30/03/2024 reseauinternational.net  12min #245858

Hôpital : Diminution des lits et informatisation

1. Les résultats de test covid-19 n'ont absolument aucun rapport avec aucune maladie connue : selon les résultats statistiques de ces tests, le SARS-CoV-2 2 n'est même pas un pathogène : voir «Tests : un délire paranoïaque à 9 milliards d'euros» ;

2. La deuxième face de cette escroquerie est l'enregistrement des «malades Covid-19» par les médecins et les hôpitaux : alimentation par des fausses statistiques (on estampille «Covid-19» d'autres maladies) de tableaux de bord qui ont joué un rôle crucial dans l'endoctrinement des décideurs et la panique propagée par les médias.

Une statistique, c'est d'abord un comptage. On doit commencer par compter quelque chose pour en faire une statistique. Cela nécessite deux éléments : une définition et un protocole. On doit d'abord définir l'élément que l'on va compter. La définition doit être claire et sans ambiguïté.

Ensuite, on doit préparer un protocole de collecte, c'est-à-dire expliquer clairement comment on va compter cet élément. Avec quels moyens, où, quand et comment. C'est la personne qui décide de ces deux aspects qui décide déjà de la statistique finale.

C'est dans ces deux aspects que se cache l'escroquerie de comptage Covid-19.

La prise de contrôle de l'Hôpital

L'hôpital subit 2 grands axes de réforme depuis 20 ans :

  • Une diminution de la capacité d'accueil des patients : -93 000 lits en 20 ans

Le pilotage par l'informatique => prise de pouvoir du législateur sur le pouvoir hospitalier. Depuis 1991, saisie obligatoire de toutes les interventions : arrivée du technicien d'information médicale (TIM) qui établit :

  • Diagnostic principal (DP)
  • Diagnostics secondaires (DS)

Ces diagnostics doivent correspondre à une nomenclature internationale, la Codification Internationale des Maladie, la CIM pilotée par l'OMS. En anglais, ICD, International Statistical Classification of Diseases and Related Health Problems.

C'est donc l'OMS qui décide les cases dans lesquelles peuvent être enregistrées les pathologies des patients. Ce pouvoir est central puisqu'il va piloter entièrement la perception que nous avons des maladies.

Avec cette façon industrielle de concevoir le soin, le malade n'existe plus, seule la maladie existe : l'hôpital ne considère plus qu'un patient vient le voir mais qu'une maladie vient le voir.

Tous les patients générant le même diagnostic seront traités absolument de la même manière. On abandonne complètement le principe de singularité du malade. Dans la réalité, chaque être humain est différent et le travail du médecin, c'est d'aider le patient à retrouver la santé ; Ici, le travail du médecin c'est d'identifier la maladie pour la tuer ; cela justifie le médicament prétendument spécifique à une maladie et identique pour tous les patients.

Cette informatisation tue le rôle du médecin en le réduisant à un technicien médical qui va juste identifier la maladie pour faire rentrer le patient dans le bon Protocole. Le protocole décidera du traitement et du médicament ; le même pour tous les patients de la même case.

Le Technicien d'Information Médicale (TIM) enregistre les diagnostics principaux et les diagnostics secondaires en fonction de la lettre de sortie du médecin. Cette dernière est en prose et ne correspond pas nécessairement à la codification internationale des maladies. Le Technicien d'Information Médicale doit donc interpréter cette lettre pour la faire rentrer dans des cases. Tout ce qui est enregistré n'est pas la réalité médicale mais une interprétation ; et ces enregistrements, les diagnostics principaux et diagnostics secondaires, arrivent sur le fichier du programme de médicalisation des systèmes d'information, le PMSI.

Ils sont utilisés, pour déterminer par un algorithme, le Groupe Homogène de Malades, le GHM, auquel appartient le patient. Un indice de caractère parfaitement stupide de cet enregistrement qui nie la singularité du malade, c'est que le nombre de GHM est passé de 700 à 2300 en 20 ans. Les GHM n'ayant aucun rapport avec la réalité du patient, la stratégie a été de démultiplier les codes à outrance de façon à contenter les praticiens bien conscients du problème.

