Bolivie : l'ex-chef des forces armées arrêté après une tentative de coup d'État

Joaquin Flores

The U.S. appears to be following a long-haul model that seeks to use weak forces like gravity to change the situation over time.

On Wednesday, June 26^th, as most now know, Bolivia experienced a significant political upheaval that began with an attempted coup, orchestrated by an allegedly replaced military chief, General Zúñiga, and involving several officers and military resources.

Raphael Machado

Não devemos ficar surpresos se voltarmos à era dos golpes e assassinatos políticos na América Latina, conforme os EUA tentam compensar as suas perdas com os recursos dos nossos países.

Escreva para nós: infostrategic-culture.su

No dia 26 de junho unidades das Forças Armadas da Bolívia dão início a uma mobilização militar. Elas ocupam a Praça Murillo, principal praça da capital La Paz, que fica de frente para o Palacio Quemado, sede do governo.

Raphael Machado

Es difícil creer que no hubo ningún involucramiento extranjero en este intento de golpe.

Escríbenos: infostrategic-culture.su

El 26 de junio, unidades de las Fuerzas Armadas de Bolivia inician una movilización militar. Ocupan la Plaza Murillo, la plaza principal de la capital, La Paz, que se encuentra frente al Palacio Quemado, sede del gobierno. También rodean varios otros edificios gubernamentales.

par Cubadebate

L'ancien commandant de l'armée destitué, Juan José, Zuñiga aurait déclaré lors d'une réunion préalable à la tentative de coup d'État du 26 juin dernier qu'il avait le soutien de «certaines ambassades» pour prendre le pouvoir, a révélé dimanche le ministre de l'intérieur de la Bolivie, Eduardo del Castillo.

Lors d'une conférence de presse, del Castillo, a précisé que cette information a été donnée par le l'ancien commandant de l'armée de l'air, Marcelo Segarra, dans une déclaration complémentaire faite devant le Procureur.

Par Eduardo Vasco

Ce qui s'est passé le 26 juin en Bolivie ne constituait pas encore un coup d'État. Il s'agit d'un putsch manqué, mené par le commandant des forces armées, Juan José Zuñiga, de manière improvisée, croyant qu'il serait soutenu par les autres officiers putschistes.

Deux jours auparavant, il avait déclaré dans une interview qu'il n'accepterait pas une nouvelle candidature d'Evo Morales à la présidence.

par Mikhail Gamandiy-Egorov

Les méthodes de déstabilisation et de renversement des leaderships d'États réellement indépendants et pro-multipolaires ne fonctionnent plus pour les instigateurs des dites méthodes, en premier le régime étasunien. L'échec de la toute récente tentative de coup d'État en Bolivie confirme cette thèse et conforte l'idée que la minorité planétaire occidentale aura de plus en plus de mal à atteindre ses objectifs sur la scène internationale.

José Antonio Egido

AFP

A la mi-journée du 26 juin, des véhicules blindés et des troupes de l'armée bolivienne, commandés par son chef supérieur, le général Zuñiga, se sont déployés hostilement dans le centre-ville de La Paz, centre administratif et politique de l'État plurinational de la Bolivie. Quels sont les enjeux de cette tentative de putsch dans un pays qui traverse trois crises simultanées ?