La souveraineté résiduelle de la période gaulliste s'amenuise, et ne suffit plus à retenir l'attention de la Chine. La France a encore de beaux restes, mais le pivot géopolitique européen se déplace vers l'Europe de l'Est, qui accapare les 2/3 de la visite présidentielle chinoise en Europe. La tentative d'intimidation d'Ursula von der Leyen et Macron sur Xi Jinping était vouée à l'échec, car des pays comme la Hongrie et la Serbie, les deux étapes suivantes, permettent à la Chine de commercer de façon équitable avec les États membres de l'UE.
L'Europe de l'Est est là que tout se joue, comme le prédisait MacKinder au début du XXe siècle.
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