Le principe d'enregistrement de chaque intervention à l'hôpital DP, DS, GHM est le premier pas nécessaire pour la prise de contrôle total de l'hôpital. À partir de 2003, chaque GHM est associé à son pendant financier, le groupe homogène de séjour, le GHS définit par l'assurance maladie. Ainsi chaque pathologie traitée par l'hôpital est plus ou moins rentable.

À partir de 2003, 50% des revenus des hôpitaux viennent de leur activité. On passe alors à une logique de résultat.

Depuis 2007, et l'entrée en vigueur de la tarification à l'acte (la T2A), la totalité du financement des hôpitaux vient des remboursements des actes par la Sécurité Sociale.

Désormais, il suffit de rendre un acte hospitalier rentable en lui mettant un GHS qui rapporte pour que tous les hôpitaux se mettent à enregistrer les patients dans le GHM qui va en face.

Le poids des lobbyes pharmaceutiques devient alors déterminant : il suffit qu'ils insistent auprès de l'OMS pour créer les bons codes de la CIM-10 ou auprès des décideurs publics pour qu'ils décident de plus (+) rembourser tel ou tel acte.

Ces manipulations sont responsables du coût exorbitant des actes hospitaliers de l'enrichissement démesuré de Big Pharma et de notre perception erronée de la maladie.

La prise de contrôle du prétendu risque épidémique

En 2009, a eu lieu la pseudo pandémie de grippe H1N1. Le Sénat français a fait lumière sur cette escroquerie en 2010 dans un rapport très détaillé, le Rapport de la commission d'enquête sur le rôle des firmes pharmaceutiques dans la gestion par le Gouvernement de la grippe A (H1N1)

senat.fr

Ce rapport dénonce :

  • Le rôle des pseudo modèles mathématiques servant à faire croire qu'une catastrophe inévitable arrive ;

  • Le rôle de l'industrie pharmaceutique qui use de son budget quasi imité pour faire du lobbying partout auprès des scientifiques en passant par les agences de régulation, les politiques et jusqu'aux médecins ;

  • Le rôle des étendus experts venant sur les plateaux de télévision délivrer des poncifs ;

  • Le rôle de l'OMS décrite comme une corrompue et au service des laboratoires pharmaceutiques ;

  • La fausse efficacité des vaccins qui se sont avérés ruineux, inutiles et dangereux.

Cette escroquerie à la grippe H1N1 n'a pas complètement fonctionné à l'époque : la panique n'a pas atteint un degré suffisant pour priver les Français de liberté et la vaccination n'a convaincu que 5 millions de personnes toutefois. Toutefois, parmi elles, de très nombreuses victimes luttent pour faire reconnaître leurs effets indésirables, notamment les narcolepsies. Heureusement que la vaccination a été un fiasco, sinon elle serait devenue un énorme scandale sanitaire.

Le rapport du Sénat nous apprend que la panique a été évitée pour une raison simple : on a voulu faire croire aux Français qu'une grippe mortelle allait ravager l'humanité ; lorsque les Français ont eu des symptômes grippaux, comme chaque hiver, ils ont tout simplement consulté leur médecin traitant. Les médecins traitants ont pu voir que les malades étaient les mêmes que d'habitude : ils les ont traités comme d'habitude et la panique n'a pas pris.

Cette leçon a été très bien comprise par l'industrie pharmaceutique qui a renforcé son influence pour modifier les interventions dans le futur dans le bon sens pour elle et dans le mauvais pour les citoyens.

Le dispositif ORSAN, organisation de la réponse du système de santé en situation sanitaire exceptionnelle, a été lancé en 2014. Ce dernier prévoit de nombreuses situations d'urgence toutes prétexte à des dispositifs exceptionnels pour gérer les futures crises la première critique du rapport du Sénat 2010 était de dénoncer la croyance profonde des scientifiques dans l'avènement de catastrophe. Il ne s'agit pas pour eux de se demander si une catastrophe est possible mais uniquement de savoir quand elle arrivera. Avec ORSAN, tout signe de panique trouvera une réponse immédiate des pouvoirs publics, un protocole derrière lequel tout le monde pourra se cacher.

