvoir avec le camp démocrate.

C'est ce que je ferais, si j'étais «le Deep State». Mais je ne le suis pas et je galège, évidemment, pour inciter mes détracteurs à me traiter de complotiste, voire pire, ce qui m'amuse beaucoup.

 Dominique Delawarde

 reseauinternational.net

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