22/03/2024 reseauinternational.net  2 min #245307

En 60 ans, la fécondité a diminué de moitié dans le monde

par Joaquim De Alburquerque

Selon une étude du Lancet, le taux de fécondité humaine (ISF) a été réduit de moitié au cours des 60 dernières années. Si cela continue, d'ici 2050, plus des trois quarts des pays ne disposeront pas du taux de fécondité nécessaire pour remplacer leur population.

Notons que l'étude a été financée par la Fondation Bill & Melinda Gates, qui prône la réduction de population et favorise l'avortement.

La fécondité est en baisse à l'échelle mondiale, avec, en 2021, des taux dans plus de moitié de tous les pays et territoires du monde inférieurs au niveau de remplacement.

Ces changements auront des conséquences économiques et sociales considérables en raison du vieillissement des populations et du déclin de la main-d'œuvre dans les régions à revenus plus élevés, combinés à une augmentation des naissances dans les régions les plus pauvres du monde.

Données mondiales

Au cours de la période 1950 à 2021, le taux de fécondité humaine mondial (l'ISF) est passé de 4,84 à 2,23. Les naissances vivantes annuelles dans le monde ont culminé en 2016 à 142 millions, pour tomber à 129 millions en 2021.

Les taux de fécondité ont diminué dans tous les pays et territoires depuis 1950, l'ISF restant supérieur à 2,1, considéré comme le niveau de fécondité de remplacement, dans 94 (46,1%) pays en 2021.

Cela comprend 44 des 46 pays d'Afrique sub-saharienne, qui était la superrégion avec le plus de naissances vivantes en 2021.

Selon les projections, les taux de fécondité devraient continuer de baisser à l'échelle mondiale, pour atteindre un FSI global de 1,83 (1,59-2,08) en 2050 et de 1,59 (1,25-1,96) en 2100 selon le scénario de référence.

Tout cela entre dans les objectifs de développement durable du très mondialiste Agenda 2030.

source :  Médias-Presse-Info

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