On note toutefois la main des lobbys pharmaceutiques quand on voit (2014) que sont déjà prévus les efforts pour une vaccination de toute la population alors que le rapport du Sénat a démontré que c'était parfaitement inefficace.

Le plan ORSAN sera de nouveau déclenché pendant les attaques terroristes du 13 novembre 2015 et l'attaque de Nice du 14 juillet 2016. À la suite des attentats de Paris sera créé le système d'information des victimes SI-VIC, base de données qui servira de nouveau pendant la crise Covid-19 : c'est pendant les crises dites sanitaires ou terroristes que sont prises les lois de surveillance d'enregistrement des citoyens et de perte de liberté en tout genre. La prétendue gestion des catastrophes est le berceau du totalitarisme : la peur permet de faire accepter n'importe quoi.

En 2019, ORSAN REB arrive. Une hiérarchisation fonctionnelle à deux niveaux est définie pour les établissements de santé pour les situations de crise : établissements de première ligne établissements de deuxième ligne.

Donc, à partir de 2019, le patient n'est plus orienté vers son médecin traitant mais vers l'un des seuls hôpitaux de première ligne : on applique alors le contraire des préconisations du rapport du Sénat de 2010. C'est ce plan Orsan qui sera appliqué à partir de février 2020. À partir de cette date, seuls 38 hôpitaux définis par la Mission COREB seront habilités à recevoir les malades du Covid et pas les médecins libéraux. D'où les images d'hôpitaux engorgés.

En gros, n'importe quel symptôme est du Covid-19. Donc, à partir de février 2020, tous les malades habituels sont censés se présenter non plus chez leur médecin traitant, mais dans l'un des 38 hôpitaux habilités sur les 1500 qui existent en France. Voilà d'où sont nés les images des hôpitaux saturés : c'est l'organisation ou plutôt la désorganisation planifiée par Orsan Reb qui a saturé les seuls 38 hôpitaux habilités ; et ce sont les médias qui ont fait croire à une saturation totale des hôpitaux alors qu'ils sont restés en écrasante majorité à moitié vide, comme l'ont révélé les rapports de l'ATIH.

L'enregistrement à l'hôpital des prétendus COVID-19

La Codification Internationale des Maladies est organisée par chapitre et en blocs

Dès le 31 janvier 2020, un nouveau code d'urgence U07 a été mis en place par l'OMS pour mesurer soi-disant le nombre de patients considérés atteints du fameux Covid-19. Ce code d'urgence est une première ; et c'est le socle sur lequel repose tout le comptage Covid-19 à l'hôpital.

Donc, dès le départ, toute personne, avec ou sans symptômes, avec ou sans test positif (test dont nous avons montré l'absurdité précédemment) peut rentrer dans la case Covid-19. D'autres codes sont venus enrichir cette soupe en octobre 2020 : U08.9

Pour rentrer le patient dans une case Covid-19, il suffit dorénavant de lui prétendre un Covid-19 antérieur : c'est sa prétendue ancienne infection qui est responsable de son état d'aujourd'hui : voici donc venue l'histoire des fameux Covid long.

Ces nouveaux enregistrements de malades du Covid-19 vont avoir un impact immédiat sur tous les codes qui enregistrent jusqu'ici des pathologies similaires. Il faut donc suivre l'évolution de trois chapitres

Comme l'ont montré les rapports de l'ATIH, la crise Covid-19 n'a pas du tout augmenté le nombre de passages à l'hôpital mais au contraire l'a fait chuter ; ce à cause des nombreuses déprogrammations liées au plan blanc maximal : l'année 2020 est catastrophique en terme de non soin.

Sur les 28 millions de passages à l'hôpital en 2020, l'ATIH nous apprend que 11 millions ont débouché sur une hospitalisation complète du patient ; et parmi ces derniers, seulement 185 000 soit moins de 2% ont été catalogués Covid-19.

