06/06/2024 reseauinternational.net  5min #249956

Règlement sanitaire international : une bataille gagnée, mais restons vigilants

par Sérénité Patrimoniale

Introduction

Notre quotidien se déroule, avec ses hauts et ses bas. Notre monde s'écroule, beaucoup ne le voient pas. Prenons du recul et une fois tout cela compris, s'ouvre pour chacun de nous, une nouvelle vie. Retrouvons l'Être que nous sommes vraiment. Ici et maintenant, vivons-le pleinement. Rayonnons notre puissance d'amour, elle est inépuisable.

«Ce que tu donnes est à toi pour toujours. Ce que tu gardes est perdu à jamais» (Proverbe Soufi)

Notre vigilance ne doit pas faiblir

Connaissez-vous le docteur Tedros Adhanom Ghebreyesus ? Ce  médecin érythréen «a été élu directeur général de l'Organisation mondiale de la santé ( OMS), pour un mandat de 5 ans, par les états membres de l'organisation, lors de la soixante-dixième Assemblée mondiale de la santé, en mai 2017».

Pouf pouf, réfléchissons. Si je me souviens bien de la  table d'addition : 2017 + 5 = 2022 ! Si je ne m'abuse... (je tiens à préciser ici, que j'évite le plus possible de m'abuser), nous sommes en l'an de grâce 2024 et «l'ami Tedros» est toujours directeur général de l'OMS !

Seul un esprit particulièrement complotiste, pourrait imaginer que cette longévité est justifiée, du fait qu'il œuvre à modifier le traité pandémique, ainsi que le règlement sanitaire international ( RSI).

C'est donc dans une démarche de lanceur d'alerte... que le  20 juin 2023, je vous relatais les risques que contenait ce texte, pour ce qui est de l'atteinte à : «notre liberté de circulation ainsi que notre liberté d'accepter ou pas un traitement médical».

Ces  documents, finalisés, devaient être présentés à la  77ème Assemblée mondiale de la santé qui s'est tenue du 27 mai au 1er juin 2024 à Genève. Ces modifications, cela vous étonne-t-il ? Sont particulièrement  controversées et  combattues, principalement, sur trois points :

  • Elles transfèrent à l'OMS, le pouvoir des états en matière de santé ! Celui-ci ne peut être remis en cause, avant une période de deux années, après son entrée en vigueur ;
  • L'exercice d'un exorbitant pouvoir solitaire, pour le directeur général de l'OMS, qui décide seul, sans contrepouvoirs, de la possibilité de déclencher une pandémie plandémie ;
  • Le traité excède largement le domaine de la seule santé publique. Dans son champ d'application : climat, environnement, agriculture, l'école, l'information, les médias, le numérique, lutte contre les fake news...

Pour résumer, toutes ces compétences étant transférées à l'OMS, les États perdent le  peu de pouvoir qui leur reste encore. Cet  abandon de leur souveraineté commence à  être perçu par des citoyens et des  parlementaires, résistants.

En l'état actuel des propositions d'amendements de ces textes, un accord  n'a pas pu être trouvé, lors de l'assemblée générale mondiale... au grand regret de «l'ami Tedros» :

«Nous n'en sommes pas là où nous espérions être lorsque nous avons lancé ce processus. La finalisation d'un accord international sur la manière de répondre à une pandémie était essentielle pour le bien de l'humanité».

Ce n'est pas pour autant que ce projet est arrêté. Nous devons continuer de nous informer, de diffuser cette information au plus grand nombre de personnes et faire barrage à cette véritable tentative de «coup d'État mondial» de l'OMS.

«Si seulement nous avions été solidaires contre la menace commune, nous aurions pu facilement la vaincre.
Alors, pourquoi ne l'avons-nous pas fait ?
Nous n'aimions pas assez la liberté.
De plus, nous n'avions pas conscience de la situation réelle
Nous avons purement et simplement mérité tout ce qui s'est passé par la suite
».

( Alexandre Soljenitsyne)

source :  Sérénité Patrimoniale

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