Il faut cependant passer à l'étude détaillée des codes pour comprendre toute l'escroquerie. C'est à partir de 2020 qu'apparaît l'utilisation à outrance des codes d'urgence pour enregistrer des malades en tant que Covid-19 (en jaune sur le graphique)

Depuis 2020, il n'y a pas du tout plus de malades que d'habitude : on voit nettement l'effondrement simultané du nombre de malades auparavant enregistrés dans les maladies de l'appareil respiratoire ou dans les maladies infectieuses et parasitaires. Ce qu'on appelle «Covid-19», ce sont donc les mêmes malades que d'habitude avec les mêmes symptômes, mais qui dorénavant sont catalogués en tant que «Covid-19». C'est la difficulté de diagnostiquer les maladies respiratoires et lesdites maladies infectieuses qui permet de fournir généreusement en Covid-19.

Plus particulièrement, les maladies respiratoires chroniques qui concernent en France 3,6 millions de personnes sont un réservoir à code Covid-19 : chaque patient qui se présente à l'hôpital est un client covid-19 de plus.

Chaque GHM (Groupe Homogène de Malades) est converti en euros par le biais d'un GHS. Et l'ATIH fournit les montants des remboursements selon le GHM du malade.

Cataloguer un patient Covid-19 qui permet d'entrer dans le GHM infection inflammation respiratoire ge supérieur à 17 ans niveau 1 donne un remboursement de 2385 €, alors qu'une pauvre grippe, que 1'083€.

Dans un contexte de pression budgétaire permanente, il est facile de comprendre l'interprétation qui a été préférée par les médecins et les équipes.

Il n'y a donc pas la moindre trace dans les hôpitaux d'aucune nouvelle maladie respiratoire depuis 2020 : ce sont les mêmes pathologies qu'avant qui s'appellent dorénavant «Covid-19» grâce à des tests bidons et à des remboursements beaucoup plus avantageux.

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Autre recherche

23 septembre 2021

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 Surmortalité record : le Portugal premier en Europe, cherche des raisons

«(...) Des chiffres plus vus depuis l'épidemie de grippe.... espagnole en 1923 !  La surmortalité qu'enregistre actuellement le Portugal n'a rien de normal et les experts cherchent toujours les raisons (...)»

Ce qu'on a nommé «Covid-19» était en fait une sorte d'«arrangement» avec la Codification Internationale des Maladies, la CIM.

En revanche, la campagne d'injections en test dont ce «Covid-19» a été le prétexte, semble manifestement, sous l'angle de la mortalité, relever d'autre chose...

À suivre.

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Explication en 19 minutes :

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Et pour faire encore plus court, le résumé de ce qu'il s'est passé :

Remplacement des autres maladies respiratoires et de la grippe, certes virulente, par «Covid-19»

La preuve par les chiffres de l'OMS :

Grippe sévère mais toute relative :

En France :

Explication :

En 2020, l'arrivée d'un nouveau mot, «Covid-19», pour désigner en gros les mêmes maladies qu'auparavant.

Ce mot est en fait un code rentré à la hâte par l'OMS dès le mois de janvier 2020 au sein de la Codification Internationale des Maladies, la CIM-10, utilisée par toutes les structures de santé des pays affiliés à l'OMS.

Grâce à ce nouveau code, presque tous les pays du monde ont commencé à remonter des statistiques d'hospitalisations pour Covid-19 pour tous nouveaux patients se présentent à l'hôpital avec n'importe quel symptôme respiratoire, qu'il y ait ou non un test PCR de confirmation ; ou inversement, pour un patient avec un test PCR positif, même sans aucun symptôme respiratoire (ce fut les fameuses jambes cassées pour Covid-19).

Comme montré en pièce jointe, un « truc » estampillé « Covid-19 », ça rapportait gros !

Lors de cette période spéciale, on a ainsi inventé :

des personnes pas malades mais contagieuses ;

• un test qui peut tranquillement déclarer «positif» des biens portants et «négatif» des malades ;

• un virus (jamais isolé) qui éradique toutes les autres maladies, à commencer par la grippe ;

Bref, on a surtout subi une pandémie de tests.

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